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Cours Trouvez un job #1 / Activités et questions

    15 juin 2015 à 15:08:02

    Bonjour à tous voici ma réflexion sur ce premier chapitre:

    Cette vidéo me parle. Etant formé à l'accompagnement elle me fait écho, cependant je pense que certains des préjugés sont difficiles à réfuter notamment sur le fait que la crise ne demande pas forcément d'être raisonnable et de baisser ses ambitions. Le travail apporte un salaire et après des années de chômage nous sommes obligé en tant que jeunes diplômés de baisser nos prétentions et d'accepter un job pas forcément à la hauteur de nos ambitions. En ce qui concerne le fait d'être dans une posture d'offre, sans expérience il est difficile de se vendre sur des secteurs concurrentiels.

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      15 juin 2015 à 20:04:44

      Bonjour Julie,

      Merci pour ce cours. Quelle énergie!

      Ma contribution à ce premier cours :

      Je suis en ce moment même en phase de transition : quitter un job "planplan" mais sécurisant pour... l'inconnu et, je l'espère, plus de stimulation intellectuelle. J'ai envie de sortir de ce schema trop lisse, arrivée davantage par hasard que par réelle volonté/envie dans mon boulot actuel, je me reconnais totalement dans le discours que tu tiens.

      J'ai des compétences qu'une entreprise sera ravie d'utiliser, j'ai envie de sortir de ma zone de confort, j'ai envie de mieux. Je vaux mieux que ce que je fais actuellement!

      De plus, je suis persuadée que l'innovation est la clé du dynamisme de notre économie. Ça tombe bien j'ai plein d'idée pour rendre mon secteur d'activité plus efficace.

      A nous alors!

      A bientôt.

      Emeline

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        17 juin 2015 à 15:50:08

        Merci à vous de me donner l'occasion d'en parler. Je pense que c'est très important d'avoir le sentiment d'avoir une certaine maitrise de l'évolution de sa vie. Et je pense que votre formation vise à faire en sorte que les gens se rendent compte du fait qu'ils ontdu potentiel et qu'il ne tient qu'à eux d'en tirer le meilleur.

        Je suis du même avis que Julie .

        La plupart du temps dans les entreprises, les anciens voient les jeunes comme des personnes qui vont les remplacer donc se mefient. Cependant ce qu'ils oublient c'est qu'ils ne sont pas éternels donc gagneraient à aider les jeunes à s'intégrer.

        La seconde idée recue nous maintient prisonnier du reve selon lequel c'est avec le temps que notre situation va évoluer et tres vite on se sedentarise et se complait dans le pietre accomplissement qu'on a réalisé et on s'y complait.

        C'est sur il faut venir vers les recruteurs avec la tete hauteet si l'on se rend compte que l'on a pas assez à leur offrir vaut mieux prendre le temps d'améliorer son offre avant d'y aller.

        Il faut etre ouvert et apprendre continuellement car en général les gens se morfondent dans la routine et n'en sorte plus.

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          19 juin 2015 à 4:21:36

          Merci pour ce cours :)

          voici ma réflexion suite au visionnement de la vidéo Détox

          Je n'ai jamais ressenti que j'étais perçue comme mal adaptée dans les milieux de travail où j'ai évolué.  Au contraire, je sentais plutôt une ouverture face à ma jeunesse.

          Par contre, il est vrai qu'on m'a souvent encouragée à avoir des objectifs raisonnables côté carrière afin de ne pas être déçue.  Je pense que ça nous encourage plutôt à ne pas aller au bout de nos rêves, à ne pas chercher à dépasser nos limites.  On risque de se retrouver comme d'autres générations: blasés de notre travail qui devient seulement alimentaire.  

          Ne pas être demandeur d'emploi: c'est à changer dans ma perception

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            22 juin 2015 à 12:07:03

            Un résumé de ma reflexion sur la detox:

            Durant 11ans au Mexique, je me suis spécialisée dans des emplois locaux, je dois donc adapter ces expériences à la France en mettant en valeurs mes atouts et compétences.
            Dans mon cas, il est nécessaire de revoir mes ambitions afin de trouver un emploi alimentaire, tout en parallèle développer mon projet professionnel. Mais la nécessité d'un emploi alimentaire doit garder certain critère qui évite la résignation et permette l'ambition.
            Le changement de position de demande à l’'offre ou apport de compétences permet une relation d'égal à égal entre l'entreprise et le demandeur d'emploi.

