Ne sommes nous pas parfois trop exigeant quant à nos prétentions ? Il est effectivement plus sage de faire des compromis sur les points qui nous semblent les moins importants, dans la mesure où nous ne cédons pas sur nos priorités. Prendre un job par défaut c'est être déçu et avoir envie de changer à court terme. Obstacles mentaux et ambition raisonnable ? Je me rends compte, sur le tard, que mon manque de confiance et mes ambitions toujours revues à la baisse m'ont fait passer à côté de belles opportunités. Il est temps de réagir et, en même temps, vais-je être crédible ?
Bien sûr vous allez être crédible ! être vrai avec soi même est déjà très difficile mais cela se voit à l'extérieur et les gens qui veulent vous manipuler ne peuvent plus le faire, ils n'ont plus de prise sur vous, car vous savez ce qui est juste et ceci peut les faire changer aussi.
Je pense qu'il ne s'agit pas de tout lacher pour trouver le super job avec reconnaissance... mais de se rendre compte de tout notre potentiel, après tout au travail on utilise que très peu de chose que l'on c'est faire dans la vraie vie courante.
Voici comme convenu mes réaction suite à la vidéo détox.
Ma première réaction concernant cette vidéo est qu'elle est trop ciblés sur les jeunes. J'ai 36 ans et je n'est pas arrêter d'entendre "c'est sûr ce n'est pas le job idéal mais c'est mieux que rien". A chaque fois, je me laisse convaincre car il faut bien payer les factures comme on dit et en même temps je ne veux pas me laisser faire, je veux un job qui me passionne car la vie est courte !
Deuxième réaction, le fait de faire plusieurs métiers. En ce qui me concerne, je dois dire que mon prof de gym au collège avait raison, à l'époque il nous avait dit "vous êtes la génération de plusieurs métiers" et bien j'en suis au 4ème métier.
Troisième réaction, j'ai bien aimé la phrase "offreur de compétences" en y réfléchissant ça prend tout son sens.
En tout cas, merci pour la vidéo, je pense qu'elle devrait être diffusé dans les établissements scolaires afin de mieux préparer nos enfants au monde du travail.
J'ai été agréablement surprise par la formulation "vendeur de compétences", car en effet je chercher actuellement à changer de travail et je me positionné plus comme demandeur d'emploi, c'est à dire en position de faiblesse par rapport aux entreprises. La vidéo m'a également interpellé sur le fait que je cherchais "n'importe quel travail" du moment que je change et que je puisse continuer à mener des projets intéressants... c'est assez vague comme discours. et l'idée de je cherche le métier qui me correspond pour etre plus épanoui, mais aussi plus efficace et savoir mieux me vendre me motive!
Dommage qu'il n'y ait pas plus de dialogue sur ce fil, et que ce ne soit qu'une accumulation de témoignages en forme de monologues. Malheureusement, je n'ai pas moi non plus de conseils à donner, parce que je suis perdu comme les autres. Ce serait bien d'avoir l'avis de l'auteure du cours.
Le discours ultralibéral ambiant ne peut pas comprendre qu'on cherche un boulot pour pouvoir survivre, et tente de nous faire oublier l'énorme pression qu'exerce le marché de l'emploi pour les personnes au chômage, et le chômage pour ceux qui ont la chance d'avoir un travail. C'est un peu ce genre de mise en perspective qui manque à ce cours. C'est pourquoi il est facile de conseiller de ne pas choisir un job "par défaut", mais ce n'est pas toujours facile à faire. Se positionner comme "vendeur de compétences", c'est se donner l'illusion qu'on traite d'égal à égal avec un employeur, mais le patron a un atout maître dans sa manche : la menace du chômage, le "si ça ne te convient pas, on ne te retient pas, il y en a des centaines qui attendent pour prendre ta place".
