Très chère Julie,

J’adore et j’adhère à cette mentalité qui va de l’avant. Je la prône auprès de mes équipes, de mes directeurs, de mes nouvelles embauches, de mes amis, de ma famille. Quelle ouverture d’esprit !

Senior avec plus de 10 ans d’expérience à l’international, je cherche à me reconvertir pour un job qui a plus de “valeur” à mes yeux (je travaille dans le monde de la propriété industrielle... sexy !)

Reste à savoir par où commencer… parce que je n’ai pas fait le tour de mes réalisations. Et je compte sur ce MOOC pour faire un point.

J’aime ce format carte-sur-table où l’on reprend les compétences et on les réorganise pour les “vendre” mieux.

Un aspect qui me semble primordial une fois ces compétences retravaillées, c’est de penser au relationnel, de travailler ses contacts, d’en parler le plus possible autour de soi. Mais je vais probablement trop vite en besogne.

Encore un grand merci pour cette excellente réflexion !

Bonjour !

Il paraît évident que le marché du travail actuellement (et depuis longtemps) incite à revoir ses ambitions à la baisse, car la réalité financière quotidienne vous pousse à accepter des boulots alimentaires. Il faut alors prendre ces boulots comme des étapes, et rien n’empêche de construire un projet de vie professionnelle en parallèle, celui de trouver un boulot qui nous correspond. Il faut également prendre en considération les aspects hors professionnels que constitue sa personnalité : nous ne sommes pas seulement une personne avec des compétences professionnelles. Mais nous avons également une vie relationnelle, sociale, intellectuelle, des valeurs, nous apportons une contribution au monde qui nous entoure. Agir au quotidien sur les autres aspects de sa vie favorise son insertion professionnelle. Cordialement.

Bonjour à tous,

Voici ma contribution par rapport à la vidéo "Détox".

La vidéo "Détox" a insisté sur le fait de ne pas se définir comme un "demandeur d'emploi" mais plutôt comme une personne qui offre ses services et ses compétences. J'ai beaucoup aimé ce point-là et cela me fait réfléchir sur mon propre parcours. J'ai l'impression qu'au cours de mes précédentes expériences professionnelles, j'ai davantage effectué ce que l'on attendait de moi sans vraiment réfléchir à si j'aimais vraiment ça. Il est donc important de réaliser son offre de services (ce que je sais faire) avec honnêteté en prenant en compte ce que l'on veut réellement faire. Cela m'évitera très probablement de ne pas me sentir frustrée ou déçue de mon future job.

Merci de m'avoir lu !

Laurence

Jean-philippeDucros a écrit:

Bonjour !

Il paraît évident que le marché du travail actuellement (et depuis longtemps) incite à revoir ses ambitions à la baisse, car la réalité financière quotidienne vous pousse à accepter des boulots alimentaires. Il faut alors prendre ces boulots comme des étapes, et rien n’empêche de construire un projet de vie professionnelle en parallèle, celui de trouver un boulot qui nous correspond. Il faut également prendre en considération les aspects hors professionnels que constitue sa personnalité : nous ne sommes pas seulement une personne avec des compétences professionnelles. Mais nous avons également une vie relationnelle, sociale, intellectuelle, des valeurs, nous apportons une contribution au monde qui nous entoure. Agir au quotidien sur les autres aspects de sa vie favorise son insertion professionnelle. Cordialement.

Bonjour Jean-Philippe,

Je suis tout à fait d'accord avec toi. Effectivement, dans le contexte actuel, il faut prendre en compte la réalité économique lorsque l'on recherche un emploi mais cela ne signifie pas de prendre n'importe quel job non plus. Ok pour prendre un job alimentaire pour survivre, mais cela doit rester temporaire. Je pense que pour le bien-être de chacun, il faut penser à soi-même et se pousser pour réaliser en quelque sorte ses rêves. Donc il faut prendre du temps pour soi, pour se retrouver et réfléchir à notre projet professionnel et personnel, parce que lorsque l'on s'oublie, cela nous rend frustré, déçu, déprimé et l'on ne sait pas pourquoi parfois. Bien se connaître c'est déjà un premier pas pour ne pas faire choix par défaut. C'est d'ailleurs ce sur quoi je travaille en ce moment, parce que je pense avoir fait des choix par défaut en ne me connaissant pas suffisamment.  