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              24 juin 2015 à 0:05:22

              Bonjour,

              Merci pour ces vidéos. Je suis tout à fait d'accord avec l'ensemble des choses énoncées. J'aimerai y ajouter cette réflexion concernant cette idée de job idéal, celui qui nous correspond le mieux. Je suis passé par cette question et ma réponse fut de me dire qu'au final pour moi , le job idéal est celui que j'aurai créé pour moi, à la sueur de mon front, et le fruit de mes compétences et efforts...

              Aujourd'hui, ce "job idéal" appartient au passé, et constitue une ligne de plus dans la catégorie Expériences Professionnelles de mon CV.

              Alors qu'en est-il de nos échecs? constituent-t-ils une expérience et comment se positionner en offrant des compétences liées aussi à nos échecs?

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                25 juin 2015 à 4:34:23

                Bonjour 

                en tant que  jeune élève ingénieure j'apprécie vraiment le début et surtout "Détox" et le fait que les entreprises ont besoin essentiellement des jeunes pour innover et créer et qu'il faut etre  motivé au moment nécessaire et aux changements qu'il peuvent arriver,et ensuite de ne pas etre un demandeur d'emploi mais un vendeur de compétence et de créativité pour apporter des valeurs ajoutés.enfin ça me donne plus d'énergie à découvrir le reste de cours et de voir plus les vidéos pour que je puise avancer à trouver mon job qui me correspond.

                Merci 

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                  25 juin 2015 à 12:53:40

                  davidrakotonindrina a écrit:

                  Bonjour,

                  Merci pour ces vidéos. Je suis tout à fait d'accord avec l'ensemble des choses énoncées. J'aimerai y ajouter cette réflexion concernant cette idée de job idéal, celui qui nous correspond le mieux. Je suis passé par cette question et ma réponse fut de me dire qu'au final pour moi , le job idéal est celui que j'aurai créé pour moi, à la sueur de mon front, et le fruit de mes compétences et efforts...

                  Aujourd'hui, ce "job idéal" appartient au passé, et constitue une ligne de plus dans la catégorie Expériences Professionnelles de mon CV.

                  Alors qu'en est-il de nos échecs? constituent-t-ils une expérience et comment se positionner en offrant des compétences liées aussi à nos échecs?

                  Les échecs font, à mon avis, partis de l expérience professionnelle et nous permettent d être qui nous sommes. Ils nous en apprennent beaucoup sur nous même et, en analysant les raisons de l echec, il est possible de s améliorer et de ne pas répéter les mêmes erreurs.  

                  J'ai moi aussi créé mon "job de rêve" qui fût un échec.  Après plusieurs mois,  j'ai pris le temps d analyser la situation et j'ai réalisé mes erreurs.  Je suis actuellement en processus pour recréer mon job et je sais maintenant un peu plus les pièges que je dois éviter. 

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                    25 juin 2015 à 17:06:27

                    https://openclassrooms.com/courses/trouvez-un-job-qui-vous-correspond-1/comment-allez-vous-travailler#/id/r-2546358
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                      25 juin 2015 à 17:07:32

                      Beaucoup des gens ont des idées préconçues et l'état de négativité est important. Par contre je souhaite un jour faire évoluer cette façon de penser. Pour l'instant j'ai fait tout pour sortir de ma zone de confort;

                      - d'origine Argentine, vécue à Madrid pendant 9 ans et depuis trois ans dans le sud-ouest en France,

                      - je parle trois langues (espagnol, français et anglais) et

                      - j'ai fait la meilleure formation en audit interne et contrôle de gestion qui existe en France.

                      Je n'arrive pas depuis 7/8 mois a trouver ma place dans le contrôle de gestion mais je trouve des entretiens toutes les semaines!!