Dans l'idéal, il est vrai qu'on se stabilise beaucoup plus facilement dans un travail que l'on aime, et qui correspond à notre personnalité. Mais dans la jungle de l'emploi, il faut savoir trouver le job "raisonnable", en attendant le coup de chance, d'autant que le gouvernement nous prépare la vieille recette de la dégressivité des allocations chômage, comme si les chômeurs se complaisaient dans leur situation toujours plus précaire.
Les patrons ont inventé les salariés-kleenex, qu'on doit pouvoir licencier plus facilement. Alors, oui, aujourd'hui, il faut pouvoir exercer plusieurs métiers, mais ce n'est pas un choix, dans une société où le CDI est devenu l'exception, et la précarité la règle.
Ce que je note, c'est qu'on se forme de plus en plus pour ne pas avoir de travail, ou avoir un travail qui ne nous correspond pas.
Et que par la même occasion, les dirigeants d'entreprises baissent de plus en plus la rémunération proposée pour des postes, mettent en place des plans de licenciement, et tout ça pour au final, s'en mettre plus dans la poche.
Bonjour, je suis à ce jour plus que convaincue de la valeur de cette différence de terme et de posture entre le demandeur et l'offrant ! Vision oh combien juste et qui me fait finalement me poser encore plus de questions : comment vendre mes compétences ? Pourquoi moi et pas un(e) autre ? Je souhaite changer d'orientation professionnelle mais je restais jusqu'alors certaine que je ne pourrais prétendre qu'à un certain type de poste. Le fait de voir l'importance évidente entre les termes de demande et d'offre m'ouvre aujourd'hui un horizon beaucoup plus large.
e que vous proposez est tout à fait évident et clair à mon sens. Je m'y accorde tout à fait. J'ai effectivement vécu ces situations et la notion d'offrir ses compétences coule de sens.
Pas de surprises, de contradictions ou de désaccord jusque là.
bonjour, je viens de visionner les vidéos de la partie 1 et je vous fais part de ma réflexion comme préconiser dans l'activité.
Après réflexion, l'idée reçue 1 est ce qui met arriver quand je suis entrée dans la vie active. Après un BTS action commerciale j'ai étais recalée à tous mes entretiens car je j'étais trop jeune sans expérience et l’employeur voulait des gens performant immédiatement! Pour moi, mon manque d’expérience était un atout car je n'étais pas "formater" à une méthode et que j'avais un regard neuf sur le monde extérieur. J'ai du me rabattre sur un poste d'hôtesse de caisse pour survivre. Résultat, après 10 ans dans ce domaine j'ai beaucoup de mal à en sortir car une "caissière" n'est rien!!
merci pour ce cours, je vais suivre la suite avec intérêt.
Je suis d'accord avec Julie, on doit être mis dans des cases définis à l'avance, des cases qu'on nous impose sans chercher à voir si elles nous correspondent à 100%. Elle nous parle d'apprendre à se vendre, je suis d'accord on doit l'apprendre car vendre qqch ou se vendre soi-même n'est pas inné. Je suis d'accord avec ce qu'elle dit sur le statut de demandeur d'emploi : " je cherche un emploi oui mais pour y offrir mes compétences, mon savoir-faire, j'offre mes services". Rebondir sur plusieurs statuts, c'est vrai que c'est tentant, le plus dur est de passer le cap de l'envie à l'action.
C'est tout à fait vrai. Cela reflète bien la perception du monde du travail actuel. Il y a un gros problème et un énorme décalage avec les choix d'orientation imposés dès le lycée alors que nous n'avons aucune idée des débouchés. Les idées reçues sont très pertinentes et assez bien résumées autour de ces 4 points. Il y a une pression sociale et médiatique poussant à stigmatiser les jeunes au chômage au lieu de les accompagner vers une orientation au plus juste de leur personnalité et de leur profil. C'est décourager avant même de pouvoir essayer de faire ses preuves !
j'aurai souhaité participé au fil de discussions de ce forum, mais il est richement alimenté pour prétendre cerner toutes les reflexions qui y sont faites. Félicitations donc à Julie et toutes les personnes qui ont travaillé sur ce sujet très intéressant.
