Après avoir visionné la vidéo, s'ouvre à moi tout d'abord une réflexion sur cette nouvelle vision du travail. J'ai toujours entendu ma famille me dire "même si ça ne te plaît pas c'est pas grave, on fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie". Or à l'heure actuelle je trouvais ça plutôt compliqué de trouver la motivation nécessaire pour des jobs qui ne m'intéressent pas forcément. Au vu du site, du forum, je commence à retrouver l'envie et me dis qu'il doit être possible d'arriver à un métier qui m'épanouira car au final quand je vois les gens de mon entourage qui pour la plupart ne sont pas heureux ou pas épanouis dans leur métier, je me dis que j'ai que 26 ans et j'aimerai bien vieillir en ayant trouvé un job qui me correspond.
Tout à fait d'accord avec toi @CharlotteMege ! S'il nous reste 40 ans à travailler, autant commencer tout de suite à chercher quelque chose qui nous plait. J'ai aussi l'impression que "l'ancienne" génération ne comprend pas bien cette recherche du bonheur, qui parait souvent comme une recherche du luxe ou de la planque. Mais non ! Ce n'est pas ça que l'on cherche. On cherche un environnement dans lequel on peut s'épanouir et avoir envie de se lever le matin, au moins une fois de temps en temps.
La vidéo de Détox pose un vrai contexte sur la démarche de recherche d'emploi. Est ce que je suis assez bon pour tel ou tel poste ? C'est la question que je me poste perpétuellement. J'ai envie d'une évolution professionnelle, mais on arrête pas de me dire que l'expérience vient avec le temps. Aussi la question de la fidélité à l'entreprise de ses débuts et pour fini le fait qu'on se sent demandeur d'emploi et non apporteur de valeur. En ce sens je trouve très intéressant cette vidéo de Détox qui permet à mon avis de changer de point de vue à son égard.
Votre discours me semble censé. Nous, les "demandeurs d'emplois", proposons nos savoirs et notre personnalité aux entreprises. Mais personnellement, je ne vais pas me lancer pour le moment. J'hésite entre plusieurs secteurs d'activités. Je change d'avis tous les trois jours. Je sais qu'une fois le projet définit et choisit, je pourrai me lancer corps et âme.
Les barrières mentales qui siègent dans ma tête m'empêche d'avancer. Je suis un original qui se reconnais dans votre description du système d'orientation à la française qui est aussi efficace que d'éteindre un feu avec de l'essence raffinée.
Mon état d'esprit en est à la perplexité. Qu'est-ce que j'aimerai, à 25 ans, savoir enfin ce que je veux pour ne pas rester tétaniser par les refus systématiques d'embauche...
cette vidéo est enthousiasmante ! Ca m'a fait beaucoup de bien d'entendre le contrepoids aux idées reçues: je me sens moins seule ! En effet, je travaille dans une asso et je rencontre des jeunes dans le cadre d'entretiens sur l'orientation, et c'est ce que je leur dit !
D'un point de vue personnel, je souhaite me diversifier et créer des ateliers. J'y réfléchis intensément depuis quelques semaines et... j'ai peur ! Le point sur l'offre de compétence me touche beaucoup, je me sens plus forte pour proposer ce que j'ai à proposer.
La jeunesse apporte mouvement et créativité tandis que la maturité apporte la sagesse de l'expérience. Nous sommes tous complémentaires dans le monde du travail. La vie est synonyme de changement perpétuel, l'adaptation est un atout majeur. Se limiter à des « jobs par défaut » ne mène qu'à une vie professionnelle terne et dénuée de sens. En identifiant ses atouts, on peut trouver l'adéquation juste entre les besoins en compétences des entreprises et le bon job. Enfin, quand « travailler » cohabite avec plaisir, c'est un gage d'implication, de performance et d'évolution pour tous les acteurs.
Après avoir visionné la vidéo, s'ouvre à moi tout d'abord une réflexion sur cette nouvelle vision du travail. J'ai toujours entendu ma famille me dire "même si ça ne te plaît pas c'est pas grave, on fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie". Or à l'heure actuelle je trouvais ça plutôt compliqué de trouver la motivation nécessaire pour des jobs qui ne m'intéressent pas forcément. Au vu du site, du forum, je commence à retrouver l'envie et me dis qu'il doit être possible d'arriver à un métier qui m'épanouira car au final quand je vois les gens de mon entourage qui pour la plupart ne sont pas heureux ou pas épanouis dans leur métier, je me dis que j'ai que 26 ans et j'aimerai bien vieillir en ayant trouvé un job qui me correspond.
