Cette vidéo est pleine de bon sens, très tôt dans mon cursus scolaire puis pro, je n'avais aucune idée de ma réelle vocation. j'ai le sentiment d'avoir été plus influencée par le Besoin d'entreprises que par mon Besoin propre et de mes envies. Ce que je retiens, c'est qu'à 40 ans passés, tout peut encore se réécrire. J'ai conscience que la crise fait sauter ces étapes capitales de réflexions et qu'au final, le regret de non-satisfaction prends le pas sur ses Besoins d'accomplissement personnel. j'ai passé plus de 20 ans dans la même entreprise, qui au final, s'est vite débarrassé de moi car trop as been et laissant place aux jeunes et stagiaires fraîchement sortis d'école ! Je ne fais pas de jeunisme, mais une réalité bien économique pour certaines boites... ma question est pour mon cas, faut il un temps pour une reconstruction personnelle avant de penser à sa reconstruction professionnelle ?
De mon point de vue un job qui nos correspond est un job idéal et que nous auront plaisir a effectuer. En effet, J'occupe aujourd'hui un poste qui ne correspond pas du tout à ma personnalité ni à mes aspirations et il m'est très difficile de l'exercer avec autant e motivation que "mon job idéal". Je suis tout à fait d'accord que le statut de "demandeur d'emploi" n'est pas approprié. En effet, suf erreur de ma part, nous sommes tous rémunérés pour la mise à disposition, délivrance de nos compétences. Il s'agt bien d'une offre et non d'une demande. Les rôles sont inversés.
Bonjour à tous, Effectivement ce cours semble s'adresser davantage aux jeunes. Offrir ses compétences est pourtant une opportunité offerte à tout age. L'experience m'a appris à mieux me connaitre. Je sais maintenant que je suis unique et porteuse d'une énergie et d'un projet qui me sont bien particulier. Si je ne recherche pas le job idéal, je cherche un travail qui me permettra de valoriser mes compétences au sein d'une équipe qui sera elle aussi source de richesse. L'addition de nos talents sera source de réussite, de dynamisme et donnera du sens à mon travail quotidien.
Voici ma contribution au forum suite au visionnage de la viedéo detox:
"Pour me faire l'avocat du diable, si ces idées sont des " idées reçues", ne le sont elles pas aussi pour les personnes qui recrutent? Ainsi, par exemple, se montrer exigeant à un recrutement ne serait ce pas se mettre dans une position difficile qui susciterait des réactions du genre: "Mais pour qui se prend-il/elle à exiger une telle rémunération ou un tel aménagement de travail?" En revanche, je suis d'accord avec l'idéé reçue n°3. Le terme de "demandeur d'emploi" est très réducteur et met directement la personne dans une position inférieure de laquelle rien de bon de ne peut sortir."
Merci pour ce cours, j'ai hâte de voir les chapitres suivants pour voir ce qu'ils m'apportent.
Je réagis à cette vidéo pour vous dire qu'effectivement, il est souvent difficile lorsque l'on cherche du travail de ne pas sombrer dans le climat ambiant assez négatif qui existe autour de l'emploi. Dans mon cas, j'ai 34 ans et habite en Moselle. Le plus grand obstacle que je rencontre à l'heure actuelle est le fait que je n'ai pas le permis B. Aussi, j'aimerai travailler autrement, ne pas céder à la pression qui oblige d'être véhiculé à tout prix.
Les formations OpenClassrooms dans le numérique sont des atouts pour y parvenir. S'armer de patience et d'une humeur à toute épreuve sont indispensables pour décrocher le sésame.
Merci Julie, je souscris totalement à vos arguments et vos propos sont encourageants. Le fonctionnement du monde du travail tend à limiter l'estime de soi et l'esprit d'initiative, alors que nous vivons dans un monde rempli d'opportunités. Pour embaucher, les employeurs exigent souvent une longue expérience. Or peu jouent le jeu d'accorder une première possibilité de travailler. Il est désormais anachronique et illusoire de rechercher la stabilité dans le travail. Mieux vaux connaître ses qualités et ses compétences, et suivre ses aspirations profondes pour savoir s'adapter au changement.