Pour répondre au premier exercice de ce cours :
Ma première réaction en visionnant cette vidéo fut d'admettre que nous avons grandit et fait nos études, dans la perspective de "trouver un travail", et non l'inverse.
Lorsque les études touchent à leur fin, nous devons être prêt à créer notre CV et une lettre de motivation spécifiques à chaque offre d'emploi qui nous "intéresse".
Ce dernier mot pour moi jusqu'ici ne signifie rien, puisque mon parcours professionnel fut un enchaînement de choix par défaut, pour cause probable le manque de recul sur la véritable nécessité d'une période "sans emploi" à la sortie de l'école et donc de ce fait le manque de temps sur la recherche d'un job qui me correspond.
Notre premier rapport à l'emploi en tant qu'étudiant n'a que très peu de chance d'être différent de celui que nous dicte le consensus. On garde la tête dans le guidon pour trouver un job afin de "rechercher la stabilité et s'insérer durablement" dans le monde du travail, comme nos paires, comme nos parents, mais sans apprendre pour autant à nous connaître suffisamment pour évaluer et connaître notre véritable valeur sur un emploi qui nous correspond.
J'ai donc hâte de poursuivre ce cours afin d'en apprendre plus sur moi-même.
Ni conseiller d'orientation, ni coach...j'accompagne des étudiants étrangers qui souhaitent poursuivre leurs études en France. Je suis régulièrement confrontée aux mêmes discours : "Mon papa a dit que je ferais médecine". Je me rends compte que j'ai moi-même vécu une situation similaire, tout au long de mon parcours scolaire et universitaire, sans jamais y prêter attention tant cela me paraissait finalement normal. J'ai cependant pu choisir une voie qui m'intéresse mais je dois affiner mon projet. Merci Julie pour votre travail et à chacun pour vos réactions.
Pour être franc, je dois dire que je me suis retrouvé dans les propos de Julie au début de la vidéo. Moi aussi je me suis retrouvé confronté aux incertitudes quand il a fallut faire un choix d'orientation. Comme elle dit si justement, on à l'impression d'être à l'entrée d'un labyrinthe en priant pour ne pas choisir un parcours qui se termine par une impasse.
Ensuite cette vidéo m'a rassuré car je suis dans le cas de changer de job tout les 4 ou 5 ans, et prenant mes générations ascendantes comme exemple, je pensais que n'étais pas stable, ce qui est donc visiblement faux.
Tout d'abord, merci pour cette vidéo qui encourage à la réflexion .
Il est clair qu'un état d'esprit positif est essentiel pour trouver du travail.
Le job parfait n'existe pas et même si c'était le cas dans un premier temps, cela ne pourrait pas être définitif car nos envies évolues continuellement.
Se forcer à choisir une voie par défaut car celle-ci serait prometteuse de nombreux débouchés n'est pas une solution car il est difficile d'être efficace sans motivation, du moins pas sur le long terme.
Il est vrai que de nos jours, ce sont des expressions que l'on entend souvent lorsque l'on est "demandeur d'emploi" et jeune. Comme le dis Julie, en tant que jeunes nous avons beaucoup à apporter aux employeurs mais, ce qui n'est pas simple c'est comment déclencher les opportunités pour prouver à ces derniers que nous avons les compétences requises.
Après, comment trouver le job qui nous correspond alors que par exemple, nous n'avons que bac et que, le job qui nous correspond lui nécessite Bac+2 ?
Pour moi il est vrai que nous somme offreurs de compétences mais avec certaines limites.
J'aimerai que des conseillés d'orientation puisque donner des outils qui permettent a un jeune de trouver sa voie. Et non de l'orienté en fonction du secteur d'activité de la région.