Bonjour à tous,

Je me reconnais pleinement dans ce que dit Julie Coudry. Je ne sais pas ce dont je suis capable de faire et quelles sont mes compétences. J'ai remarqué que même pour trouver un stage c'est le parcours du combattant, le fait de postuler à des stages sans savoir ce qui nous attend me parait une perte de temps.
L'école nous a appris à obéir aux lois du marché et non à se créer des opportunités.
Je pense que le meilleur moyen est de raisonner en tant que valeur ajoutée à une organisation.

Mais comment faire pour réfléchir à ce qu'on peut apporter de plus à une entreprise si on ne sait pas ce qu'on sait faire de mieux ?

Bonjour JulieCo

J'en suis à la partie 4 du cours "réalisez le top 4 de vos exigences professionnelles" et il manquerait de ce que je crois comprendre un questionnaire à remplir pour pouvoir réaliser l'exercice.

Dans le PDF, il est noté que je dois reporter les réponses cochées dans le questionnaire, mais je n'ai pas se fameux questionnaire.

Comment faire?

Je suis d’accord pour dire que les jeunes-et même, toute personne nouvelle dans une fonction ou une entreprise- apporte un regard nouveau, interroge les pratiques déjà en place et à ce titre, pourrait avoir une valeur ajoutée dans l’entreprise, questionner ce qui se fait, proposer des améliorations, etc. Je dis « pourrait » car malheureusement, pour travailler moi-même depuis quelques années (j’ai 31 ans, j’ai commencé à travailler à 22 ans…) je trouve que les entreprises ne sont pas à l’écoute de ce que les jeunes ont à dire. Dans tous les établissements que j’ai connus, ce que l’on attend du jeune, c’est qu’il se taise, qu’il s’approprie les codes et les pratiques de l’entreprise (même les plus absurdes ou les moins efficaces) et, en gros, qu’il devienne un vieux…

Pour ce qui est de l’orientation des étudiants en France, je trouve aussi qu’elle est perfectible. Pour avoir fait une formation universitaire (Master 2 en droit), je trouve que :

-on ne cherche pas à nous faire développer des compétences opérationnelles pendant le cursus ;

-on est très peu mis en relation avec le monde de l’entreprise, généralement en dernière année de master, ce qui est bien trop tard. Au final, (je parle pour moi), ce n’est qu’une fois intégrée dans l’entreprise que j’en ai vraiment compris les différents métiers, et que j’ai pu identifier ceux me faisaient envie. Un peu tard, donc !

La bonne nouvelle dans tout ça, c’est justement qu’aujourd’hui, il est admis que l’on puisse se réorienter. Je trouve remarquables les initiatives comme les MOOC, l’université numérique Canal U, et surtout toutes les formations universitaires diplômantes qui s’ouvrent à distance, via des plates-formes numériques, pour des tarifs accessibles. C’est enthousiasmant de se dire qu’il ne tient qu’à nous d’être acteur de notre parcours et d’évoluer, et il faut féliciter les universités pour le chemin déjà parcouru et les encourager à faire encore plus !

Cette séance de détox est salutaire à mon sens, dans la mesure où elle met la lumière sur l’auto-censure qu'on applique souvent à nous-mêmes lorsqu’on recherche un emploi.  J'adhère à cette idée roborative d'inverser le paradigme et de passer d'une posture passive de demande d'emploi à une posture pro-active d'offre de compétences. Après, il est vrai que le marché de l’emploi  est loin du monde idéal et ce n’est pas seulement parce qu’on change de point de vue qu’on va trouver un emploi en un claquement de doigts. Cependant,  le fait de tendre vers cette démarche active de mise en avant de nos talents, savoir-faire et compétences nous met en confiance, élément moteur pour parvenir à l’emploi qui nous correspond.

