Il me paraît plus positif effectivement de parleur d'offreur de compétences que de demandeur d'emploi. Le recrutement des entreprises porte sur ces compétences. Mais les modes de recrutement ne sont-ils pas toujours bridés par le formalisme ( cv, diplôme x ou y exigé ...) ? Concernant la mobilité dans les parcours professionnels, même si elle paraît "inévitable" dans le contexte économique, peut-on toujours la décider plutôt que la subir ?
Pour répondre à Thomas Siadous, je crois que Julie Coudry souhaite montrer aux personnes en situation de recherche d'emploi qu'il est nécessaire de se rendre compte que l'employé a aussi des compétences et des talents qu'il faut valoriser. En période de chômage, il n'est pas toujours facile d'être positif et de penser dans ce sens. Je suis d'accord avec vous sur le point de la crise. En effet, il faut faire comme si elle n'existait pas. Je ne sais pas dans quel secteur vous cherchez du boulot, mais cela n'a jamais empêché les entreprises de recruter, même si la quantité d'offre est moins importante. En ce qui concerne la mobilité et l'adaptabilité, je suis aussi favorable à cela mais il me semble important de souligner que cela doit être fait dans le respect de sa valeur travail et de l'investissement qu'on souhaite mettre dans son travail. Je pense que pour être efficace et aimer son emploi dans la durée, il faut s'écouter et être bienveillant envers soi-même.
Pour finir, il me semble qu'il faut encore TROP répondre à des cases pour trouver un emploi... On peut nous demander d'être curieux, mais certains parcours ne sont pas compris par l'employeur car ils ne sont pas linéaires. N'est-ce pas un peu paradoxal ?
Après cette vidéo, je réfléchis un peu plus à ma situation personnelle et je me rends compte que j'ai passé une bonne partie de ma vie d'étudiante à "subir". Je pense qu'il est donc grand temps d'être maître de mon destin. Malgré la négativité qui règne autour de moi, je vais donc essayer d'être plus positive quant à mes chances de m'insérer sur le monde du travail; en effet, j'ai des compétences et je vaux tout autant qu'une autre. J'ai des rêves et je souhaiterai les réaliser, et je MERITE de les réaliser puisqu'à la fin de mes études, j'aurai un titre de compétences.
Comme énumérez dans la vidéo, durant tout notre parcours scolaire on a aucun atelier de de cours sur comment identifiez notre potentialité.
Des conseiller d’éducation nous note et nous oriente en fonction des matières et de nos moyenne. Apres on nous demande de chercher un travail suivant notre diplôme et non pas à nos compétences, aptitudes et talents.
Sur le marché du travail c’est pareil en tant que jeune nous étions victime de tous les maux, inexpérience, manque de compétitive ; résultat plusieurs années de chômage.
J’ai particulièrement passé comme beaucoup de jeunes de mon pays, la cote d’ivoire, plusieurs années sans stage de validation de mon BTS, puis sans emploi en faisant plusieurs petits boulots.
J’ai finalement pu trouver un travail en faisant un changement de changement de profession basé sur ma passion pour les métiers informatiques.
Malheureusement le système scolaire n’a pas été reformé pour prendre en compte le développement des compétences et des talents de l’apprenant. Bien au contraire, on continue à demander au étudiants de passer des tests pour avoir des diplômes et ensuite on leur dit vous n’etes pas qualifier pour travailler.
Le monde du travail aussi n’est pas exempt de difficultés, les entreprise refuse d’embaucher car les jeunes sont inexpérimenté et que la crise limite les investissements.
Cette nouvelle approche que propose la méthode detox et l’aspect job maker permet de comprendre que le chômage n’est pas de notre fait mais d’une situation que l’on peut en changeant de mentalité et avec beaucoup de travail sur nous-même changer. En nous positionnant comme offreur de compétences nous seront capable a chaque instant d’analyser nos competences, savoir celle qu’il faut renforcer ou acquérir et celle qui convient à la fonction ou poste qui nous convient le mieux.
Les idées reçues sont mal vécues. On impose un choix ou une direction de vie professionnelle. Pour ma part, jeune je voulais suivre une orientation dans l'hôtellerie. Refus de la part de mes parents. Dans mon parcours professionel, j'ai travaillé dans ce secteur mais sans diplôme. C'est un regrêt aujourd'hui, à 54 ans c'est dur de retrouver un emploi parce qu'il y a des idées fausses sur les personnes dites séniors. Les idées reçues ne se dirigent pas seulement vers les jeunes mais à toutes lepersonnes en recherche de travail ou vers une reconversion professionnelle. il est temps de changer les idées fausses.