A l'époque j’envisageais d'être illustratrice. Mais mon entourage ainsi qu'une conseillère d'orientation m’ont convaincu d'abandonner. J'ai donc suivi des études techniques.
Ma première réaction est de constater la puissance du changement de point de vue. L'idée la plus percutante est celle qui consiste à passer de "demandeur d'emploi" à celle de "vendeur de compétences". Cette idée impose de faire la liste de ses propres compétences, et donc de comprendre ce qu'est une compétence. Sinon, impossible de la "vendre". Cette idée est aussi extrêmement motivante car elle propose une vision "positive" de la recherche d'emploi. "Vendre" est mieux considéré que "demander"..il y a là une différence sémantique qui redonne une une dignité professionnelle.
N'étant plus dans la catégorie "jeune", cette vidéo me concerne tout de même.
Quelque soit le moment de la recherche, on est souvent confrontés aux 4 points évoqués.
Jeune : Pas d'expérience, salaire minima... Confirmé : Pourquoi changer de métier, d'orientation professionnelle ? Expérimenté : Trop de compétences, de savoir faire.
Quelque soit le moment, on a souvent droit au même discours, à partir du moment où l'on se positionne en "demandeur d'emploi".
J'ai testé "l'offre de services", et il est vrai qu'on en ressort grandit voir plus fort, car nous avons le pouvoir de choisir.
Bonjour les demandeurs d'emploi (rire) je plaisante, je veux dire offreurs de services.
Le job qui me convient est un job ou je serai à l'aise, motivé et suffisamment payé. J'ai été prof au collège, mais ce job ne rentre pas dans ma définition; je ne supportais plus la fatigue morale et physique qu'engendraient mes cours devant des élèves indisciplinés et désintéressés. Le soir je devais encore travailler mes cours et mes présentations chez moi. J'étais payé un salaire de 1585 net. La seule chose qui matchait ma définition était donc ma motivation. J'étais motivé, mais mal payé et pas du tout à l'aise. Alors il est difficile de dire si c'était moi qui n'était pas adapté au métier de prof ou alors les conditions dans lesquels j'ai exercé ce métier n'étaient pas adaptées.
Je pense que le job que l'on définit comme "idéal" avant de l'exercer est un job de rêves. Et le job que l'on qualifie d"idéal" après l'avoir exercé en est vraiment un. C'est vrai dans le sens où beaucoup de gens se sont découvert des vocations par hasard; mais c'est aussi faux car même si l'on découvre son job idéal, ils y auraient toujours d'autres qui seraient plus idéals encore.
Pour la question de l'offre et la demande je pense vôtre réflexion améliore l'optimisme et la confiance en soi mais ne donne aucun avantage pratique. On est demandeur d'emploi et offreur de services et vice-versa pour l’entreprise.
Pour la question de la flexibilité dans l'emploi. Je pense clairement qu'il faut s'adapter au monde du travail français car dans ce pays, on aime pas la flexibilité, on aime pas l'évolution en interne et on aime pas l'augmentation des salaires qui sont automatiques dans d'autres pays. Alors je m'adapte en supprimant les petites expériences sur mon CV. En France on se pose plus la question «quelle est l'entreprise qu’il me faut?» plutôt que «quel est le métier qu'il me faut?» Je pense aussi que beaucoup de gens ne trouvent pas le job qui leur faut car les méthodes RH ne sont pas adaptées et sont souvent soit subjectives soit trop automatiques.