LaetitiaAymonin a écrit:

Très chère Julie,

J’adore et j’adhère à cette mentalité qui va de l’avant. Je la prône auprès de mes équipes, de mes directeurs, de mes nouvelles embauches, de mes amis, de ma famille. Quelle ouverture d’esprit !

Senior avec plus de 10 ans d’expérience à l’international, je cherche à me reconvertir pour un job qui a plus de “valeur” à mes yeux (je travaille dans le monde de la propriété industrielle... sexy !)

Reste à savoir par où commencer… parce que je n’ai pas fait le tour de mes réalisations. Et je compte sur ce MOOC pour faire un point.

J’aime ce format carte-sur-table où l’on reprend les compétences et on les réorganise pour les “vendre” mieux.

Un aspect qui me semble primordial une fois ces compétences retravaillées, c’est de penser au relationnel, de travailler ses contacts, d’en parler le plus possible autour de soi. Mais je vais probablement trop vite en besogne.

Encore un grand merci pour cette excellente réflexion !

"Aller de l'avant" oui, mais dans quelle direction ?

Laetitia, je suis un peu dans la même situation que toi (et c'est drôle, d'ailleurs, je suis également dans le secteur de la propriété intellectuelle...) avec l'envie de me repositionner vers un métier qui ait plus de sens, qui me donne davantage le sentiment d'être utile aux autres. Mais une fois qu'on a identifié cela, il reste mille et une possibilités ! Une des difficultés, je trouve, c'est de trouver précisément vers quel métier on souhaite se diriger, et en ce qui me concerne, j'ai tendance à envisager tout un tas de "pistes" sans jamais m'arrêter sur aucune, alors j'espère que ce MOOC pourra m'aider à y voir plus clair...

CatherineCampserveux a écrit:

La vidéo detox a bousculé effectivement certaines de mes idées reçues, notamment celle des ambitions raisonnables, étant donné mon âge (j’ai 45 ans).  Actuellement  Assistante de Manager dans la Fonction Publique Hospitalière,  je souhaite changer d’emploi, et je me mets des barrières notamment sur la durée de la formation dont j’aurais besoin mais le taux de chômage également me freine. L’idée reçue la plus tenace est effectivement la notion négative de demandeur d’emploi. La notion d’apporteur de compétences, de savoir-faire, d’expérience est positive et tellement plus dynamisante !

Bonjour Catherine, je te souhaite bonne chance pour ton projet professionnel...as-tu entendu parler du CIF (congé individuel de formation), et surtout des organismes financeurs de formation ? Dans ma direction il y a une assistante qui se fait payer une formation en coaching par l'UNAGECIF, c'est une formation adaptée aux personnes déjà en activité (7 jours par mois). Elle espère pouvoir ainsi évoluer à l'intérieur même de la boîte (donc dans le cadre de son CDI actuel) Bonne continuation !

Bonjour,

J'aime l'idée de passer de la posture du demandeur d'emploi à celui d'offreur d'emploi. Il est vrai que le fait d'être "en demande" constitue une dépendance lourde vis à vis de celui qui "offre" l'emploi alors qu'en reversant ce phénomène, "l'offreur" d'emploi doit pouvoir rééquilibrer la relation et démarrer sur de bonnes bases d'échange. Également, je suis d'avis qu'il faut travailler sur les phases de transition entre plusieurs étapes professionnelles tout  en gardant en tête les aspirations de stabilité  liées aux contraintes qui dirigent nos choix et nos besoins ( famille, localisation géographique, spécialisation de l'emploi, etc...)

En revanche, même remarque que certains participants, qu'en est-il des "non jeunes"? Cette méthode est-elle la même pour ceux qui en plus des préjugés de départ, ont acquis durant leur carrière professionnelle d'autres intoxications sur leur statut ou capacité?

Bonjour à tous , 

Merci pour ce cours intéressant. 

Voici ma contribution sur la vidéo "Détox" :

Effectivement, je n'avais jamais pris conscience de l'effet du mot "demandeur" d'emploi o de trouver un emploi raisonnable. Je pense qu'il est très limitant de penser de cette manière, même si la première manière que l'on m'a appris et que j'ai l'habitude d'utiliser.