Tout à fait d'accord avec toi @CharlotteMege ! S'il nous reste 40 ans à travailler, autant commencer tout de suite à chercher quelque chose qui nous plait. J'ai aussi l'impression que "l'ancienne" génération ne comprend pas bien cette recherche du bonheur, qui parait souvent comme une recherche du luxe ou de la planque. Mais non ! Ce n'est pas ça que l'on cherche. On cherche un environnement dans lequel on peut s'épanouir et avoir envie de se lever le matin, au moins une fois de temps en temps.
Bonjour, tout à fait d'accord avec vous 2. J'ai 52 ans et si j'ai un conseil à donner, c'est bien de faire un job qui vous donne du plaisir, qui vous valorise. Qu'on en finisse une bonne fois avec tout ce qui tire l'humain vers le bas... la dévalorisation, la culture de l'échec ou la trop grande humilité qui ont été de mise à certaines époques. C'est révolu. L'avenir appartient aux jeunes mais tous les acteurs ont leur place dans le monde du travail pour collaborer et créer ensemble dans la "joie et la bonne humeur". Positivement. Merci
La vidéo de Détox pose un vrai contexte sur la démarche de recherche d'emploi. Est ce que je suis assez bon pour tel ou tel poste ? C'est la question que je me poste perpétuellement. J'ai envie d'une évolution professionnelle, mais on arrête pas de me dire que l'expérience vient avec le temps. Aussi la question de la fidélité à l'entreprise de ses débuts et pour fini le fait qu'on se sent demandeur d'emploi et non apporteur de valeur. En ce sens je trouve très intéressant cette vidéo de Détox qui permet à mon avis de changer de point de vue à son égard.
Je me suis souvent fait cette reflexion et je trouve que c'est ce qui reste le plus compliqué, c'est connaître sa vraie valeur en terme de connaissances, compétences, savoir-faires, savoir-être... et connaître en même temps les attentes réelles des entreprises. Très juste.
Bonjour, Mon expérience me permet d'abonder dans le sens de votre analyse : le job idéal n'est pas le job parfait, mais pas pour les raisons invoquées. En effet, je peux me targuer d'avoir eu des jobs "parfaits sur le papier", en CDI, avec des taches et des responsabilités dans le secteur pour lequel j'ai une vocation, mais pour autant aucun n'a constitué un job idéal pour moi en raison de relations interpersonnelles et hiérarchiques ne convenant pas à mon esprit de partage, d'innovation et de respect mutuel. J'ai hâte d'offrir mes compétences à un job qui ME CONVIENNE dans SA REALITE .
Merci pour votre approche. Je partage globalement vos points de vues.
Le seul bémol pour moi est que le constat que vous proposez s'adresse essentiellement à un public de jeunes diplomés avec peu ou sans expérience professionnelle.
Dans mon cas j'ai près de 25 ans d'expérience dans mon domaine et pour autant je me retrouve avec des facteurs bloquants, tel que se réinventer dans un contexte de forte concurrence notamment avec les plus jeunes ;), savoir se valoriser, s'affirmer en période dedoute et de fragilité économique.
J'aime bien votre analogie entre travail et conquête amoureuse, en effet ce n'est pas en réclamant l'amour qu'on l'obtient mais bien dans sa préparation, mise en valeur, ou par son charisme naturel et son art de séduire qu'on décroche le sésame ! Ce qui ramène à la question : pour qui/quoi sommes nous prêt à faire tant d'effort pour retenir l'attention ?
En tout cas merci pour ces pistes de réflexion, ça oblige à sortir de sa zone de confort !
Mes propres idées reçues : - Les femmes doivent être carriéristes et faire carrière - Il faut savoir où l'on veut être dans 10 ans - Notre statut est notre métier
Cette vidéo m'a appris des choses que je savais déjà ou qui ne m'étonnent pas, tout en me blasant prodigieusement. Ces idées reçues contribuent à une perte de confiance en soi, et il est difficile de lutter contre cette "force armée" composée d'entités telles que Pôle Emploi ou de notre propre entourage, ou encore en étant en formation ou même en poste et que c'est ce qu'on s'acharne à vouloir nous "faire croire" pour que l'on soit ni trop exigent ni trop mobile. Pourtant, trouver le job qui nous correspond est tout bonnement logique et contribue à notre épanouissement personnel.