                      J'espère avec ce cours trouver ce qui ne va pas dans mes démarches pour trouver ou changer ma recherche.

                      -
                      Edité par VictoriaGC 27 juin 2015 à 17:03:42

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                        2 juillet 2015 à 3:41:44

                        Prêt!
                        Vous avez vraiment lu mes sentiments, où je travailles actuellement on nous fait croire qu'on est "soit disant" dans le luxe, qu'on est pas encore expérimente et de plus où je boss tout ceux qui monte de grade sur un autre poste gagne leur poste par piston!
                        Qu'on doit être heureux qu'on a au moins un job bla bla bla. franchement je penses que je mérites toujours mieux!
                        Et pourquoi travailler dans une entreprise où l'employer n'a pas de valeur? Je suis prêt pour me lancer pour de bon.
                        On vend nos services, on valorise leur business, je ne parles pas de me passer un morceau de leurs gâteaux.
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                          3 juillet 2015 à 0:46:47

                          Avant tout commentaire, mon profil: 46 ans, Belge, 25 ans d'expérience, Technicien TIC extrêmement spécialisé, sans diplôme supérieur (Bach techno)+tout en autodidacte.

                          La présentation axée sur les jeunes est effectivement tout à fait concrète et réelle.

                          Je ne suis pas un numéro qui suit le système et qui croit en la connaissance grâce au diplôme.

                          Effectivement, j'entends souvent les 4 idées reçues énoncées, il y a une redondance après 40 ans, avec quelques nuances (Trop de compétences, plus assez dynamique, sante peut-être fragile – merci les statistiques). Bien que moi-même je n’adhère pas a ces idées préconçues, le principal est d’avoir un interlocuteur des ressources humaines qui lui aussi se démarque de cet esprit étroit et enfermé.

                          Pour avoir déjà cette approche, l’"offreur de compétence" ne peut se faire qu'avec une entreprise jeune et dynamique, probablement pas dans les grands groupes qui préfèrent des « moutons » qui suivent aveuglement les procédures.

                          Trop d'entreprises sont encore sur le système hiérarchique pur, distinguant les personnes suivants les diplômes et l’âge (qui intervient pour le calcul de salaire) pour classifie les personnes. Dans ces entreprises, vous devez suivre le système préétabli, toute initiative est malvenue car non-gérable par un système de grand ampleur.

                          Mes Interrogations :

                           Quid des problèmes lies a l'âge dans les technos de pointe?

                          Comment se vendre face aux « Robots informatiques «  triant les CV ?

                          Quid des gouvernements qui pénalisent encore les carrières avec changement de postes (toute année non prestée entièrement est annulée au niveau du décompte de carrière totale)?

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                            3 juillet 2015 à 1:03:00

                            JulieBR a écrit:

                            davidrakotonindrina a écrit:

                            Bonjour,

                            Merci pour ces vidéos. Je suis tout à fait d'accord avec l'ensemble des choses énoncées. J'aimerai y ajouter cette réflexion concernant cette idée de job idéal, celui qui nous correspond le mieux. Je suis passé par cette question et ma réponse fut de me dire qu'au final pour moi , le job idéal est celui que j'aurai créé pour moi, à la sueur de mon front, et le fruit de mes compétences et efforts...

                            Aujourd'hui, ce "job idéal" appartient au passé, et constitue une ligne de plus dans la catégorie Expériences Professionnelles de mon CV.

                            Alors qu'en est-il de nos échecs? constituent-t-ils une expérience et comment se positionner en offrant des compétences liées aussi à nos échecs?

                            Les échecs font, à mon avis, partis de l expérience professionnelle et nous permettent d être qui nous sommes. Ils nous en apprennent beaucoup sur nous même et, en analysant les raisons de l echec, il est possible de s améliorer et de ne pas répéter les mêmes erreurs.  

                            J'ai moi aussi créé mon "job de rêve" qui fût un échec.  Après plusieurs mois,  j'ai pris le temps d analyser la situation et j'ai réalisé mes erreurs.  Je suis actuellement en processus pour recréer mon job et je sais maintenant un peu plus les pièges que je dois éviter. 