Je pars du principe que si on aime ce qu'on fait ou qu'on se retrouve dans un job qui nous correspond, on donnera très facilement le meilleur de nous même et cela sera bon pour les 2 parties que ce soit l'employeur ou l'employé. On m'a déjà dit qu'à partir du moment où on avait trouvé un travail, il fallait le garder jusqu'à la retraite.
Je pense qu'à partir du moment où on ne se sent pas bien, il est bon de changer pour plusieurs raisons : se remettre en question, s'épanouir, apprendre de nouvelles choses, s'améliorer et le dépassement de soi car on pense toujours qu'on n'est pas capable de, donc qu'on n'est pas pour tel et tel job, alors que c'est faux. Il n'y a pas d'échecs car on en apprend toujours de nos erreurs.
J'ai pris l'habitude lors des entretiens de faire passer un entretien aussi l'entreprise, car il n'y a pas que nous qui devons leur donner envie de nous recruter, ils doivent aussi nous donner envie de travailler chez eux.
Merci pour cette vidéo qui a suscité beaucoup de questions et d'émotions. Quand j'étais dans le secondaire, on ne nous dirigeait pas en fonction de ce qu'on avait envie de faire mais plutôt en fonction de nos notes et/ou des attentes de nos parents et nos proches, et du marché du travail tel qu'on le présentait. J'ai passé aussi l'adolescence et mes années de fac avec le chômage brandi comme un épouvantail. J'ai toujours voulu faire un métier artistique mais on n'a cessé de me répéter que c'était une voie de garage, que je ferai 5 ans d'études pour finir avec un MacJob et qu'il fallait donc que je fasse un choix plus "raisonnable", quitte à devenir quelqu'un que je ne suis pas, mais un bon gros chèque de mois devrait suffire à me faire oublier mes "caprices", non ? 18 ans après mon premier job, mes bons gros chèques m'ont surtout permis de payer un psychiatre et des anti-dépresseurs. Sans transition, l'idée de se présenter comme "offreur de compétences" ou "apporteur de solutions" me plaît beaucoup (ça fait une sacrée différence!), mais il y a toujours quelque chose qui me taraude. Présenter des solutions, mettre ses compétences à contribution, c'est bien, mais comment peut-on s'assurer de se faire entendre ? Et d'être apprécié-e à sa juste valeur ?
Bonjour à tous et voici ma contribution, ma réaction à la vidéo détox :
Cette vidéo détox m’a permis de faire une remise en question sur la posture à adopter pour recherche un nouvel emploi. En effet, j’ai souvent choisi mes différents emplois plus ou moins par dépit, cherchant un peu partout et en acceptant les postes qu’on me proposait, sans aller réellement vers mon coup de cœur. J’ai finalement débuté une carrière dans ce qui était au départ un job étudiant, d’abord vendeuse en prêt à porter, puis finalement manager de boutique diplômée d’un BAC+3. Mais aujourd’hui, cela ne me fait pas vibrer et j’ai besoin de changement.
Pour ce qui est des idées reçues, j’en rajouterai une supplémentaire que je constate au quotidien : lorsqu’on est diplômé dans un domaine, on ne peut rester que dans celui-ci. Lorsque j’évoque mon envie de changement, j’entends : « mais et ta licence, elle ne te sert plus à rien ? » Ou « 3 ans d’études pour changer de voie ? » … Ce discours m’agace ! Chacune de nos compétences peut aisément être transversale. Une reconversion est possible sans pour autant mettre au placard tout l’apprentissage et les études déjà effectuer. Ce cours me conforte dans cette idée.
Et merci pour cette "Détox" qui, bien que ciblant à première vue les jeunes, concerne toutes les tranches d'âges. Cependant, les générations actuelles ont effectivement été élevées dans un sentiment de fatalisme quant au monde du travail et aux possibilités qui s'offrent à eux. Si bien que, même après des diplômes et quelques années d'expériences professionnelles, il m'arrive de douter de ma capacité à me positionner en tant qu'offreuse de compétences. En effet, avec autant de profils à disposition, qu'est-ce qui montrera ma différence aux entreprises? Vivement la suite!
Je suis tout à fait d'accord avec la vidéo, ce n'est pas une tare de chercher un job qui nous correspond, selon moi c'est même plutôt ambitieux que de vouloir créer sa vie à son image sans se préoccuper des "normes" en cherchant (ou en créant) un travail qui nous va plutôt que d'inhiber ses ambitions et avoir un travail auquel on correspond mais pas l'inverse. Cela m'évoque quelqu'un qui veut un vêtement dans lequel il se sent bien : doit-il l'acheter dans un magasin spécialisé en essayant d'en trouver un à une taille qui sera déjà prédéfinie ou aller le faire sur-mesure ?