Je rejoins rasa18 sur le fait que nous manquons de conseillers d'orientation qui s'adaptent en fonction des envies des jeunes pour savoir les rediriger comme il faut. Je me souviens aussi de mon premier entretien d'orientation à la fin du collège : -"Je voudrais faire une école en rapport avec le dessin." -"Ce n'est pas raisonnable, ça coûte cher et en plus avec tes bonnes notes tu devrais rester en voie générale." Résultat je n'ai pas suivi son conseil, mais je n'ai pas non plus suivi mes envies, essayant de trouver un entre-deux "raisonnable" en étant complètement paumée. Je me suis planté, et plusieurs fois, principalement parce que je faisais des choix par défaut. D'ailleurs je rejoins aussi ArezkiAgrouche sur cette phrase "Je pense que le job que l'on définit comme "idéal" avant de l'exercer est un job de rêves. Et le job que l'on qualifie d'"idéal" après l'avoir exercé en est vraiment un." Je me suis planté aussi parce que je me faisais une fausse idée des métiers que j'ai voulu exercer. Il faut donc savoir réellement identifier le métier que l'on veut faire en premier lieu.
A mon tour de donner mes réactions à la vidéo Detox !
Je pensais que tout ce négativisme et cette perte de motivation n'était dû qu'à moi-même... Mais en regardant cette vidéo, j'ai ressenti beaucoup de soulagement en voyant que mon découragement a une (je ne dis pas qu'elle est la seule, mais à mes yeux, c'est l'une des principale) cause et que je peux en combattre les effets.
Je suis surprise par contre que personne auparavant n'ai évoqué aussi franchement ces idées reçues, pour montrer à quel point elles sont nuisibles dans le chemin de vie professionnelle d'une personne. J'ai déjà entendu en entretien des choses comme "changez de casquette", "prenez de la hauteur" : maintenant je sais par rapport à quoi !
Pour être franc, je dois dire que je me suis retrouvé dans les propos de Julie au début de la vidéo. Moi aussi je me suis retrouvé confronté aux incertitudes quand il a fallut faire un choix d'orientation. Comme elle dit si justement, on à l'impression d'être à l'entrée d'un labyrinthe en priant pour ne pas choisir un parcours qui se termine par une impasse.
Ensuite cette vidéo m'a rassuré car je suis dans le cas de changer de job tout les 4 ou 5 ans, et prenant mes générations ascendantes comme exemple, je pensais que n'étais pas stable, ce qui est donc visiblement faux.
Je suis bien d'accord avec bouvetjohan : navigation à l'aveugle depuis le lycée, voir avant, puisque la pression pour choisir LA profession et donc LA formation commence bien souvent dès le collège. Choix des options, des langues, etc. Mais que faire quand on est adolescent et que l'on fait face à des parents stressés et des conseillers d'orientation capables de vous dire "un profil scientifique et créatif ? vous n'irez nulle part mademoiselle".
A la fac c'est encore pire, puisqu'il faut aller à la chasse aux informations seul-e. Informations que l'on peut attraper par hasard (vécu), qui peuvent être parcellaires ou simplement biaisées par le moment ou bien la façon dont on les recherche.
La phase des 4 ans m'a aussi parlée, car je sens actuellement que j'arrive au bout de quelque chose. Maintenant le plus dur est de trouver quelle suite donner à tout ce parcours.
ArezkiAgrouche a écrit:
Pour la question de la flexibilité dans l'emploi. Je pense clairement qu'il faut s'adapter au monde du travail français car dans ce pays, on aime pas la flexibilité, on aime pas l'évolution en interne et on aime pas l'augmentation des salaires qui sont automatiques dans d'autres pays. Alors je m'adapte en supprimant les petites expériences sur mon CV. En France on se pose plus la question «quelle est l'entreprise qu’il me faut?» plutôt que «quel est le métier qu'il me faut?» Je pense aussi que beaucoup de gens ne trouvent pas le job qui leur faut car les méthodes RH ne sont pas adaptées et sont souvent soit subjectives soit trop automatiques.
Merci de votre attention et bonne chance à tous
Là aussi, je suis d'accord pour dire qu'il y a des poncifs et une façon de faire bien franco-française. Procédurière et peu souple...Bref, elle ne fait pas rêver et elle est pénalisante pour tous, candidats et entreprises. Pour autant, une nouvelle génération d'entrepreneur-e-s arrive, je pense donc qu'ils pourront faire bouger les lignes en étant moins rigides dans les profils recherchés.
