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Cours Trouvez un job #1 / Activités et questions

    15 mars 2020 à 15:36:06

    A l’issue de cette vidéo, je me suis aperçue que c’est exactement ce que je n’ai jamais fait pour une recherche d’emploi.

    A la fin du cursus scolaire, j’ai opté pour une voie générale fermant peu de porte, permettant d’acquérir de l’expérience dans un secteur qui recrute : le commerce. J’ai choisi plus par défaut plutôt que par envie. J’ai travaillé en parallèle en grande distribution par soucis alimentaire et gagnant un peu de d’expérience au passage.

    Une fois mes études finies, j’ai travaillé dans ce secteur pendant 4 ans par facilité : j’avais l’expérience, la connaissance et l’envie de travailler sans attendre. J’ai fait fi de mes bons résultats aux études, de mes capacités et de mes besoins. Je ne me suis même pas posé la question, trop insouciante et fière d’avoir trouvé un travail plutôt qu’être demandeuse d’emploi. 

    Je n’ai changé qu’une fois devenue mère, mes valeurs et mes priorités avaient changé. J’ai postulé un peu au hasard sur un coup de tête à un poste de conseillère de vente en boutique en téléphonie. Aucune expérience du produit mais ils m’ont recruté pour mon dynamisme, les valeurs que je prône. Cela fait 10 ans maintenant et encore une fois j’ai évolué naturellement vers d’autres besoins. Ce n’est qu’aujourd’hui seulement que j’effectue une réflexion sur mes envies, mes talents, le marché du travail par le biais d’un bilan de compétence. Mieux vaut tard que jamais. Mais avais-je la maturité pour le faire avant ? Est ce que je me connaissais suffisamment ? Pas sûr. Maintenant, j’ai le recul nécessaire pour aller de l’avant et me poser les bonnes questions.

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      17 mars 2020 à 14:10:07

      Durant mes études secondaires, je ne me suis jamais posé de questions concernant mon avenir. Du moins, pas beaucoup. Une fois diplômé, il a donc fallu y réfléchir. Problème : que faire ?

      Je me lance alors dans des études de communication, en me disant "Et pourquoi pas le journalisme ?"

      Les cours m'intéressaient pas vraiment. J’y allais pour satisfaire mes parents à vrai dire, et pour ne pas rester chez moi à ne rien faire. C’est donc après une année que je me suis réorienté. Mais le problème était toujours le même ; que faire ?

      Je me suis inscrit en informatique, ne sachant pas si j’allais accrocher. Finalement, cela ne me déplaît pas. J’apprends à créer des applications et des sites web notamment. Je termine les 3 années de formation avec le diplôme en poche.

      Arrive alors la prochaine étape : trouver un job.

      J’ai envoyé de nombreux CV, passé de multiples entretiens. Après 3 mois et plusieurs réponses négatives, je décroche un poste dans une société.

      Durant ces entretiens, je ne me suis jamais positionné comme une offre, comme vous le mentionnez dans vos vidéos. Je trouve ce point important et je rejoins vos idées concernant le statut de « demandeur d’emploi ».

      Je travaille à présent depuis 3 mois. Le job est idéal : bon salaire, proximité de mon domicile, collègues sympas. Je ne suis cependant pas sûr qu’il me correspond.

      La fameuse question revient alors : que faire ?

      -
      Edité par benoix 17 mars 2020 à 14:11:03

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        19 mars 2020 à 12:49:09

        Après lecture de cette vidéo, je m'accorde le droit de choisir mon emploi, de construire ma vie professionnelle. Mais j'ai aussi un devoir de prendre les rennes de ma vie professionnelle et de le faire pour moi-même. Ce qui peut-être destabilisant de combattre les images diffusées par la société. Lors de mes entretiens d'embauche, je me suis souvent placé comme demandeur d'emploi. S'accorder une marge de manœuvre et des droits plus étendus est à la fois plus surprenant et c'est aussi une peur d'échec que de quitter sa zone de comfort.
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          20 mars 2020 à 12:35:02