Maintenant je pense qu'il est important de laisser vagabonder son esprit et de se laisser ouvertes toutes les options et envie ou métier que l'on aimerait faire. Cela me fait penser à une phrase "fais de tes hobbies ton métier et tu n'auras jamais l'impression de travailler" que l'on m'avait dit il y a de nombreuses années."

A 57 ans je peux constater que ce qui est dit est totalement actuel et vrai dans beaucoup de cas. Je pense qu'en premier lieu et à contrario des exemples que l'on nous montre, l'entreprise est un milieu essentiellement conservateur et très peu réactif. Le problème que l'on a en étant jeune se retrouve totalement quand on est senior. Il est vrai, et je le vis actuellement que vouloir changer ou démarrer est un défi que l'on peut mieux relever en étant en mode offre de services. Ceci dit, je rencontre souvent des gens frileux et conservateurs, y compris plus jeunes que cela effraie. L'entreprise est un milieu paradoxal ou les ressources humaines traitent souvent de tout mais pas de l'humain, ou il faut "jouer le jeu" quitte à abandonner ses convictions et ses choix. C'est pourquoi trouver un job qui correspond est un moyen d'épanouissement irremplaçable.

Bonjour à tous,

"Viser un job qui nous correspond, c'est la meilleure façon d'avoir un job tout court".
 Je pense que c'est aussi la meilleure façon pour garder un job et pour être heureux dans le job que l'on fait. Je me suis rendue compte, il y a peu de temps, que je faisais un job qui ne me correspondait pas. C'est pourtant dans une ambiance agréable et avec des collègues sympathiques mais c'est un job "contre nature", càd que je dois dépenser beaucoup plus d'énergie que quelqu'un d'autre pour le même résultat (ex: je dois établir des budgets et je suis nulle en comptabilité).

Cette vidéo rappelle les nombreux préjugés véhiculés par notre société. Je pense notamment aux jeunes diplômés qui se heurtent à la pression de leur entourage pour prendre le premier emploi proposé. "L'ambition" est de ce fait souvent tuée dans l’œuf. En effet, face à de jeunes personnes emplies d'enthousiasme et de curiosité, les employeurs s'obstinent à exiger de l'expérience, une multitude de compétences, à estimer leur temps de transport (2 heures par jour, c'est trop !)... et surtout, ils oublient qu'ils ont été jeunes et peut-être maladroits lors de leurs premiers entretiens d'embauche.

Hello Adamski !

adamski a écrit:

Donc, apparemment, ce ne serait pas vrai... ce qui me bloque c'est que je pense qu'à un moment ou un autre, on est limité par nos compétences.
Sauf, bien entendu, si on a eu la chance de faire des études parfaitement adaptées au métier que l'on voulait exercer.

Par exemple, il doit être difficile de devenir pilote de ligne pour une personne qui a fait des études pour devenir charcutier (et vice versa) !

Tu verras dans la suite du cours, qu'un job qui nous correspond (et non un job de rêve ou idéal) est forcément un job en phase avec nos compétences (ou du moins nos capacités à acquérir ces compétences). J'ai un ami qui est devenu pilote en étudiant en formation continue pendant 5 ans alors qu'il était informaticien, c'était son rêve il a trouvé une configuration professionnel pour en acquérir les compétences. Il s'agit ici de devenir le leader stratégique de sa trajectoire plus qu'à apprendre comment !

#Activité 1 - Semaine 1

Cette vidéo donne à réfléchir sur le milieu professionnel actuel. Effectivement, il s’agit désormais d’offrir et de mettre en valeur ses compétences et capacités et de montrer à l’entreprise ce que nous pouvons lui apporter. On le voit avec le développement des réseaux professionnels comme LinkedIn, Vidéo et autres, qu’il est important de mettre en valeur sa formation, ses compétences pour se faire un réseau professionnel. Le monde du travail a changé, on ne fait plus une carrière de plusieurs dizaines d’années dans une même entreprise. Il faut savoir s’adapter aux évolutions. Ce n’est pas facile pour moi mais j’ai envie de m’y atteler, c’est pourquoi je suis ce cours en ligne. D’autre part, j’aime l’idée de trouver un job qui nous correspond à la fois à nos capacités et à nos envies.