Pour ce qui concerne les grands groupes, à mes yeux les plus formatés...J'ai laissé tomber. J'ai compris qu'à moins d'avoir LE diplôme (l'école/le MBA/la formation d'élite, rayez la mention inutile) + L'Expérience préalable dans les entreprises fonctionnant sur le même moule...C'était inutile. Une perte de temps, d'énergie et une réelle source de frustration.
Bonjour étant en ce moment à la recherche d'un emploi depuis quelques mois et après avoir eu une expérience dans le développement web je me suis lancer dans ce cours qui je l'espère va me permettre de me retrouver moi même et de trouver le job qui me plaît.
Je trouve la vidéo DETOX tellement pleine de sens. On peux dire que vous avez à réussi à mettre en avant les points les plus importants que tout le monde peux se poser à un moment donné dans sa vie concernant la recherche d'un emploi. Pour moi ceux qui m'ont le plus marqués sont ceux là:
_ être offreur d'emploi et non pas demandeur d'emploi, j'ai pu lire sur ce forum qu'on est beaucoup à s'être rendu compte que cette posture d'offreur est une des clés pour réussir. Certes on arrive sans expériences dans une entreprise, mais on à la motivation qui est une chose importante pour un employeur.
_ l'autre idée et que il faut se préparer dans notre vie à être une sorte de couteau suisse et ne pas forcément rester au même poste pendant des dizaines d'années et donc de faire plusieurs métiers.
Cette vidéo est un bon point de départ quand on veut se remettre d'aplombs pour trouver un nouveau métier, et je me retrouve tout à fait dans celle-ci.
je viens de commencer ce cours suite au grand nombre d’échec de candidatures pour changer de job, et mes réactions sur cette première vidéo sont les suivantes. La vidéo concerne les jeunes, mais les jeunes jusqu'à quel âge? J'ai 31 ans et j’entends encore des gens dire toutes ces choses négatives, il faut trouver un job, c'est mieux que rien, il faut payer les factures. Dans un sens la société tant à cette résignation, dans la société actuelle de consommation et ultra concurrentielle, il faut tout tout de suite. Après 45 candidatures pour un poste de développeur web, j'en viens à douter de mes compétences et serais prêt à accepter n'importe quel job du moment que je quitte celui où je suis actuellement, dans lequel j'y vais tous les matins à reculons. Je pense aussi que je n'arrive pas à me vendre comme il faut, que je ne sais pas mettre en avant mes compétences. De plus le processus de recrutement est faussé, si on ne connait pas tous les langages de l'annonce on ne correspond pas au poste car les personnes qui recrutent n'y connaissent rien en web, il devraient demander à des développeurs des quizz techniques au lieu de répondre non sans même recevoir le candidat. Je suis plus que motivé à bosser dans ce domaine et je vais tout faire pour y arriver malgré la mauvaise fois de certaines entreprises. J'attends que les entreprises me donnent du travail mais il faut que ça soit moi qui offre mes compétences.
- Edité par Cedric Billard 15 février 2016 à 15:16:53
Le détox ça me botte ! J'ai commencé ce cours pour réfléchir à ce que j'aimais. Je sors de plusieurs expériences où je ne m'épanouissais plus. Sauter le pas vers la recherche d'emploi a été jalonné de commentaires positifs de mon entourage mais également de toute la panoplie des "phrases toxiques" de la vidéo. La stabilité dans mon domaine (la communication online) est un leurre. C'est même selon mon expérience mauvais pour les entreprises : l'innovation est nécessaire, que ce soit en apportant du sang neuf ou des regards différents pour les plus âgés. Prêts à devenir des offreurs d'emploi ?