Bonjour à tous ! ça y est, je me lance... c'est mon 1er post !
Dans la vidéo, l'idée qui m'a le plus marquée, c'est le changement d'attitude, de positionnement qu'il s'agit de faire quand on veut entrer dans cette dynamique. en effet, me dire désormais que j'ai des compétences à proposer, à vendre, à une entreprise est tout à fait nouveau. Quelques personnes, essentiellement des travailleurs indépendants ou entrepreneurs, me l'avaient suggéré il y a peu de temps. aujourd'hui, je suis effectivement convaincue qu'il me faut être actrice dans ma prise de décision de changer de vie professionnelle, pour qu'elle ressemble plus à ce que je suis aujourd'hui.
Bonjour, je m'appelle Aexandra, j'ai 44 ans et 24 ans de vie active.
Pour la 1ère fois je suis demandeur d'emploi ... oups....ça commence mal ! lol. Les idées reçues sont bien ancrées, c'est la raison pour laquelle j'entreprends ce cours ; afin d'apprendre à valoriser et à vendre mes compétences, je n'ai jamais eu à le faire... je me permettrais d'ajouter une autre idée reçue qui me fait bondir... c'est d'entendre qu'à 45 ans on est considéré senior professionnellement, alors que c'est maintenant que j'ai le plus de valeur ajoutée à apporter ! Alors en avant !
Cette vidéo a appuyé ma décision que mes diplômes et mes précédents postes ne détermineront pas par défaut mon projet professionnel, ce sera mes compétences et mes envies qui le feront. Elle me conforte aussi dans l'idée que le marché de l'emploi fonctionne trop souvent comme un marché de viande (ou d'esclave poussé à l'extrême). Les propos évoqués me motivent à sortir des clous, qui je sais, ne me correspondent pas, et à vouloir plus.
La 3ème idée reçue est celle qui me fait le plus réfléchir. En effet, je suis d’accord, on a en France l’impression que l’on doit mendier son futur emploi. Je pense que cela correspond à un état d’esprit général et il est vrai que temps que l’on tendra le bâton pour se faire battre, on continuera à subir des entretiens en position de faiblesse, alors que ce sont les entreprises qui ont besoin de compétences. Cette idée m’interpelle vraiment et peut me faire changer d’attitude. Je suis maintenant un offreur de compétence.
Cette vidéo a appuyé ma décision que mes diplômes et mes précédents postes ne détermineront pas par défaut mon projet professionnel, ce sera mes compétences et mes envies qui le feront. Elle me conforte aussi dans l'idée que le marché de l'emploi fonctionne trop souvent comme un marché de viande (ou d'esclave poussé à l'extrême). Les propos évoqués me motivent à sortir des clous, qui je sais, ne me correspondent pas, et à vouloir plus.
Je suis d'accord avec toi, ton parcours professionnel (études et expériences) t'aide à te définir mais ne définit pas pour toi la suite. C'est à toi de voir ce qu'il te plait, car à tout moment dans la vie, des événements peuvent venir nous influencer pour changer de voie. Il faut savoir s'écouter.
J'ai la même sensation du marché à bestiaux. C'est le plus difficile je pense.
Après avoir visionné la vidéo, s'ouvre à moi tout d'abord une réflexion sur cette nouvelle vision du travail. J'ai toujours entendu ma famille me dire "même si ça ne te plaît pas c'est pas grave, on fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie". Or à l'heure actuelle je trouvais ça plutôt compliqué de trouver la motivation nécessaire pour des jobs qui ne m'intéressent pas forcément. Au vu du site, du forum, je commence à retrouver l'envie et me dis qu'il doit être possible d'arriver à un métier qui m'épanouira car au final quand je vois les gens de mon entourage qui pour la plupart ne sont pas heureux ou pas épanouis dans leur métier, je me dis que j'ai que 26 ans et j'aimerai bien vieillir en ayant trouvé un job qui me correspond.
Tout à fait d'accord avec toi @CharlotteMege ! S'il nous reste 40 ans à travailler, autant commencer tout de suite à chercher quelque chose qui nous plait. J'ai aussi l'impression que "l'ancienne" génération ne comprend pas bien cette recherche du bonheur, qui parait souvent comme une recherche du luxe ou de la planque. Mais non ! Ce n'est pas ça que l'on cherche. On cherche un environnement dans lequel on peut s'épanouir et avoir envie de se lever le matin, au moins une fois de temps en temps.