Merci, merci, merci ! Je souhaite travailler dans l'édition et je me bats tous les jours avec des amis, des collègues qio me disent de reprendre des études plus en adéquation avec l'état du marché du travail. C'est vrai, il va bien falloir que je nourrisse une famille un de ces jours ! Bref, je m'accroche donc !

J'aime beaucoup l'idée d'offreur de services, même s'il va falloir pas mal de travail sur soi pour l'intégrer réellement !

Bonjour à tous,

Voici (une partie de) ma réflexion concernant la vidéo "détox"

Je suis entièrement d'accord avec ce qui a été énoncé! Une personne contrainte de se rendre au travail en traînant les pieds, ne pourra donner son maximum et ne donnera pas d'élan supplémentaire à l'entreprise; c'est une perte pour les 2 parties!
Concernant le fait de changer plusieurs fois de job au cours de sa carrière, c'est non seulement devenu une nécessité économique, mais c'est surtout aussi un moyen bénéfique de faire correspondre un nouveau challenge à sa personnalité qui évolue au fil des années! De plus, cela permet d’accroître son champ de compétences.

Salut tout le monde!

Pour moi vouloir proposer au monde nos savoir-faire et savoir-faire les plus spécifiques à nous même m'apparaît de plus en plus comme une évidence. Si je me lance
dans un projet professionnel qui me correspond complètement et où je suis passionnée, alors, je mets toutes les chances de mon côté pour qu'il débouche sur la joie d'aller au boulot, chaque matin.

C'est d'ailleurs ce que je souhaite mettre en œuvre dans les 2 ans qui viennent, où je termine mes études et où je souhaite déjà penser à la structure que je vais monter et à l'offre que je vais proposer (dans le secteur des soins orthophoniques).

Pour moi, les qualités spécifiques de chacun sont notre plus grande richesse!

Bonjour à tous !

Merci pour ce cours qui tombe à point nommé pour moi qui réfléchis à une reconversion depuis déjà beaucoup de temps.

J'ai eu envie de dire Alleluia quand Julie parle du choix du parcours professionnel des jeunes. J'ai toujours trouvé cela aberrant de demander de choisir son parcours en ayant aucune donnée sous la main. Alors qu'il existe des outils pour la reconversion professionnelle, à quand des outils pour choisir sa voie professionnelle plus sereinement ?
J'ai très mal vécu cette période de choix. Très bonne élève, j'aimais toute les matières, tout m'intéressait, et tout m'intéresse toujours. Devoir restreindre ses possibilités et choisir était un réel dilemme.
Et c'était sans compter sur les "gens", profs, famille voire même parfaits inconnus qui vous mettent des critères à respecter : un boulot gratifiant, des longues études parce que tu es bonne élève et que tu aimes apprendre, une voie avec du débouché, et qui te permette de bien gagner ta vie. 

Je suis partie en pharmacie, parce que ça collait aux critères "dictés" et parce que ça m'intéressait. Aujourd'hui diplômée depuis 5 ans, je me sens prisonnière de mon diplôme qui ne me correspond pas et qui, malgré le titre de docteur en pharmacie, ne semble pas m'ouvrir tant de portes que cela, si ce n'est l'officine qui ne m'intéresse pas du tout.

Maintenant je dois réussir à définir un vrai projet professionnel en "subissant" des : quand même, tu as un doctorat, tu ne peux pas chercher un job pour lequel ton diplome ne te serait pas utile. Comme si lorsqu'on m'a remis mon diplôme, on m'aurait enchainée à lui jusque la fin de mes jours...

Avec cette première vidéo détox, je retiendrai qu'il faut absolument que je me détache de tout ce que les gens peuvent me dire, tous ces conseils limite jugements sur mon envie/besoin d'évoluer différemment, me libérer de ces idée négtives pour en ressortir uniquement mes attentes, mes compétences, mes savoir-faire et trouver ce job qui me correspondra, sans culpabiliser s'il ne nécessite pas d'être docteur en pharmacie.