Je viens de débuter un atelier pour me reconvertir et j'ai décidé de m'aider de ce mooc pour arriver à trouver un job qui me correspond.
Je réagis à la vidéo detox qui décrit bien la tendance de notre société à véhiculer des fausses idées reçues sur le marché de l'emploi. Pour mon cas personnel, mon secteur le secrétariat serait porteur alors que dans les faits, beaucoup trop de demande pour peu d'offre ,le marché a changer on demande plus de compétences et polyvalence , mais surtout de l'expérience qui est dure a avoir vu les idées reçues qui sont propre à toutes les branches. Aussi à 35 ans, je serais trop agées pour me former et que je n'ai le droit à aucune formation.
Le marché change constamment , il faut savoir se remettre en question pour définir un projet en adéquation selon soi-même et l'évolution de notre société en ce qui concerne l'emploi et sortir de sa zone de confort.
- Edité par MariaJoséDoNascimento 20 novembre 2017 à 15:25:23
Il faut clairement changer sa vision sur le travail s'il on veut pouvoir exercer un métier qui nous correspond.Cependant cela ne s'applique pas qu'aux jeunes ! C'est la remarque de cette vidéo. L'idée qu'un regard neuf, du dynamisme et de la mobilité ne s'applique surtout qu'aux premiers entrants est aussi une idée reçue ! Et quid des résistances fortes des organisations (y compris de leur managers) face à ces "jobs makers" qui remettent en cause en quelque sorte leur vision du travail (considéré comme problématique et pénible et essentiellement source de revenu)?
Je démarre ce cours un peu tard...mais je vais essayer de rattraper le reste du peloton.
Je réagis donc à présent à la vidéo portant sur les idées reçues dont il faut se désintoxiquer.
Parmis les idées reçues citées dans cette vidéo, celle concernant l'ambition raisonnable m'interpelle. En effet, aujourd'hui, le monde de l'entreprise critique facilement les personnes ambitieuses: égoïstes, prêtes à marcher sur les autres pour avancer... - ce qui pousse, à minima, à cacher ses ambitions, quand ça ne les tue pas dans l'oeuf.
Inversement, aux personnes qui ont trouvé leur place, qui sont fières de leur métier sans chercher d'évolution, on reproche de manquer d'ambition. Donc sans chercher d'ambition "raisonnable", comment faire pour définir une ambition "saine"?
Par ailleurs, je vois que certaines personnes trouvent la vidéo trop orientée vers un publique jeune. Cependant, la plupart de ces idées peuvent s'appliquer de manière multi-générationnel (par exemple, on considère aussi que les "seniors" en recherche d'emploi ne sont pas adaptés au monde de l'entreprise d'aujourd'hui, alors qu'ils ont l'expérience leur permettant de juger la pertinence des changements).
Je pense que ces idées sont effectivement des arguments fallacieux derrière lesquels les employeurs se cachent pour justifier des choix qui ne sont pas toujours honnêtes et logiques.
Il est cependant effectivement intéressant de passer du mode demandeur au mode offreur. Cependant, c'est à adapter en fonction des personnes qui nous font face. J'ai récemment tenté cette approche envers la direction de l'entreprise dans laquelle je travaille afin de pouvoir évoluer vers un job qui me correspond. Cependant, j'ai fait face à un mur, qui considère que ce n'est pas à moi d'offrir, mais à lui de prendre...
La vidéo est un peu orientée « jeune ». Moi, je ne suis plus « toute jeune », j'ai déjà bourlingué d’entreprises en entreprises, finalement, sans vraiment trouver ma place. Pourquoi ? Quelques éléments de réponse se sont profilés dans cette vidéo : mauvaise orientation, pression de l'entourage, pression du « politiquement correct », etc. Bref, je m’' suis retrouvée.
Ce que j'ai aimé aussi, c'est le fait de renverser le point de vue : on devient détenteur d'une valeur, de compétences ; on est force de proposition. Et tout de suite, on se sent plus winner.
Je ne suis pas surprise du tout par la vidéo. J'ai quitté un emploi que je ne supportais plus justement pour réfléchir à ce que je voulais vraiment faire, et entamer une reconversion professionnelle. Je ne souhaitais pas passer tout le restant de ma vie à détester ce que je faisais et à pourrir mon esprit au quotidien avec des tensions inhérentes au domaine dans lequel je travaillais : les études de marché.