          Bonjour,

          Apres ce visionnage,je me reconnais dans ces affirmations.Je ne me permet pas de prétendre à un certains salaire dans mes recherches d'emploie par peur de refus. Je souhaite des postes évolutifs dans lesquelles il me manque certaines compétences mais dans lesquelles je souhaite me donner.Je me suis déjà forcer à accepter un job pour rentrer dans le moule et faire plaisir à mon entourage,résultat j'ai abandonner quelques jours après. Je n'envisageais pas de me voir en position de force en tant que plus valus pour une société et non en demande. Ce terme demandeur d'emploie est péjoratif et devrais être abolie.voila mon ressentie après cette video je continue ce MOOC afin de mieux déterminer mes envies.

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            24 mars 2020 à 13:53:33

            Suite au visionnage de la vidéo "Détox" En effet, il y a un mouvement unilatéral de certaines entreprises qui estiment que les Demandeurs d'emploi doivent de conformer à leurs attentes, entrer dans leurs moules. Je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'outre un parcours ou une formation, ce sont davantages nos qualités personnelles, nos savoir-être qui nous permettent de nous distinguer. Lors de nos études, nous sommes invités à suivre des enseignements et à les prendre pour acquis, mais rarement à ouvrir le débat sur leurs fondements et contenus.
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              24 mars 2020 à 18:48:56

              Je partage le point de vue de Julie COUDRY sur le regard généralement porté sur les jeunes face au monde du travail. J'ai moi-même eu du mal à trouver un job qui me correspond (que j'occupe aujourd'hui) et je suis passée par de grands moments de découragement avant d'y arriver. Il est vrai que la société (professeurs, proches, etc.) nous pousse à "prendre ce qui vient". Or, plus que jamais à notre époque, il faut pouvoir essayer, se tromper, s'épanouir et savoir partir lorsque cela devient nécessaire. Cela n'est malheureusement enseigné nulle part, pourtant cela mériterait d'être au programme.
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                25 mars 2020 à 12:24:31

                Bonjour,

                Je viens de commencer ce cours avec la vidéo "détox: changement de point de vue".

                Je trouve qu'il y a beaucoup de choses vraies dans cette vidéo, mais ce que j'ai surtout noté c'est la phrase "c'est toujours mieux que rien" souvent dite par mes proches. Ce qui a tendance à me rendre fataliste sur mes perspectives pour trouver un emploi qui me plait. Parfois, il y a tellement une pression de l'entourage pour rentrer dans la norme/dans des cases, qu'on fini par s'oublier ce qui est dommage.

                C'est vrai qu'on n'est pas toujours aidé pendant nos études pour s'orienter correctement, et qu'on est un peu lâché dans la jungle de l'emploi et du marché du travail, sans réelles connaissances de comment ça fonctionne. C'est peut-être pour ça qu'il y a autant de jeunes qui galèrent pour trouver un emploi, et ça ne doit pas aider pour effacer ces à priori sur les jeunes pas assez adaptés.

                Autre chose que je trouve assez vrai et à laquelle on ne pense pas assez en tant que demandeur d'emploi, c'est que les entreprises sont aussi en demande!! Il ne faut pas l'oublier !! Alors il faut savoir se vendre, meme si ce n'est pas toujours facile.