                            Effectivement l'analyse des erreurs et des échecs apporte plus que les victoires. Tant que l'on peut remonter et analyser sereinement aux fins de correction, il n'y a pas de problème. Mais attention, plus haut on monte, plus dure est la chute. ne jamais oublier l'adage Romain "Du Capitole a la Roche Tarpéienne, il n'y a qu'un pas." et quand on est en bas de la roche Tarpéienne, on ne se relève plus ! Comprenez par cette métaphore que si vous avez "domine" dans un domaine, si vous chutez, ce domaine vous sera ferme par vos propres anciens pairs. en Europe, la gestion de l’échec est toujours négative, nous ne sommes pas encore au niveau de la cote Ouest des Etats-Unis.

                            Mais dans votre cas, l'analyse semble pouvoir porter ses fruits, donc recommencer en avançant avec précautions pour ne pas reproduire des erreurs passées et anticiper des erreurs ayant échapper a la post-analyse de l’échec. Autrement dit, analyser avant d'avancer, prendre des sécurités, faire du "Disastre recovery".

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                              3 juillet 2015 à 1:18:31

                              SabineLemaire a écrit:

                              Un résumé de ma reflexion sur la detox:

                              Durant 11ans au Mexique, je me suis spécialisée dans des emplois locaux, je dois donc adapter ces expériences à la France en mettant en valeurs mes atouts et compétences.
                              Dans mon cas, il est nécessaire de revoir mes ambitions afin de trouver un emploi alimentaire, tout en parallèle développer mon projet professionnel. Mais la nécessité d'un emploi alimentaire doit garder certain critère qui évite la résignation et permette l'ambition.
                              Le changement de position de demande à l’'offre ou apport de compétences permet une relation d'égal à égal entre l'entreprise et le demandeur d'emploi.


                              Je ne sais ce que les spécialistes professionnels en pensent, mais personnellement, avec le développement des start-ups Françaises, je pense que vos compétences peuvent être valorisées immédiatement dans ce genre d'entreprises sans passer par la case "emploi alimentaire". Aller faire un tour dans les zones des incubateurs (the family,...), vous trouverez certainement chaussure à votre pied.

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                                4 juillet 2015 à 11:22:41

                                Détox , c'est bien , mais dans un environnement négatif et anxiogène sponsorisé par les médias (télévision, journaux, réseaux sociaux,...) , il est aujourd’hui difficile d'imaginer de se positiver sans couper toutes ces sources de stress.

                                Avant de se détoxifier , il convient de se retrouver soi-même et apprendre le lâcher prise. Connaitre son être , son Moi. Une sorte d'inventaire vrai hors de toute systémique d'un environnement parasitaire qui viendrai troubler votre vision ou votre perception.  Offrir ses compétences face à son miroir et non en réponse à des atermoiements d'une société en crise et en profonde mutation. Ne dit on pas : Les métiers de demain n'existent pas encore !. On se crée souvent des compétences par réflexe de peurs. Il est très dommageable en France que les ressources humaines ne font que de la gestion de personnel(paie, Das,...) , rares sont donc les entreprises qui font de la direction ou management du personnel (gestion des compétences, gestion de carrière, analyse des savoirs être , savoirs faire, savoirs penser,....), pour preuve la pauvreté des annonces d'emploi dans leur formulation, se résumant à de très grandes banalités itératives.

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                                  5 juillet 2015 à 13:27:23

                                  Réaction vidéo détox :

                                  - d'accord avec l'idée qu'au-delà des questionnaires d'orientation existant, il manque un lien réel entre scolarité et emplois correspondant aux résultats obtenus dans ce cadre.

                                  - heureuse d'entendre dire que la singularité doit être reconnue comme une valeur professionnelle.

                                  - complètement d'accord avec le fait que c'est nous qui avons à offrir nos compétences à une entreprise en demande et non l'inverse.

                                  - d'accord aussi avec l'idée qu'une crise économique est forcément créatrice de nouvelles opportunités en ce sens qu'elle impose une remise en cause du système faisant défaut.