Bref ce n'était qu'une image, mais mon objectif dans la vie, c'est de ne pas me réduire à ce qu'on nous apprend à l'école pendant presque 20 ans, et combattre les croyances limitantes, il est difficile aujourd'hui d'être sans activité car c'est encore mal vu et il y a vraiment un manque d'accompagnement sincère, il suffit de regarder les offres que nous propose personnellement pole emploi, "une bouchère a déjà reçu une offre pour travailler comme architecte à 200 km de chez elle... oO". Ce qu'il faut, c'est se constituer un réseau, ne pas rester enfermé et croire en ses capacités en évitant de parler de notre situation avec des personnes toxiques ou des personnes qui ne pourraient pas comprendre la situation dans laquelle on se trouve.
Alors battons-nous pour trouver notre job sur-mesure dans lequel on s'épanouira pleinement ! Le travail acharné paye toujours et les plus grands challenges provoquent la plus forte des satisfactions !
Je suis d'accord dans l'ensemble avec ce qui a été évoqué dans la vidéo "detox". Les conclusions sont proches de celles que j'ai déjà tirées à travers mon (long) parcours académique. Je suis très interdisciplinaire par ma formation et je trouve que le monde actuel du travail, du moins pour un niveau de diplôme assez élevé, pousse à constamment apprendre et s'adapter (Les techniques évoluent très vites ainsi que les "visions", notamment la façon de travailler). Mais ceci est pour mois positif et évite de s'installer finalement dans une routine au cours de notre carrière. Je suis également d'accord avec le fait que nous soyons plutôt force de proposition vis à vis des entreprises (et pas "demandeurs d'emploi"), qui parfois peuvent passer à côté de talents qui ne correspondent pas à leur "mouton à 5 pattes", et qui pourtant auraient beaucoup à leur apporter.
Merci pour cette vidéo très utile qui a fait échos en moi.
J'ai particulièrement adhéré au concept d'offreur de compétences et non demandeur d'emploi. Je ne me sens pas très à l'aise avec cette appellation de "demandeur" qui me semble très réductrice, et ne met pas en confiance dans ces périodes qui sont souvent accompagnées de doutes, réflexions et questionnements.
Je me sens aussi en phase avec la dernière idée reçue sur l'insertion durable. Je pense que l'une des clefs de la réussite demain sera, entre autres, cette capacité à s'adapter dans un environnement en constante évolution, entre les métiers qui n'existeront plus dans quelques années, et ceux qui n'existent pas encore.
Tout d'abord je tiens à être très franche, je ne suis plus un jeune depuis longtemps je dirais même plus, le jeune que j'étais est mort . J'ai été toute ma vie demandeur d'emploi , j'espère que la détox va faire effet. Faut il être jeune pour devenir un job Maker? Je pense que mon expérience peut s'apparenter à celle d'un jeune , l'age en plus, c'est à dire peut d'expérience. Donc si ça s'adresse aux jeunes ça devrait me convenir. En tout cas la Façon de penser est totalement nouvelle pour moi. j'ai plus de 40 ans je sors d'un période de 20 ans d'instabilité et Openclassroom me redonne espoir. comptez sur moi pour m'accrocher encore Merci.
- Edité par kossiagbessi 15 septembre 2018 à 21:01:07
Bénéficiant déjà d'une longue expérience professionnelle je ne suis pas jeune. L'une des raisons qui m'a poussé à suivre ce module est que mon parcours a été largement guidé par une ou deux des mauvaises idées évoquées dans la vidéo "Détox". À savoir le "je suis mal adapté au marché du travail", "quel emploi suis je à même d'occuper?" etc. Je ne suis pas sans emploi mais plutôt, en toute humilité, sous-employé. Alors comment parvenir à démontrer toute la palette de mon "employabilité". Sans aucun doute une mise à jour de ma façon d'offrir mes compétences professionnelles et humaines.
La proposition d'un nouveau statut et surtout d'un nouvel état d'esprit "d'offreur de compétences" est très intéressante.