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                  25 mars 2020 à 15:00:27

                  Merci pour cette vidéo qui met les pieds dans le plat de l'état d'esprit à avoir. Il y a quelques mois j'ai rencontré un entrepreneur à succès qui m'a avoué que les demandeurs d'emploi ne sont pas ceux que nous pensons. Les véritables demandeurs, ceux qui sont en demande sont les chefs d'entreprises, les recruteurs. Se présenter en temps qu'opportunité auprès des recruteurs est une preuve de confiance et de leadership. Il est intéressant de se poser la question : En tant que recruteur est ce que je me recruterai moi-même?
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                    27 mars 2020 à 10:19:32

                    Il est vrai qu'on ne parle pas suffisamment de l'insertion professionnelle lors des études, il est alors difficile de choisir sa voie. J'ai choisi des études supérieures par défaut ne sachant ce qui me correspondait. Aujourd'hui 10 ans après la fin de mes études je ne sais toujours pas quel métier pourrait me correspondre. Je suis entièrement d'accord sur le fait de changer de point de vue et de passer à l'idée qu'on a tous quelque chose à offrir. Mais il est difficile de savoir ce que l'on a a offrir, quelles sont nos points forts, nos compétences.
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                      27 mars 2020 à 11:05:41

                      Ce sujet est très intéressant. Il met en évidence des idées différentes entre les jeunes et l'emploi. Chaque personne a une valeur ajouté pour une entreprise, soit une compétence, une personnalité, un investissement, savoir-faire ou être. Les jeunes ont des valeurs différentes dû au contexte où ils ont évolué et grandi, des valeurs avantageuses pour une société, mais encore faut t'il que ces dirigeants soit prêt à les voir et les entendre, dans des candidats qui n'ont ou très peu d'expériences ? Les jeunes ont des qualités à offrir, leur but est de trouver qui pourrait les accepter.
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                        27 mars 2020 à 11:21:36



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                        Edité par CaroleLUTRAND 27 mars 2020 à 11:28:22

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                          28 mars 2020 à 10:08:39

                          Bonjour,

                          Première vidéo premier exercice Réflexion...

                          Le fait est que la pression sociale fait beaucoup pour le choix dans le monde du travail quand on est jeune, je me souviens que toutes les options que je souhaitais et que j'avais mises en avant ont été démontées et rejetées par mon entourage. On m'a guidé à faire un métier non pas que je n'aime pas car c'était impossible, mais à défaut un métier alimentaire. Et surtout pas à choisir un métier que j'aime car le chemin aurait été difficile. Du coup je m'ennuie facilement et cela me demande plus de concentration pour faire mon travail.

                          Ah mais par contre on est certains qu'il est facile pour moi de trouver du travail mais la solution de facilité n'est pas forcément celle qui me rends heureuse et c'est pourquoi j'ai entrepris de suivre ce cours.

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                            28 mars 2020 à 13:32:47

                            J'ai beaucoup apprécié les idées dégagées par la vidéo "Détox", je suis absolument dans cette état d'esprit : ne pas subir une voie professionnelle par confort ou par manque de courage, être en symbiose avec mes aspirations de vie, être actrice de ma vie au sens large...cette vidéo m'évoque tellement de choses positives, d'énergie, d'espoir mais elle me fait également réfléchir sur mon cheminement. En effet, je me demande combien de temps cela va encore me prendre pour trouver mes réponses. Je suis donc ravie de suivre ce cours !
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                              28 mars 2020 à 17:40:49

                               bonjour à tous

                              Cette vidéo  est claire . Elle nous permet d' ouvrir les yeux de voir très loin.  Tout le monde est capable de faire quelque chose à sa capacité sauf que derrière toi ou devant toi il y a toujours des préjugés qui te bloquent en te disant que tu ne peux pas mais c,est en vain. On peut développer quelque chose à son rythme. Il ne faut pas se culpabiliser ou écouter les gens qui te découragent.  on vit dans des situations pareilles jours et nuit. Au moment où tu veux te lancer dans une affaire, les gens te découragent ou te disent que ce n'est pas facile.

                              Les jeunes sont capables, ils ont la force de travailler lais il y a encore des soucis aux gens qui embauches en  nous critiquant qu on n'a pas d’expériences  on  étudie de se vendre .

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                                29 mars 2020 à 15:25:32

                                1ere vidéo :  C'est le discours habituel : si vous trouvez pas d'emploi qui vous aille, c'est parce que vous regardez mal.