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                                    6 juillet 2015 à 23:06:34

                                    Je suis assez d’accord avec votre explication sur le travail qui vous correspond est celui-ci qui vous permet de vous épanouir dans un environnement qui vous convient. Il doit y avoir harmonie entre vos valeurs personnelles et celle de l’entreprise.

                                    Effectivement, vous changez au cours de votre vie mais le marché/monde bouge aussi autour de vous et que par conséquent l’entreprise est obligée de s'adapter, c'est pour cela qu’un poste aujourd’hui ne peut pas être durable mais vu comme étape qui vous permet d'améliorer ou d'acquérir de nouvelles compétences qui vont augmenter votre employabilité et ainsi construire votre carrière.

                                    J’ai beaucoup aimé votre vision de l’offre et la demande. Cette vision inversée qui nous fait voir une personne sans emploi comme demandeur d’emploi, comme si c’était un dû, au lieu d’offreur de compétence pour le « bien de l’humanité »

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                                      7 juillet 2015 à 15:20:56

                                      J'aime beaucoup les idées detox, et je confirme que les jeunes ont beaucoup à apporter aux entreprises !

                                      Concernant mon parcours professionnel, je subis l'idée reçue comme quoi le développement informatique c'est pour les jeunes, et que l'on doit aspirer à évoluer en chef de projet. C'est le principe de Peter incarné : pourquoi alors que je suis douée pour coder, je devrais évoluer vers un poste où je ferais de l'encadrement, qui est quelque chose que je ne sais pas faire (quoique probablement mieux que d'autres qui y sont déjà) et qui ne m'intéresse pas du tout ?

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                                        9 juillet 2015 à 10:24:01

                                        Je termine mon master cette année, et je redoute ce fameux statut de "demandeur d'emploi", comme si la fin des études marquait le début d'une période où mon statut deviendrait inclassable dans les formulaires. Ma seconde crainte est de ne pas être assez qualifiée pour les postes auxquels j'aspire, ce qui me démotive parfois à postuler pour un emploi qui aurait pu me plaire. Enfin, la peur de m'être trompée de chemin durant mes études créée une barrière, qui me fait souvent hésiter sur le domaine dans lequel j'aimerais travailler. Je réalise à présent que mes craintes sont normales.
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                                          9 juillet 2015 à 12:17:22

                                          Bonjour Julie,

                                          Voici mon partage, suite au visionnage de la vidéo détox :

                                          J'ai toujours eu des velléités artistiques. Mais au lycée - la crise n'était pas encore là ! - parents , conseillère, et articles censés être informatifs m'ont tous découragé. Pourtant des années plus tard, je sais maintenant, qu'avec du sérieux et du travail les filières artistiques peuvent déboucher sur de vrais métiers, porteurs de sens, de joie et de satisfaction pour ceux qui ont cette passion, cette fibre.
                                          Pendant longtemps j'ai cru que c'était de ma faute, si je n'avais pas choisi cette filière (j'ai choisi les mathématique à l'époque haha !!).
                                          Grâce à la vidéo de jobmaker, je réalise à quel point l'entourage, et la négativité des discourts ambiants nous affectent et nous plombent.
                                          Je suis convaincue, que des choix par défauts plombent, minent le moral, alimentent des sentiments de frustration voir d'abattement et de déprime.  Tandis que des choix professionnels porteurs de sens permettent d'alimenter notre énergie à aller de l'avant, à trouver et à faire avec joie.
                                          Je pense que l'essentiel est de connaitre ses motivations profondes, et de mettre son énergie à l'oeuvre dans cette direction. Ce mouvement là est déjà une satisfaction en soi.  Voilà, j'en suis là maintenant, dans ce mouvement vers la vie et mes aspirations profondes. Que de remise en question, mais quelle plaisir aussi !
                                          Maintenant, difficile de  s'auto-écouter, de s'auto-juger, de se faire confiance et de se vendre, pour quelqu'un comme moi qui n'est pas sûre d'elle même.  J'appréhende, parceque parler de moi m'est très difficile, mais allez, challenge accepted !

                                          Stéphanie

                                          Merci de m'avoir lu !