Je pense qu'après environ 10 ans de travail, on sait déjà un peu mieux ce que l'on souhaite faire, ou en tout cas ce que l'on ne veut pas faire.
Avant mon dernier emploi, je n'avais pas spécialement l'intention de créer mon propre travail / emploi, mais avec la détérioration des rapports humains en entreprise (en tout cas constaté auprès de tous mes ami.e.s alors qu'ils étaient tous très motivés à donner le meilleur d'eux-mêmes comme moi), je n'ai plus d'autre choix que de me lancer et créer mon entreprise, à taille humaine.
Bonjour, J'ai passé 2 années de ma vie en DUT d'informatique, quasiment les seules études que je pensais légitimes. Je n'avais pas eu de conseils d'orientation au sujet des débouchés des études supérieures. Comme je le disais quand j'étais enfant, je voulais devenir "ingénieur en robotique", un métier que j'ai d'abord construit en assemblant les termes "robotique" - parce que j'avais développé un engouement pour les "machines pensantes" - et "ingénieur" - parce que j'avais intégré qu'il s'agissait d'un métier prestigieux et qu'il n'y aurait pas d'alternative du point de vue économique. Merci
Ce qui m'a le plus frappé, c'est le manque de connaissance que l'on peut avoir de soi-même avant de chercher une orientation : qualités, défauts, attentes. Cela aboutit parfois à de grandes désillusions : on croit qu'un job nous convient mais on se rend compte que non et l'on doit se remettre en question. Cela demande du temps, du courage et amène beaucoup de craintes : quel job me convient ? Ai je le courage de quitter un job pour recommencer à zéro ? Vais-je retrouver un job facilement ? Quelles conséquences sur ma vie quotidienne ou familiale ?
Voilà, je suis un peu perdue mais j'ai hâte de suivre ce cours afin de changer de posture et de me sentir "actrice" de ma vie professionnelle.
Je me reconnais très bien dans cette video (malheureusement ?). Dès la première partie qui concerne le choix de notre orientation. J'ai eu cette sensation de choisir par dépit plus que par conviction, et ce choix se confirme aujourd'hui quand je vois que je dévie volontairement de ma formation initiale. Je pense que le "problème" du monde de l'emploi commence déjà par un problème d'orientation lors du parcours scolaire, qui ne prend pas en compte nos personnalités, nos qualités, mais un aspect purement "économique". Pourtant, il y a beau avoir des débouchés au moment du choix de notre formation, si ce domaine ne nous convient pas, nous risquons de ne jamais nous en sentir satisfait. Ensuite les arguments sur la réalité économique et sur la stabilité me parlent particulièrement. On m'a déjà fait "culpabiliser" pour avoir changer d'emploi plusieurs fois (quitter un CDI, refuser un CDI après un CDD) en mettant en avant le fait qu'il s'agisse d'un "luxe" de pouvoir faire ça, face à un nombre de "demandeurs" d'emplois qui aimeraient bien pouvoir dire qu'ils ont un travail... Effectivement, jusqu'à présent j'ai eu la chance de pouvoir "choisir" mon travail. Mais ce manque de stabilité est justement lié au fait que mon choix d'orientation scolaire initiale ne me correspondait pas ... Mais la réalité économique impose parfois un choix "par défaut" car malheureusement il faut bien gagner sa vie ...
merci pour cette réflexion originale et construite. Voilà une manière de penser la société et les travailleurs très positive ! Dans ce discours, j'ai beaucoup aimé la façon critique et dynamique d'appréhender le monde du travail.
Cela dit, j'ai trouvé que c'était quelque peu contradictoire d'annoncer dans un premier temps que "le job idéal n'existe pas", et dans un second temps qu'il ne fallait pas se contenter d'une ambition raisonnable ! Où placer le curseur entre le rêve, la réalité, la raison, le marché du travail ? j'espère que les cours suivants aident à cela !
En premier lieu, il est vrai que les "à priori", les "étiquetages", les "préjugés" font beaucoup de dégâts, et ceci dans tous les domaines ! Mais quand on a une certaine perception de la réalité, pas évident de s'en débarrasser aussi facilement ! Quand on a tendance à penser que l'on est incapable de tel ou autre chose, que certain poste ne sont tout simplement pas fait pour nous (car nous estimons ne pas avoir le niveau), c'est tout notre subconscient qu'il faudrait reprogrammer ! Mais je veux jouer le jeux, faire comme "si", faire comme si je jouais un rôle dans une pièce de théâtre ! Go !