                                Certainement. Mais euh, si je cherche un boulot pour lequel j'ai pas les diplomes, je l'aurai pas. Faut être raisonnable.
                                Si j'ai pas d'expérience, j'ai moins de chances d'être pris. Donc être primo-diplomant est discriminant, jeune ou pas.
                                Si j'ai des contraintes périphériques au travail, par exemple, l'envie absurde d'amener mon enfant à l'école et d'aller l'y chercher sans lui infliger 8 heures de garderie et des horaires de travailleur normaux, je peux toujours rêver.

                                Bref. Je joue le jeu, mais très franchement, j'entends juste "soumettez-vous au marché"

                                Le langage ne change rien à la réalité, une vache est une vache, que je l'appelle grill-pain ou chemise, et ce n'est pas moi qui décide si j'ai le poste ou pas, que je m'appelle offrant ou demandeur.

                                ex 2: informations personnelles.

                                ex 3 : pole emploi définit 14 savoir-être, il suffit de reprendre ses fiches de postes pour avoir accès aux compétences légitimement acquises. c'est redondant.
                                redite sur la posture d'offreur. D'ailleurs, quand j'offre un truc, c'est pas pour me faire payer. C'est un mensonge.

                                ex 4: la cata.

                                question 10 : open space ou bureau ? ok... et euh... le maraichage, c'est en open space ? L'usine ?  Les espaces verts ? les soudeurs ? les réparateurs ? combien de métiers vous avez effacés du paysage ?

                                question 14 : une entreprise respectueuse des règles du marché, non ? leader ou nouveau, c'est tout ? mais moi, je préfère bosser avec des gens qui ne font pas de fraude fiscale, ne trichent pas sur les chiffres de la pollution de leurs voitures ou respectent les règles du bio... par exemple

                                question 16 du coup, la question de l'image, idem.

                                question 18 : visiblement, humanitaire et social, c'est différent... Ok... Et l'environnemental, ça n'a pas de conséquences ni sociales ni humanitaires... sauf en australie... ou en chine... ou a rouen... ou... partout en fait, vu que les individus adaptent leurs comportements aux structures qui les entourent...

                                Donc... inadapté.

                                Surtout, quand on est hédoniste, on ne cherche pas le tripalium... on laisse les esclaves cotiser pendant qu'on va en festival.


                                ex 5 : mon projet c'est de travailler pour avoir de l'argent. Et après on verra, parce que là, j'ai pas d'argent, donc je fais pas le bégueule. De toute façon, y'a une période d’essai, et si après vous avoir essayé, ça marche pas, bah on sera pas fâchés.

                                bref. J'arrête là, c'est complètement hypocrite. alors oui, dans l'absolu, faut bien être docile et bêler "je veux travailler pour vous parce que nous avons les mêmes objectifs" ou "je suis client de mcdonald"
                                Mais c'est pas de l'épanouissement, c'est de l'aliénation.

                                PS : les gens se corrigent pas. Donc c'est un échec, les aliénés veulent pas se regarder les uns les autres.
                                Peut-être par peur de constater qu'ils se mentent.

                                -
                                Edité par BenoitFlamand 29 mars 2020 à 16:36:40

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                                  29 mars 2020 à 15:41:46

                                  Je ne me rendais pas compte à quel point les idées reçues étaient ancrées dans mon subconscient. Je suis bientôt diplômée, et je me suis mise une pression énorme sur LE stage idéal à trouver, qui déboucherait sur une première embauche. Un stage qui aurait du sens et dans lequel je m'épanouirais. Mais je n'arrivais pas à savoir ce que cela signifiait concrètement pour moi, ni à aller au bout de ce raisonnement. 
                                  Se libérer de ces idées négatives reçues, accepter que l'emploi idéal n'existe pas et être un moteur positif de sa recherche d'emploi sont les points clés que je retiens de cette vidéo. J'ai donc hâte de commencer ce cours pour prendre du recul sur mes compétences, mes envies et mon futur parcours professionnel. 
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                                    29 mars 2020 à 16:24:10