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                                            9 juillet 2015 à 19:23:54

                                            Bonjour,
                                            Les conseils de Julie sont assez enthousiasmant. En effet repenser certains aspects du monde de l'entreprise avec un autre point de vue permet d'appréhender plus positivement les choses, notamment au fait de devenir offreur plutôt que demandeur. l'idée que l'on pense son métier dans un univers numérique est géniale.
                                            Mais je travaille comme stagiaire dans un métier qui me plaît sans être certain qu'il s'agisse de celui pour lequel je suis fait et cela reste compliqué de comprendre qu'est ce que j'apporte ou peu apporter de plus pour satisfaire l'entreprise et moi-même.
                                            Merci
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                                              9 juillet 2015 à 19:26:05

                                              Du coup tu penses changer de métier ?


                                              stéphaniecherruet a écrit:

                                              Bonjour Julie,

                                              Voici mon partage, suite au visionnage de la vidéo détox :

                                              J'ai toujours eu des velléités artistiques. Mais au lycée - la crise n'était pas encore là ! - parents , conseillère, et articles censés être informatifs m'ont tous découragé. Pourtant des années plus tard, je sais maintenant, qu'avec du sérieux et du travail les filières artistiques peuvent déboucher sur de vrais métiers, porteurs de sens, de joie et de satisfaction pour ceux qui ont cette passion, cette fibre.
                                              Pendant longtemps j'ai cru que c'était de ma faute, si je n'avais pas choisi cette filière (j'ai choisi les mathématique à l'époque haha !!).
                                              Grâce à la vidéo de jobmaker, je réalise à quel point l'entourage, et la négativité des discourts ambiants nous affectent et nous plombent.
                                              Je suis convaincue, que des choix par défauts plombent, minent le moral, alimentent des sentiments de frustration voir d'abattement et de déprime.  Tandis que des choix professionnels porteurs de sens permettent d'alimenter notre énergie à aller de l'avant, à trouver et à faire avec joie.
                                              Je pense que l'essentiel est de connaitre ses motivations profondes, et de mettre son énergie à l'oeuvre dans cette direction. Ce mouvement là est déjà une satisfaction en soi.  Voilà, j'en suis là maintenant, dans ce mouvement vers la vie et mes aspirations profondes. Que de remise en question, mais quelle plaisir aussi !
                                              Maintenant, difficile de  s'auto-écouter, de s'auto-juger, de se faire confiance et de se vendre, pour quelqu'un comme moi qui n'est pas sûre d'elle même.  J'appréhende, parceque parler de moi m'est très difficile, mais allez, challenge accepted !

                                              Stéphanie

                                              Merci de m'avoir lu !



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                                                10 juillet 2015 à 9:21:36

                                                Et bien oui, je pense que c'est le bon moment pour changer de cap : mon compagnon change d'entreprise, direction une nouvelle ville, et moi je suis au chomage. Offreuse de services.

                                                Le plus dur je trouve c'est de comprendre son environement (le nouveau, celui vers lequel on tend) ; et puis de savoir ce qu'on peut apporter, et de se convaincre de sa propre légitimité (la confiance en soi, c'est le nerf de la guerre, pour moi en tout cas ! )

                                                Gousse a écrit:

                                                Du coup tu penses changer de métier ?


                                                stéphaniechanet a écrit:

                                                Bonjour Julie,

                                                Voici mon partage, suite au visionnage de la vidéo détox :