Bonjour, tout d'abord je trouve cette vidéo (et ce cours en général) très intéressant, Merci Julie! Ensuite je suis assez d'accord avec les idées reçues mentionnées, notamment celle de commencer avec une ambition professionnelle raisonnable. En effet, je viens de terminer mes études dans un domaine assez pointu, et quelques personnes m'ont conseillé de chercher un emploi dans un domaine plus large, qui selon eux recrute beaucoup plus des jeunes comme moi. Merci de me montrer que je peux travailler dès maintenant dans le domaine qui me plaît.

-
Edité par SandyB2 8 juin 2015 à 13:54:50

Bonjour,

j'ai des difficultés pour me retrouver sur ce forum, aussi la question suivante a peut-être été posée. Je débute la troisième semaine " Identifier vos compétences ". Or je rencontre un problème lors de l'impression du formulaire rempli via pdf creator. En effet, la fin du texte est cachée. Celui-ci ne passe pas à la ligne et je n'ai pas réussi à insérer des retours charriot. Comment remédier à cela ? Merci par avance de me répondre.

Au début de la vidéo Détox, je me suis reconnue par rapport au fait que pendant ma scolarité, personne ne m'a aidé ou formé pour pouvoir choisir ce qui me correspondait et je pense que c'est le cas de la majorité des jeunes. C'est à partir de ce moment là qu'on nous met dans des cases dont on arrive difficilement à sortir. Ces 4 idées reçues sont "difficiles" à contourner car cela fait des années qu'on nous les fait croire. Mais, après cette vidéo, je pense qu'il est important de sortir la tête de l'eau et de se prendre en main pour se donner les chances de trouver un job qui nous correspond.

Bonjour à tous , 

Merci pour votre travail , qui je pense et j’espère va nous faire beaucoup de bien.  Voici ma contribution ...

Mon parcours est très simple , peu motivée aux études , je rate mon BTS NRC , à 23 ans on me propose un CDI . Le Graal à cet âge la , à moi l’indépendance , une voiture , un appart , les sorties ... la sécurité de l'emploi . Puis viens l'ennui , les conflits , le manque de communication avec ma hiérarchie , et mon envie de plus ... De plus de motivation , de plus d'investissement , j'ai envie d'un métier, d'un job qui me ressemble , qui me corresponde ...

Mais c'est la que surgi le problème qu'est qui me correspond , à force d'habitude et de manque de perspective je ne sais même plus qui je suis ce que je vaux , alors comment ce vendre dans ce cas la ? Ou aller ? 

Aller je retourne à mes cours pleine d'espoir , merci à tous .

marine 

Bonjour,

Merci pour ce premier cours Julie !

Suite au visionnage de la vidéo, je pense actuellement qu'il est difficile de ne pas faire de choix par défaut dans certains secteurs où les offres d'emploi sont limitées et la concurrence féroce (notamment la culture). Je regrette d'ailleurs de ne jamais avoir eu de formation sur comment se vendre dans le monde du travail : pour moi, c'est plus dans ce sens que les jeunes ne sont peut-être pas en phase avec le monde de l'entreprise où l'employé doit autant trouver son compte que l'employeur.

Vous dîtes qu'en France, on a choisi le terme de "demandeur d'emploi" et non d'offreur de compétences et que ce n'est pas anodin : je reste sur ma faim, j'aurais aimé que vous développiez davantage ce point en précisant pourquoi, selon vous, ce n'est pas anodin.

Je suis d'accord avec l'idée que les crises permettent aussi l'émergence de solutions alternatives et ne sont donc pas totalement négatives, malgré le discours ambiant.

Et concernant la mobilité, je pense qu'elle est en effet primordiale et que l'époque où on faisait un seul et même métier toute sa vie est terminée. Ce que je trouve personnellement intéressant, de se remettre en question et de ne pas rester sur ses acquis.

Hâte de suivre les prochains cours... A bientôt !