Je suis ce cours dans le cadre d'une réorientation professionnelle, mais dans mon poste actuel, j'ai parfois été amené à mener des entretiens d'embauche. J'y ai souvent entendu des jeunes me lister tout ce que l'entreprise pouvait leur apporter.
Il me semble plus utile et plus audible de détailler ce qu'on peut apporter à l'entreprise. On ne nous apprend pas à nous vanter...
Merci pour ce cours.
Tiens, ça me rappelle une certaine phrase d'un certain JFK... (dans un autre contexte, certes) :
"ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays."
Je suis totalement d'accord avec les 4 idées reçues exposées. Je crois cependant que celles-ci sont également en train d'évoluer. Les entreprises ont selon moi conscience aujourd'hui qu'un individu ne va pas faire "toute sa carrière" au sein d'une même structure. Cela dit, je pense que ce point rend également les entreprises plus exigentes sur les compétences d'un candidat puisque celui-ci restera au sein de la strucutre pour uné période pouvant être "courte" les recruteurs veulent donc une personne compétente dès son arrivé, la formation serait "rentable" dans une vision à plus long terme ?!
Les écoles d'aujourd'hui ont plus à voir avec des entreprises que des écoles car elles forment des jeunes sans les préparer à la réalité du terrain. Leur seul intérêt est de faire du chiffres. Les jeunes fraîchement diplômés se confrontent avec la réalité et rencontrent beaucoup de difficultés dans leur première recherche d'emplois. Ils finissent donc par faire ce que la plupart des gens font, ils acceptent un job qui ne leur correspond pas en attendant, faute de mieux, et finissent par se dévaloriser et à perdre de leurs compétences.
La vidéo au sujet au Détox est très inintéressante. Elle permet de confronter certains faits de la société active et la vie professionnelle. De mon statut d'étudiant et de demandeur d'emploi, je trouve néanmoins que certains aspects restent muets. A ce stade, je m'interroge sur les priorités, la nécessité des capacités exposées par le demandeur d'emploi envers le monde du travail? En sus des aptitudes techniques, personnelles, relationnelles, qu'est ce que le marché du travail désire vraiment d'un demandeur d'emploi?
Je me revois il y a quelques année cherchant un métier qui me plaise.
Si j'avais pu être orientée sur une palette de métiers intéressant à l'époque j'aurai sans doute pu me retourner. Aujourd'hui, des compétences j'en ai je le sais ; j'ai travaillé ces dix dernières années à les évoluer et a les exploiter dans mon travail. Aujourd'hui je me retrouve avec un panel de compétences que je n'arrive pas a exploité, restant coincé par cet appel des entreprises à avoir des diplômes plus que le reste.
Je suis tout à fait d'accord avec ce que partage cette vidéo et je suis contente, voir soulagée, de constater que c'est un courant de pensée qui existe et est soutenu de cette façon. Je considère que changer le terme de "demandeur" très important et enthousiasmant. C'est redonner du pouvoir aux gens. Pour ma part j'ai surtout l'impression de ne pas avoir accès à mes plus value, à ce que je peux offrir qui m'est propre et surtout dans quel domaine je souhaite l'offrir. A qui le proposer...
je retiens surtout les idées reçues réfutées. Je ne suis plus jeune donc l'idée n°1 pourrait ne pas me correspondre, mais malgré tout la question reste : pourquoi une personne éloignée de l'emploi depuis des années serait non adaptée au marché du travail? Il faut pouvoir objectiver les compétences gagnées au fil des ans, même à l'écart d'un emploi salarié. De même, je suis très sensible à cette façon de penser : nous ne sommes pas des demandeurs d'emploi, mais des offreurs de compétences. Changer le paradigme de la recherche d'emploi permet de reprendre une certaine confiance en soi.
Je réagis à la vidéo sur les idées reçues. Certes, le terme « demandeur » d’emploi peut paraître inapproprié puisque par définition ce sont les entreprises qui recrutent et sont donc en demande. La vraie question étant alors : qu’ont-elles à apporter aux futurs salariés pour que le « contrat » soit équitable et non pas intéressant uniquement pour elles ? Il en est une autre qui n’est pas abordée dans la vidéo ni ailleurs où il est question d’emploi et de travail à savoir qu’à l’évidence il n’y a pas assez d’emplois pour tout le monde : il y a 3,5 millions de chômeurs de catégorie A (aucun emploi) sans compter les autres catégories (emplois précaires, temps partiels, intérim) Y a-t-il 3,5 millions de postes à pourvoir ? Où sont-ils ? Comment dans ces conditions être « demandeurs » d’emplois qui n’existent pas ?!