Ne vous inquiétez pas !! Cela n'arrivera certainement jamais.....
bonjour à tous, La vidéo Detox m'a permis de faire le lien entre l'apprentissage de développement personnel et de coach en devenir. En fait, ici vous dédramatisez l’échec d'orientation à défaut de lui trouver un nom plus judicieux, et vous assainissez cela avec une idée plus large dans un ensemble de pensée positive et esprit critique. C'est ce que je ressent et j'approuve bien entendu, pour moi il n'y a pas une seule voie à acquérir ou bien a porter à bout de bras mais des dizaines de petites expériences qui nous permettent d'offrir plus que d'obtenir ainsi d'être porteur de réussite
<Bonjour Julie, et merci pour ces vidéos, je me rends compte des idées reçues, et elles sont tenaces. Cela fait résonance avec mes années de cours, où l'on nous rabâchait de choisir une filière, sans vraiment se respecter. Le fait, aussi d'être un demandeur d'emploi. Alors qu'en réalité nous avons beaucoup de choses à apporter me fait écho. Ce qui m'a surpris : Le fait que se soit adressé en particulier aux jeunes. Je suis maman au foyer, viens de terminer mon congé parental, et je me sens dans la même position que les jeunes face au travail.
La recherche du travail idéal est une longue quête faite d'envies puis de renoncements avec le temps qui passe. Envoyer des réponses aux offres sans vraiment s'y intéresser n'est pas conseillé car il risque d'y avoir peu de réponses et très peu de réponses positives, avec des chances de se démotiver rapidement.
Ce n'est pas parce l'on est jeune que l'on doit accepter n'importe quel travail ou bien au contraire être hyper exigeant et ne rien trouver. Savoir ce que l'on peut offrir à une entreprise et ce que l'on y cherche est essentiel pour se positionner correctement et augmenter ses chances
J'ai toujours été déchiré entre trouver un travail qui me permet d'avoir une certaine sécurité (comme la stabilité économique par exemple) et un métier «de mes rêves» dans lequel, cependant, je ne vois pas beaucoup de possibilités pour mon avenir. Jusqu'à présent, j'ai toujours donné la priorité à ce qui me semblait le plus utile pour mon avenir, à commencer par l'université. J'ai choisi une faculté qui me permettrait d'avoir de nombreuses opportunités d'emploi, même si ce n'était pas exactement ce que je voulais. J'ai été frappée par la façon dont elle définit qui n'a pas de travail en tant que «personne qui a quelque chose à offrir» et non «chercheur d'emploi», même si, comme vous l'avez dit aujourd'hui, il est difficile de supprimer tous ces jugements dictés par la société.
J'ai trouvé sa vidéo très intéressante et motivante, merci beaucoup.
Il est vrai que le passage de statut de demandeur d'emploi à celui d' "offreur" de compétences ne s'est que trop rarement manifesté chez moi. Au bout d'un certain temps de chômage (1 an et 2 mois) moi-même et mon entourage préconisent de revoir à la baisse mes envies. Ces détox sont très bien identifiées dans cette vidéo et me permettent de voir un peu plus clair dans ce brouillard professionnel lié à des idées reçues et une orientation que je n'ai jamais pu faire auparavant (choix d'études de Géographie jusqu'au Master presque par défaut).
Après avoir fait l'activité sur les compétences, je dois corriger les travaux d'autres apprenants, sauf que les deux qui me sont parvenues ne correspondent pas à l'activité en question. Je veux bien participer à la correction mais la page de notation ne correspond pas puis qu'il s'agit de mettre en valeur trois de ses compétences. Merci d'avance pour votre aide !
Il me reste 2 h sur les 24h pour corriger le travail de deux des trois apprenants ! Je n'ai pas les bons exercices, en tout cas, deux ne sont pas liés à la trame de correction ! Pourriez-vous faire le nécessaire, que les deux apprenants en questions ne soient pas pénalisés ?
Merci d'avance !
Bon, bien essayé, un exercice dont le fichier à changé de nom mais toujours une analyse du périmètre immo... Je suis sensée corriger les trois compétences... Je suis désolée, si certains apprenants n'ont pas leus notes, mais je ne peux toujours pas corriger et ne peux pas avancer plus puisque je n'ai pas mes notes non plus... Pitié.... Faites quelque chose ! Merci !