                                    Bonjour,
                                    Lors de ma première recherche d'emplois, j’ai naturellement connu des phases de doutes et des pensées limitantes. Si bien que nous partons à la recherche, ou pas, de conseils dans notre entourage qui est rarement le plus renseigné. J’ai alors vacillé entre le doute de mes capacités et la mauvaise conjoncture du marché de l’emploi actuel. A choisir, nous préférons nous dédouaner et opter pour la deuxième possibilité. Or la seule chose à faire, est probablement de ne rien laisser s’immiscer entre nous et l’emploi adéquat.
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                                      29 mars 2020 à 21:17:26

                                      Bonjour !

                                      Je suis tout à fait d'accord avec ce que dit Julie. Pour ma part j'ai très souvent changé de jobs en tant que salariée et chaque fois, après les 6 premiers mois d'euphorie, le line de miel , s'installait l'ennui, ou des frustrations ne de pas être libre de mener les projets tel que je le voulais (lourdeurs hiérarchiques, visions managériales, politiques internes etc.). J'avais pourtant des jobs intéressants, sympas (dans la communication), de très bonnes relations avec mes supérieurs, mes collègues mais j'avais l'impression de vivre une fuite en avant perpétuelle, une insatisfaction profonde qui ne me semblait  pas légitime. Un jour, j'ai décidé de créer mon entreprise, contre l'avis de mes parents pour qui le monde de l'entreprise était une jungle pleine de dangers. Cela fait 8 ans que je me sens enfin maître de ma vie, que je fais ce que je veux, avec qui je veux (je suis agricultrice et coach), de la façon dont je veux. J'apprends tous les jours, j'aime travailler, je me sens utile, ce que je fais à du sens et j'obtiens de la reconnaissance en retour. J'ai un nouveau projet tous les deux ans pour mes boites. C'est l'aventure au quotidien avec ses hauts, ses bas, les peurs et les joies. Je me sens enfin vivante ! Je n'étais pas faite pour le salariat mais tout le monde n'est pas fait non plus pour l'entreprenariat. Il faut connaitre ses valeurs, ses besoins, ses points forts et ses limites et quand le projet pro colle à ça, c'est top ! Merci Julie pour votre cours très intéressant jusque là !

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                                        30 mars 2020 à 13:04:57

                                        bonjour,

                                        merci pour cette opportunité. vidéo très intéressante, mes parents sont ouvriés et je suis moi même devenu ouvrier malgré le fait que c'est une des seuls choses que je ne voulais pas faire. cette vidéo mets en évidences (selon moi) les différentes éducations lié au statut social. (les chiens ne font pas des chats). évolué dans un milieu précaire crée la peur de ne rien avoir, d être a la rue et c'est le premier letmotiv pour pousser quelqu un dans une branche sur et accessible.

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                                          30 mars 2020 à 13:43:47

                                          Je suis d'accord avec le contenu de cette vidéo, j'ai toujours partagé les points de vueprésentés, c'est à dire que nous sommes offreurs de compétences, qu'être jeune peut malgré le manque d'expérience aussi être un atout par la motivation mais aussi le dynamisme, l'utilisation de nouvelles technologies et les capacités d'apprentissage et de changement plus élevées, ainsi que le fait qu'on puisse très bien être ambitieux. Je ne souhaite pas faire un travail par défaut parce que vivre pour vivre ne m'intéresse pas. Je me demande surtout comment garder un état d'esprit positif.