Hypocritement, la société et les pouvoirs publics mettent pourtant la pression à ces derniers comme si de rien n’était.
J'ai reconnu parmi les idées reçues évoquées dans la vidéo "Détox" certains propos que l'on m'a tenu ou que l'on a pu tenir à mes connaissances du fait de notre jeune âge, voir que j'ai pu entendre/lire dans les médias (idées 1,2,4). Pour ce qui est du statut de demandeur d'emploi, je n'y avais jamais pensé de cette façon mais cela me parait être une bien meilleure approche, de se demander en premier lieu ce que l'on peut bien apporter à une entreprise afin de se rendre compte de ses qualités/atouts. Après tout on travaille AVEC une entreprise pour son bon fonctionnement.
Poste à pourvoir: recheche candidat dynamique autonome, qui se projete dans son futur métier. Avec biensur le macaron qui va bien: diplome superieure et expérience. Aucune place de ce fait au "talant" tant recherher pas de place pour les autodicates, aux reconverstions professionnelles ou aux profils flexible. Capable d'utiliser leurs competences transverses pour s'adapter à de nouvelle mission. Il est vrai que la notion de demandeur d'emploi est limitante des le départ. Pour un "demandeur" on imagine en face avoir un "donneur". Un donneur d'emploi hors c'est bien la tout le paradoxe.
Le postulat sur "être demandeur d'emploi" a été une petite révélation pour moi car cela m'a permit de réaliser que mentalement parlant, je n'avais pas la même posture suivant si j'envoyais une candidature spontanée ou répondais à une annonce. En tant que jeune diplômée, on m'a pas mal servi les intox de la vidéos sous différentes formes, y compris de la part de mes anciens camarades de classe ! Pour dire à quel point on nous en a parlé, presque en mode endoctrinement.
Sinon, je pense que cela va m'aider a minima pour la rédaction de mes lettres de motivation, mais également pour mes entretiens. Cependant, le fait que les recruteurs aient majoritairement cette vision de "demandeur d'emploi" n'est-il pas un frein partiel à la posture "offreur de compétences" ? Je pense surtout aux questions relatives à notre recherche, du style "Vous en êtes où de vos recherches? Avez-vous eu d'autres entretiens ?". Je sais que cela permet aux entreprises d'évaluer grossièrement leur position vis-à-vis de nous, mais en même temps, ne sont-ils pas en train de nous évaluer en tant que "demandeur d'emploi" ?
Vidéo intéressante. Je pense que les réflexions ne s'appliquent pas qu'aux jeunes, on peut retrouver les mêmes situations plusieurs années après ses études et après de multiples expériences professionnelles, car aujourd'hui nous sommes nombreux à se retrouver au point "zéro", obligés de se remettre en question et de tout reconstruire.
Bonjour à toutes et tous. Les messages sont très nombreux sur ce forum et je crains d'être redondante avec certains d'entre eux. J'aimerais pouvoir rebondir sur l’ensemble des points évoqués dans la vidéo mais je vais me concentrer sur le propos d’ouverture : trouver le job qui nous correspond n’est pas une quête effréné du boulot parfait mais bien la recherche d’un emploi qui puisse s’inscrire dans une réalité économique et dans le marché du travail actuel. D’après moi, il semble important de ne pas perdre de vue que la recherche d’emploi est également intimement liée à la recherche d’un équilibre de vie. Il s’agirait donc d’identifier un emploi qui permette d’allier épanouissement personnel et engagement professionnel. Si certains « jeunes » semblent en détachement avec le milieu de l’emploi c’est peut-être en partie parce que la notion d’équilibre de vie et de liberté dans le travail prennent une place importante. Il me paraît donc important de réfléchir de manière globale (en prenant appui sur son parcours de vie, ses envies personnelles hors travail, ses convictions et ses engagements) pour identifier un emploi qui s’intègrerait de manière fluide au parcours individuel.Dans tous les cas je reste très curieuse de ce coaching en ligne...Bon courage à toutes et tous pour vos recherches !
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