Bonjour, tout à fait d'accord avec vous 2. J'ai 52 ans et si j'ai un conseil à donner, c'est bien de faire un job qui vous donne du plaisir, qui vous valorise. Qu'on en finisse une bonne fois avec tout ce qui tire l'humain vers le bas... la dévalorisation, la culture de l'échec ou la trop grande humilité qui ont été de mise à certaines époques. C'est révolu. L'avenir appartient aux jeunes mais tous les acteurs ont leur place dans le monde du travail pour collaborer et créer ensemble dans la "joie et la bonne humeur". Positivement. Merci
Situation similaire, en fin d'étude, que j'ai suivi par facilité, je me demande quoi faire. Poursuivre vers ce à quoi j'ai été formé (et vers ce à quoi mes proches me poussent) et essayer de réfléchir à ce que je veux faire moi (même si c'est moins évident).
Ce n'est pas la planque que je recherche mais bien le job qui me donne envie de me lever le matin et ou je ne vais pas à reculons.
Cette vidéo me donne envie de me désintoxiquer ! il est vrai que ses idées reçus je les ai entendu et j'ai souvent cru que c'était la seul vérité.
Je pense que l'on peut regarder le monde du travail sous un autre angle. Et le fait d'être acteur est aussi une nouvelle façon de penser sa recherche de job idéal.
Après tout ce bon sens j'espère que la suite du cours va vraiment permettre d'avancer. Car si il ne s'agit que de bon sens il est vrai que ça ne fait pas de mal mais cela ne permet pas d'aller plus loin dans sa recherche de job idéal.
J'ai 36 ans et je ne suis également plus perçu comme "jeune". Cependant j'avoue avoir trouvé dans cette conférence un bon nombre de point commun avec mon vécu et mes expériences actuelles. Le marché de l'emploi a beaucoup changé, il est devenu très compétitif, l' employé (ou future) doit produire de la valeur pour devenir attractif. En cela il doit offrir ses idées et ses compétences, être proactif et non passif. Changer d'emploi, aborder de nouveaux sujets professionnels , l'autoformation, la proposition deviennent des vertus. Pour être bon et attractif, il faut aimer ce que l'on fait.
Je ne trouve pas réellement cette approche novatrice mais plutôt adaptée à l'air du temps, elle s'adresse cependant directement aux jeunes alors qu'elle pourrait être plus universelle. On peut espérer des adaptations qui s'adresseront directement à tout le monde , ou bien faire avec et identifier les Detox communes à toutes les tranches d'age.
Je suis d’accord avec les réactions aux 4 idées reçues. J’ai souvent entendu à quel point il était important de trouver un emploi stable et durable! Or nous sommes en effet dans un contexte économique et social qui nous poussera à changer de job plus souvent que les générations précédentes: je pense que cela est une chance. Je suis actuellement en poste depuis 3 ans, et j’ai tendance à m’y ennuyer : je vois le changement comme une opportunité d’obtenir un job qui me correspond mieux. J'apprécie aussi le fait de vouloir se positionner en "offreur de compétences": je pense en effet qu'il faut être acteur de sa vie, professionnelle notamment.
Après avoir visionner la vidéo, je suis d'accord avec les idées reçus. J'ai le plus souvent entendu l'idée avec les jeunes, mais pour moi je pense que les jeunes peuvent être capable de s’adapter au monde du travail et que certain peuvent apporter de la nouveauté au sein d'une entreprise. Je suis tout a fait d'accord quand vous dite que l'on doit trouver un job qui nous correspond, parce que pour ma part si je choisie un job qui ne me correspond pas, je ne vais pas me donner a fond parce que sa ne me correspond pas ou que je n'aime pas se que je fait que si je choisie un job qui me correspond je vais me donner a fond parce que c'est ce que j'aime.
En tant que jeune, je pense que tous devraient adopter cette posture enrichissante et stimulante.
Oui, nous sommes inexpérimentés. Mais nous voulons agir, changer les choses, construire un monde meilleur. Le monde de demain, c'est nous qui en tenons les rênes. Les starts-ups florissantes l'illustrent bien, même inégales.
Alors évidemment il y a des masses d'obstacles. Nous voulons l'argent et la compétitivité nous plonge dans l'individualisme quand nous avons besoin de solidarité.
Certains publics sont plus touchés et ne visionneront sûrement pas ces vidéos, ce sont les victimes de ségrégations sociales et ethniques.