La vidéo concerne les jeunes, mais les jeunes jusqu'à quel âge? J'ai 31 ans et j’entends encore des gens dire toutes ces choses négatives, il faut trouver un job, c'est mieux que rien, il faut payer les factures
Bonjour Cédric,
J'ai été aussi un peu surpris du ton juste pour les jeunes de cette vidéo. Cependant, tous les conseils concernent toutes les tranches d'âge. Ne te laisse pas décontenancer et dis toi que c'est un avantage : un jeune fraichement diplômé, c'est quelqu'un qui à l'inverse de toi n'a pas d'expérience sur le monde du travail à part les stages. En gros, c'est un recrutement "quitte ou double". Toi, tu sais déjà te comporter en entreprise
Je pensais que tout ce négativisme et cette perte de motivation n'était dû qu'à moi-même... Mais en regardant cette vidéo, j'ai ressenti beaucoup de soulagement en voyant que mon découragement a une (je ne dis pas qu'elle est la seule, mais à mes yeux, c'est l'une des principale) cause et que je peux en combattre les effets.
Bonjour Hélène,
Du courage, il en faut pour trouver le job qui te correspond. Fais tourner la vidéo à ton cercle d'amis et de famille pour les faire comprendre les raisons de ton choix !
Après 45 candidatures pour un poste de développeur web, j'en viens à douter de mes compétences et serais prêt à accepter n'importe quel job du moment que je quitte celui où je suis actuellement, dans lequel j'y vais tous les matins à reculons. Je pense aussi que je n'arrive pas à me vendre comme il faut, que je ne sais pas mettre en avant mes compétences. De plus le processus de recrutement est faussé, si on ne connait pas tous les langages de l'annonce on ne correspond pas au poste car les personnes qui recrutent n'y connaissent rien en web, il devraient demander à des développeurs des quizz techniques au lieu de répondre non sans même recevoir le candidat. Je suis plus que motivé à bosser dans ce domaine et je vais tout faire pour y arriver malgré la mauvaise fois de certaines entreprises. J'attends que les entreprises me donnent du travail mais il faut que ça soit moi qui offre mes compétences.
- Edité par Cedric Billard le 15 février 2016 à 15:16:53
Bonjour, j'ai 24ans j'ai bosser 2 ans dans le développement web. Je pense qu'on à pas les mêmes expériences et compétences mais je me retrouve aussi dans le fait que je doute de mes compétences dans ce domaine et que je n'arrive pas à me vendre. Après pour mon cas je n'ai plus travailler dans le développement web depuis 2 ans... donc oui je veux toujours offrir mes compétences mes peut être plus dans le développement web.
Ce que vous proposez dans ce cours m’intéresse énormément car j'ai 32 ans et que ma scolarité ne m'a pas aidé à trouver une voie professionnelle . J'ai travailler dans plusieurs domaines différents dans l'espoir de trouver un job qui finalement me correspondrait . Au niveau de mes études je ne suis pas allé jusqu'au BAC car je n'avais aucun objectifs et du coup aucune motivation . Aujourd'hui , j'ai soif de connaissance , j'étudie dans mon coin pour augmenter mes chances de trouver le travaille qui me plaît et qui me ressemble . Je veux faire ce qui me définie , je veux être qui je suis .
Merci de nous apporter cette chance à travers ces cours et merci de croire en nous .
J'ai parcouru ce labyrinthe, avec un minimum d'informations sur l'économie, le marché du travail, les secteurs porteurs, au cours de ma formation initiale, puis dans ma vie professionnelle, vingt ans dans le secteur administratif.
Aujourd'hui, en reconversion professionnelle, je redeviens moi-même, avec mes particularités, après un bilan de compétences et un master en web éditorial. Pour offrir mes compétences et obtenir un job qui me corresponde, je compte sur les rencontres et suis prête à tirer parti de l'innovation.
Un objectif qui concerne chaque génération sur le marché du travail.
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Vanessa