                                          -
                                          Edité par ElorriCdG 30 mars 2020 à 13:44:09

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                                            30 mars 2020 à 14:41:24

                                            La vidéo Détox fait écho à plusieurs de mes expériences professionnelles. Les débriefings de mes premières semaines à occuper un nouveau poste ont toujours mis en lumière une réflexion de la part de mes supérieurs :ils étaient systématiquement surpris de voir l'adaptabilité dont je faisais preuve, la volonté de bien faire et un regard nouveau et des idées pertinentes sur les sujets abordés. Le postulat semblait donc être "une débutante avec des compétences juniors" et la réalité était tout autre. Un a priori généralisé règne et c'est à nous de le déconstruire et apporter la preuve du contraire
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                                              30 mars 2020 à 15:30:48

                                              Cette vidéo et le nouveau point de vue qu'elle propose m'a plu. Ce discours positif donne envie de mettre en place des activités pour mieux appréhender son potentiel. Mais par où commencer ? Comment réussir une reconversion? On y parle principalement des difficultés rencontrées par les jeunes mais pas de celles des personnes qui ont travaillé dans un secteur pendant des dizaines d'années et qui veulent en changer. Il me semble difficile de changer de secteur lorsqu'on doit faire face à des impératifs économiques et familiaux.
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                                                30 mars 2020 à 18:34:59

                                                bonjour,

                                                et désolé de m'adresser au mauvais endroit

                                                mais je ne trouve pas la zone correction pour envoyer le travail du chapitre 2.

                                                ni comment d'ailleurs. merci 

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                                                  30 mars 2020 à 20:35:43

                                                  Bonjour, Une vidéo courte et percutante. Simple, accessible, avec une cible privilégiée qui revient souvent dans le discours : les jeunes. Et pourtant; tout me parle dans cette vidéo "détox" bien que je cumule maintenant une vingtaine d'année de travail. Je suis dans une étape de compromis car "jeune" maman où le calcul "travail/famille" devient très important, que ce soit d'un point de vue de la répartie du temps entre la famille et le travail, mais aussi de l'argent entre le salaire et les frais de garde. D'où l'importance pour moi de reprendre un travail épanouissant. Je pense vraiment que les premières années de notre vie professionnelle et les dernières permettent de faire en fonction de nos envies, valeurs et de porter un regard assez critique sur les postes à occuper. Entre les deux les compromis sont plus présents.
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                                                    30 mars 2020 à 21:07:32

                                                    Chère Julie,

                                                    Merci pour ce premier parcours qui m'a permis de réfléchir. Je me suis reconnu dans cette vidéo détox, en effet, je cumule les quatre idées reçues. Mon premier job est d'ailleurs un stage que j'ai pris par défaut car je me suis dit que je devais à tout prix me faire de l'expérience en entreprise. Je pense aussi que ces idées reçues viennent du fait qu'il y a un nouveau bassin de recrutement de fils de prolétaire ou de français/belges/suisses de première génération qui ne sont pas forcément natifs du milieu de entrepreneuriat.
                                                    Le fait de voir ça comme faux pourra m'aider à aller de l'avant et à me vendre comme un fruit mûr au marché.

                                                    Cependant, je crains que l'on va vers une normalisation de plus en plus poussée du marché du travail. Telle école nous mène là, telle formation, là-bas. Cette normalisation qui va de pair avec le réseau, l'important n'est pas qui nous connaissons, mais qui nous connais. Le monde du travail nous pousse à accumuler les relations comme des cartes pokemon, à avoir du succès comme si l'échec était à proscrire. Toujours travailler sur ses hard skills, ses soft skills, toujours être dans le mouvement et l'effort. Notre société est harassante, on nous vend un job de rêve, on nous vend une vie de rêve avec des élites déconnectées de la réalité et des jeunôts qui se font plein de fric via les réseaux sociaux.

                                                    J'ai vraiment hâte de suivre ton cours car je ne vois pas du tout d'un bon oeil ce monde du travail et ne vois pas comment le coupler avec une vie de famille heureuse.

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                                                      31 mars 2020 à 10:33:00

                                                      akatan a écrit:

                                                      Bonjour,

                                                      j'ai trouvé très intéressant ce changement de posture: je ne suis plus en demande mais j’ offre  mes compétences.