La solidarité jeune-jeune doit se propager, de même que la communication doit renaître et l'enseignement doit nous ouvrir des portes plutôt que nous enfermer dans des cases.
Je suis d'accord avec le 1er point du vidéo Detox, car effectivement les jeunes ont beaucoup à donné et se prouver à eux même certains capacités et compétences en tout début de carrière. Il y en a des entreprise qui justement vont embaucher des jeunes juste pour y "profiter" de leur énergie durant quelques années (1- 3ans), sans se soucier de leurs quotidien dans l'entreprise, de leurs évolution de carrière, de leurs attentes...donc, attention au dosage de l'énergie, afin de n'est pas tomber dans "l'esclavage"!! Pour les points 2 et 3 je suis d'accord, mais pas facile à accepter le 4.
la vidéo expose un état des lieu claire et lucide sur la situation actuel. Je suis déjà dans cette mouvance. Ma réelle difficulté est la suivante. Comment justifier de mon activité et en faire un emploi qui par un moyen ou un autre me permettra une autonomie social et un équilibre de vie. Depuis 6ans j'ai monté une structure associative dans laquelle je peux développer mes compétences et mes aptitudes. aujourd'hui je peine à m'épanouir car je ne sais pas comment développer ce projet pour le rendre viable sans en perdre la valeur moral et l'intéret que j'y portes.
Après visionnage de cette vidéo, j'avoue avoir été séduit par la vision que vous avez du monde du travail. Après tout, comme tout secteur d'activité il est guidé par des tendances et se modifie en fonction des facteurs économiques, à nous de nous adapter à ces tendances.
Ayant moi même tenté de me reconvertir en suivant des cours par correspondances ( sans succès), je me suis retrouvé souvent confronté aux idées reçues des gens vis à vis des demandeurs d'emplois, cette façon de concevoir le demandeur comme quelqu'un qui propose est tous à fait en adéquation avec ma pensée, cependant j'ai rencontré peu de patrons ayant cette vision des choses.
Et puis lorsque l'on est sans travail il est difficile de garder l'assurance et d'arriver à un entretient d'embauche en conquérant ou en démarcheur sachant vendre ses capacités.
Cependant, cette vidéo détox était très motivante et donne envie de concevoir les choses de manière optimiste sachant que d'autre personne que moi ait cette conception des choses.
Je suis complètement d'accord avec l'analyse de Julie Coudry. Oui, la société pousse les jeunes a s'enfermés dans des croyances sclérosantes qui nous empêche d’être pleinement créatif et ambitieux. Aujourd'hui, tout est possible et on essaie de nous faire croire le contraire, de nous maintenir dans la peur. Les opportunités professionnelles sont la, elle existe, a nous d'être audacieux et d'oser des métiers nouveaux, de nous défaire de nos croyances et de notre manque de confiance. Reprenons notre pouvoir d'agir et de créer !
Je suis plus que d'accord avec les notions développées dans cette première session DETOX et la posture de JOBMAKER. Néanmoins, quelques interrogations quant à la réceptivité du monde et du marché du travail à cette posture se posent à moi aujourd'hui, après déjà quelques mois de recherche d'emploi.
En effet, j'ai débuté mes recherches dans une véritable démarche de Jobmaker mais aujourd'hui, après peu de retours de la part des entreprises, je commence à déchanter et à revenir malgré moi à une posture de demandeur d'emploi. (C'est d'ailleurs en réaction à cette "perte d'envie" que je me suis mis à suivre ce cours) Tout cela pour dire que j’adhère totalement aux idées développées ici mais qu’il me semble que les entreprises qui me correspondent (et qui correspondent sûrement plus à la nouvelle génération) n’ont pas les capacités d’embaucher…Sûrement une idée reçue que je me suis faite, mais ce n’est pas facile de passer outre. J’espère vraiment que ce cours va me permettre de trouver de nouvelles clés pour avancer encore davantage.
(...) Les opportunités professionnelles sont la, elle existe, a nous d'être audacieux et d'oser des métiers nouveaux, de nous défaire de nos croyances et de notre manque de confiance. Reprenons notre pouvoir d'agir et de créer !
Bonjour Axelle,
Cela signifie-t-il pour vous qu'il faut tous devenir entrepreneurs? Mais alors, comment s'intégrer en tant que salarié dans des secteurs professionnels figés (pour lesquels nous nous sommes formés pendant de nombreuses années) qui ont du mal à suivre les mutations de la société contemporaine?
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Yannick Z
Artisan DevOps
Angélique
Karin73