                                                J'ai toujours eu des velléités artistiques. Mais au lycée - la crise n'était pas encore là ! - parents , conseillère, et articles censés être informatifs m'ont tous découragé. Pourtant des années plus tard, je sais maintenant, qu'avec du sérieux et du travail les filières artistiques peuvent déboucher sur de vrais métiers, porteurs de sens, de joie et de satisfaction pour ceux qui ont cette passion, cette fibre.
                                                Pendant longtemps j'ai cru que c'était de ma faute, si je n'avais pas choisi cette filière (j'ai choisi les mathématique à l'époque haha !!).
                                                Grâce à la vidéo de jobmaker, je réalise à quel point l'entourage, et la négativité des discourts ambiants nous affectent et nous plombent.
                                                Je suis convaincue, que des choix par défauts plombent, minent le moral, alimentent des sentiments de frustration voir d'abattement et de déprime.  Tandis que des choix professionnels porteurs de sens permettent d'alimenter notre énergie à aller de l'avant, à trouver et à faire avec joie.
                                                Je pense que l'essentiel est de connaitre ses motivations profondes, et de mettre son énergie à l'oeuvre dans cette direction. Ce mouvement là est déjà une satisfaction en soi.  Voilà, j'en suis là maintenant, dans ce mouvement vers la vie et mes aspirations profondes. Que de remise en question, mais quelle plaisir aussi !
                                                Maintenant, difficile de  s'auto-écouter, de s'auto-juger, de se faire confiance et de se vendre, pour quelqu'un comme moi qui n'est pas sûre d'elle même.  J'appréhende, parceque parler de moi m'est très difficile, mais allez, challenge accepted !

                                                Stéphanie

                                                Merci de m'avoir lu !





                                                -
                                                Edité par stéphanie chanet 27 juillet 2015 à 9:54:51

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                                                  10 juillet 2015 à 10:51:21

                                                  Je suis assez d'accord avec l'ensemble de la vidéo detox.

                                                  Les entreprises veulent des candidats avec le maximum de compétences pour qu'ils rapportent le plus vite de l'argent. Cela se ressent dans les offres... je veux dire, les demandes de compétences ce qui a tendance à en décourager plus d'un qui plante leur entretien à cause de cette pression.

                                                  Il y'a tout de même un point dans la vidéo "detox" où je ne suis pas 100% d'accord. Aujourd'hui on parle de mobilité dans le travail, mais selon moi c'est parce que les entreprises ont complètement arrêtées de fidéliser leurs employés malgré toutes les belles phrases affichées dans leurs couloirs parlant du "futur des employés", ...
                                                  C'est à se demander si les entreprises n'ont pas souhaité cette mobilité afin d'obtenir de la "chaire fraiche" bien motivée et prête travailler sous pression sans broncher et facilement "jettable".

                                                  -
                                                  Edité par ThierryVanHalen 10 juillet 2015 à 10:52:14

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                                                    10 juillet 2015 à 15:28:29

                                                    Bonjour tout le monde, et merci Julie pour ce programme qui s'annonce très intéressant.

                                                    Suite à la vidéo détox, je suis conforté dans plusieurs de mes idées. Tout d'abord, je trouve regrettable qu'on soit constamment poussés à accepter un CDI. Or, il semble de plus en plus important de ne pas se laisser embarquer dans un job qui ne nous correspond pas, et qu'on garde toute sa vie par sécurité.

                                                    Comme beaucoup de gens, selon moi, cette vidéo m'a surpris car les jeunes diplômés ont tendance à abaisser leurs exigences, surtout en ce qui concerne le salaire.

                                                    J'espère que les vidéos suivantes pourront répondre à d'autres de mes interrogations.

                                                    Bonne journée,

                                                    Franck.

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                                                      10 juillet 2015 à 16:44:27

                                                      Je crois comprendre que l'important pour trouver un travail est d'avoir un regard positif sur soi et sur sa position de personne en recherche d'emploi -ou plutôt en position d'offrir ses qualités et ses forces à un futur employeur. Cela me paraît plus facile à dire qu'à faire mais je ne suis pas surprise par cette proposition.
                                                      Pour ma part, à 53 ans, je risque de subir les préjugés des employeurs à l'égard des "seniors". D'autant que je suis fonctionnaire!
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                                                        Bon jour à tous,

                                                        voici mes remarques sur la vidéo detox :

                                                        - jusqu'à quand est-on considéré comme un "jeune" en entreprise : 5 ans, 10 ans, 15 ans d'expérience ?
                                                        - les remarques faites aux "nouvelles générations" ont toujours existé. Les théories générationnelles (génération X, Y,...) censées aider les générations à mieux se comprendre me semblent avoir eu l'effet inverse. Elles conduisent à des stéréotypes et à des généralisations abusives.
                                                        - à se remémorer avant chaque entretien : je ne viens pas mendier un travail mais proposer mes compétences ! généralement les employeurs apprécient cette posture (et si ce n'est pas le cas, il vaut mieux les fuir !)
                                                        - je devrais changer régulièrement d'emploi donc je dois veiller à mon employabilité tout au long de mon parcours : ne pas se laisser enfermer dans un domaine trop restreint, se former régulièrement et entretenir son réseau.