- Edité par AurélieDesbordes 8 décembre 2017 à 13:16:56
Bonjour, cette vidéo me conforte dans l'idée qu'il ne faut pas rester dans sa zone de confort,qu'il est possible de faire évoluer son parcours professionnel.
A 18 ans nous "choisissons" une formation professionnelle. A 35 ans, nous avons grandi et évoluer et cette voie ne correspond plus forcément à nos attentes, à ce que nous sommes devenu et ce n'est pas forcément dans ce domaine que nous avons le plus de valeurs et de choses à apporter à une entreprise.
Faire un point, redéfinir nos objectifs peut nous permettre d'envisager un avenir professionnel à l'image de nos qualités et compétences.
Bonjour à tous, et Merci Julie pour ce cours intéressant, qui nous met dans une position de réflexion, et qui ne nous enfonce pas de nouvelles façons de faire dans le cerveau.
Je rejoins complètement Shinobise sur son parcours et ses questionnements. Je suis dans la même position, débordante d'envie, d'idéaux, pas vraiment dans la réalité du travail, j'ai un bac +5 en communication et management de projets, mais ne me retrouve pas dans ce monde virtuel, peuplé de marketing, de vente et d'image de soi. Et les seuls jobs intéressants (pour moi) sont majoritairement des volontariats, des bénévolats ou des service civique.
Et pourtant, vous parlez d'idées reçues, de crise, et du fait de se contenter de ce qu'on a. C'est absolument vrai, j'ai passé presque deux ans dans un job précaire ne me correspondant pas, car j'avais un CDI, et c'est déjà énorme, j'avais la chance d'avoir un CDI, oui mais dans quoi ? pour quoi faire ? Nous sommes nombreux à rester dans des jobs inconsistants, simplement pour avoir la sécurité de l'emploi, mais qu'est ce que ça veut dire au fond ? Nous sommes poussés à chercher sécurité, stabilité, car nous sommes poussés à fermer nos esprits, regarder la télé et acheter pour oublier qu'on ne vit pas la vie qu'on veut.
J'aimerai également ajouter une autre réflexion, est-ce une idée reçue ou non, je ne le sais pas, mais elle s'ancre de plus en plus dans mon esprit : sans réseau, impossible de s'insérer sur le marché du travail ?
Plusieurs points de vues évoqués dans cette vidéo ont su faire écho en moi : D'une part, cette fameuse posture de demandeur d'emploi si gravée dans nos mentalités; il est un fait qu'un employeur ne "donne pas du travail" puisque c'est précisément l'employé qui le fournit en échange d'une rétribution. D'autre part sur la mobilité; Durant toute mon évolution professionnelle, j'ai eu la chance d'aborder différents emplois, postes, points de vue et il me semble aussi nourrissant que formateur; pouvoir évoluer, se construire sans cesse est une richesse et non une instabilité.
Réaction à la vidéo Detox : Beaucoup de vérité, notamment sur le choix de parcours en fonction de ceux qui déboucheraient sur des emplois, même si ce ne sont pas nécessairement ceux qui nous attirent ou nous intéressent le plus. On m'a maintes fois répété que d'étudier les langues ou la littérature ne m'amènerait nulle part.
J'ai également trouvé très intéressant cet angle d'approche " soyez offreurs de compétences plutôt que demandeur d'emploi". Cette notion d'être actif plutôt que passif dans le procédé de recherche d'emploi permet à l'offreur de se sentir valorisé et donne confiance en soi et en ses compétences. On ne sent sent plus comme un pion, mais comme un acteur important et qualifié sur le marché du travail
Bonjour tous le monde, En ce qui concerne les idées reçus deux et trois je me suis déjà fait ces réflexion, celle qui m'as le plus surprise est la dernière sur la durabilité et la sécurité, non pas par ce que je voyais pas les choses comme ça mais par ce que je me demande comment cela peut être vu par les employeur et comment ne pas se planter.
Je suis une personne avec beaucoup de curiosité et un grand intérêt pour un peu près tous ce qui peux s'apprendre, est ce positif ou négatif? Je préfère le télétravaille est ce envisageable? Je veux me former en autodidacte, est ce bien? est ce que mes compétences vont suffire ou est ce que le fait que je n'ai pas de diplôme vas "effrayer" ou "refroidir" les employeurs? Voilà les questions qui sont apparus dans à la suite de cette 1ère clefs.