                                                      Je n'avais pas vraiment envisagé les choses de ce point de vue. Je pense que c'est un discourt qu'il faudrait entendre alors que l'on est encore étudiant pour apprendre à valoriser nos compétences dès le début de nos études afin de choisir les voies qui correspondent à nos capacités et envies et non à l'idée collective des "études qui permettent de trouver un bon job".

                                                      Comment déceler et mettre en avant nos compétences?

                                                      -
                                                      Edité par akatan 4 novembre 2014 à 16:50:56

                                                      Je trouve ce commentaire très intéressant car il s'agirai réellement de donner de bonnes clefs aux étudiants pour aborder le marché du travail. Cela se démocratise plus en 2020 qu'en 2014 date du commentaire, seulement je trouve que les aides à l'orientation sont encore peu efficients par le biais des établissements scolaires. Il est dommage d'avoir à faire appel à des organismes privés pour avoir un bilan de compétence de qualité lors du cursus scolaire ou de fin d'étude. 
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                                                        31 mars 2020 à 16:37:44

                                                        Les quatre idées reçues sont bien des choses que l'on entend facilement et qui poussent (d'une certaine manière) à faire des choix par défauts. Je suis actuellement au chômage et j'aimerais mettre à profit ce temps pour trouver un job qui me permettrait de mettre mes connaissances à profit. Il est cependant assez difficile de trouver le métier qui allie tout ce dont on a besoin/envie : le niveau d'études correspond il? Les études sont elles en lien avec ce futur métier? Comment allier vie de famille et reconversion professionnelle? ... 

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                                                          31 mars 2020 à 17:31:54

                                                          Bonjour, Je n'avais jamais envisagé le monde du travail de cette manière. Mon parcours à jusque là été facile. Ce qui m'a surtout frappée et interpelée dans la vidéo c'est la question de la personne qui n'a pas d'emploi : elle est présentée comme étant en demande alors qu'elle est en position d'offrir quelque chose et d'apporter une valeur. C'est certainement sur cette question que je dois travailler car je me questionne quant à une reconversion professionnelle et ne sait pas pour où commencer.
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                                                            1 avril 2020 à 10:47:15

                                                            JeannickaAnaïs a écrit:

                                                            Je partage le point de vue de Julie COUDRY sur le regard généralement porté sur les jeunes face au monde du travail. J'ai moi-même eu du mal à trouver un job qui me correspond (que j'occupe aujourd'hui) et je suis passée par de grands moments de découragement avant d'y arriver. Il est vrai que la société (professeurs, proches, etc.) nous pousse à "prendre ce qui vient". Or, plus que jamais à notre époque, il faut pouvoir essayer, se tromper, s'épanouir et savoir partir lorsque cela devient nécessaire. Cela n'est malheureusement enseigné nulle part, pourtant cela mériterait d'être au programme.


                                                            Vous avez écrit une phrase très juste à mon sens: "il faut savoir partir", oui ne pas rester quand cela ne nous correspond pas ou plus, que les missions confiées ne sont pas adaptées à nos compétences ou nos valeurs. L’évolution devrait aussi venir des employeurs car un employé découragé face à son travail ne sera pas productif. Evoluer encore et toujours cela me parait essentiel.
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                                                              1 avril 2020 à 11:19:24

                                                              Bonjour,

                                                              Le monde du travail, confronté depuis ma majorité pour de l'alimentaire durant mes études puis dans la continuité de mes études j'ai compris qu'il fallait être offreur de compétences et non demandeur d'emploi, je n'ai pensé qu'il fallait être senior pour que l'on nous confie des responsabilités aux jeunes. Aujourd'hui je ne recherche pas le job idéal mais le job qui me convient et pour lequel je suis bon. J'ai appris a ne pas revoir mes conditions a la baisse mais faire des concessions. Le prochain job sera celui qui correspondra a mes attentes et à ma personnalité.

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