                                                        Et pour répondre à Marie : en effet les préjugés touchent tout le monde et les employeurs ne sont pas tendres avec les seniors non plus... Malheureusement il est parfois difficile de vendre ces compétences à des employeurs qui ne regardent que le profil (junior / senior, public / privé, niveau de diplome...)

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                                                          11 juillet 2015 à 1:24:19

                                                          Bonjour,

                                                          J'adore l'idée "offreur de compétences" qui renverse le rapport recruteur - recruté et qui est valorisant à double titre : elle renforce l'estime de soi du recruté et positionne le recruté à un niveau d'estime plus haut chez le recruteur. De plus, elle incite à une exploration de soi, ce qui augmente les connaissances de soi et aussi la confiance en soi grace à ces connaissances.

                                                          Sortir de la recherche de sécurité dans quelque chose de durable favorise une dynamique active d'évolution personnelle.

                                                          Merci Julie pour ces nouvelles visions "jeunes" et dynamiques.

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                                                            11 juillet 2015 à 14:56:45

                                                            Bonjour,

                                                            Julie nous invite à un véritable changement de paradigme et abats une à une les idées reçues qu’on nous assène dans ce climat si pessimiste de crise.

                                                            J’ai trouvé certaines remarques complètement étonnantes voire même déroutantes comme par exemple le fait d’offrir ses compétences plutôt que d’être en demande. C’est complètement novateur notamment en France et ça nous rends plus acteur dans notre démarche. Plutôt que d’attendre qu’une entreprise veuille bien nous répondre, à nous de savoir d’identifier nos compétences et de savoir nous vendre.Autre point qui m’a intéressé, c’est le fait de faire un métier que l’on veut vraiment plutôt que de rentrer dans une case qui ne nous convient pas, en somme ne pas faire de choix par défaut. Nous voulons tous cela au plus profond de nous-mêmes mais avons tendance à rabaisser nos ambitions quand nos parents ou l’ancienne génération nous incite à être prudents. Société de la prudence, de la peur, l’opportunisme en France ou l’innovation n’est vraiment pas encouragée…Dans ce monde où tout change à une vitesse folle, je suis persuadé que ceux qui s’en tireront le mieux seront ceux qui seront les plus adaptables et ceux qui sauront prendre des risques. Osons être nous-mêmes et nous en serons certainement récompensés.

                                                            La plupart d’entre nous fonctionnons encore sur le même mode que nos parents ou arrières grands parents : trouver un emploi stable si possible avec la sécurité de l’emploi et ne plus en bouger. Se marier et faire des enfants, acheter une maison et tout ça dans l’ordre. Malheureusement ou pas, toutes ces choses ne sont pas garanties dans le monde d’aujourd’hui et c’est encore moins probable que toutes ces choses durent à vie. Je trouve que Julie nous invite à prendre conscience de cela d’un point de vue positif, de voir que cela peut être une chance pour nous à condition de savoir être proactif et de passer à l’action. J’ai hâte de connaître progresser davantage dans le cours pour savoir ce que Julie nous a préparé, j’ai hâte de connaître un peu plus sa démarche et d’apprendre à développer les qualités qu’il faut développer pour être ce qu’elle appelle un JobMaker.

                                                            Dernier point, cela fait du bien de se sentir soutenu et défendu en tant que jeune.

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                                                              11 juillet 2015 à 15:00:22

                                                              Oui complètement d'accord avec toi Caroline, j'adore aussi ce renversement de posture. Le candidat arrive comme cela avec l'attitude de venir offrir quelque chose et de ne pas venir prendre les éventuelles miettes qu'on va lui proposer. Cela force le candidat à mieux se connaitre aussi et à prendre confiance en lui comme tu le dis :)
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