Après avoir visionné la vidéo Détox on a envie de se dire "mais bien sûr, c'est évident" et pourtant... l'angoisse de ne pas pouvoir subvenir à ses besoins est omniprésent. Le monde du travail est en pleine métamorphose, et tout va très vite, ce qui n'est pas durable. Nombreux sont les jeunes trentenaires à vouloir se reconvertir après être entrer dans un monde du travail qui ne leur plaît pas. Nous sommes très nombreux à être sur-diplômés, sans réussir à trouver un emploi à la hauteur de nos espérance (ou de celui de nos parents...).
Merci pour cette vidéo dynamique et pleine de sens, bienvenue dans cette période de crise ou les modèles construits sur des systèmes à boût de souffle maintiennent leur domination par des messages infantilisants subliminalement diffusés.
Penser par soi même demande d'identifier les croyances inconscientes qui nous enferment en stérilisant notre pouvoir de créativité.
Les 4 exemples cités montre un aperçu du chemin à parcourir pour commencer à être acteur de sa propre vie, à chacun d'identifier les limites qu'il se devra de transgresser pour trouver sa propre voie de progrès.
Transformer l'inadaptation au système en force de régénération sociétale passe par notre propre positionnement face aux vérités établies, notre propre changement de point de vue, quelque soit l'âge ou le niveau d'expérience.
Plus nous serons nombreux à sortir des ornières des pensées établies, plus la force collective sera puissante.
La citation de Victor Hugo "Rien ne peux arrêter une idée dont le moment est venu" résume à elle seule la dynamique à l'oeuvre dans les transitions de société.
Je comprends très bien les situations décrites dans la vidéo même si je suis dans une situation bien différente.
Je suis, comme on dit maintenant, une Senior. J'ai 45 ans, mais pour les entreprises françaises désormais je suis considérée comme proche de la retraite et moins intéressante que des plus junior.
J'ai un background professionnel de plus de 25 que j'aimerais transmettre mes connaissances, mais il n'y a pas de sociétés intéressées dans ce savoir.
J’ai donc décidé de me lancer dans la formation, le consulting en change management dans la stratégie de vente et le Mentorat. J'ai commencé donc à rencontrer des personnes extraordinaires avec la même passion.
J’élargi mon Network pour développer des nouvelles connaissances et pouvoir offrir du support en plus aux personnes qui me font confiance.
Je suis en train de suivre des formations pour développer mes compétences, on n’arrête jamais d’apprendre, c’est ça aussi la beauté du Mentorat.
J’ai commencé la rédaction d’une formation dans l’excellence du service. Qui n’a jamais été exaspéré lors d’un service après-vente, ou dans le moment d’un achat important par le comportement d’un vendeur/vendeuse qui n’avait pas le comportement adéquat/e ?
Ayant travaillé dans l’Hospitality et le Luxe très longtemps, j’ai acquis les outils à transmettre pour transformer chaque moment en quelque chose d’inoubliable.
La société moderne a oublié que les Senior comme les Jeunes sont une source infinie de possibilités et compétences.
En plus, ces deux populations peuvent travailler extrêmement bien ensemble et apporter de la richesse à la société.
Des Hommes et des Femmes ne sont pas Senior à 45 ans … comme des Jeunes de 20/ 25 ans peuvent avoir des idées très claires sur leur futur et leur job de rêve.
On voit de plus en plus de jeunes monter leur propre Start Up dans des domaines très différents et avoir immédiatement du succès.
Les Start Up leur permet de s’exprimer librement sans la structure hypra rigide des sociétés (grandes ou petites) qui sont devenue aujourd’hui les entreprises à la française avec une hiérarchisation figée et sans écoute.
Il faut redonner les moyens aux individus de s’exprimer, et il faut les écouter. Des fois il y a des très bonnes idées dans le lot.
C’est pour ça que j’interviens dans des entreprises avec un œil neuf pour les aider dans le chargement. Dans la transition la phase numéro un est toujours écouter, s’assoir avec eux, faire le tour de tables des personnes qui sont en contact avec le changement à tous les niveaux et écouter. Prendre du recul et brainstormer !
C’est magnifique comme les personnes s’illuminent quand on les fait participer à leur propre changement et on leur explique le but et la destination.
LE changement fait peur à tous, mais quand on voit où on va … ce n’est plus pareil.
Est-ce mon job de rêve ? suis-je sur la bonne voie ? est-ce que je m’y prends comme il le faut ? que dois-je faire de plus ? comment me développer ? Vais-je y arriver ? Que 2018 va-t-il m’apporter ?
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Jessica DA SILVA CUNHA