N'étant plus considérée comme "jeune" (j'aurai bientôt 40 ans), j'ai d'abord pensé que ce cours ne m'était pas destiné mais j'ai regardé cette vidéo jusqu'au bout et la 3ème idée reçue énoncée m'est apparue comme une illumination… Effectivement, pour quelle raison l' être humain est-il le demandeur d’emploi et l’ entreprise l’ offreur ? Pourquoi n’ est-ce pas l’ entreprise qui demande des compétences et l’ être humain que lui apporte ? C’ est fou comme le retournement de situation ouvre de nouvelles perspectives !
C’est une révélation : proposer mes compétences plutôt que de m’adapter à ce que l’on me demande : je suis POUR !!
Je ne suis plus jeune (j’ai 41 ans...) mais je veux changer d’emploi, de métier, de carrière... après plusieurs mobilités au sein de mon entreprise. J’espère pouvoir être un jobmaker malgré mon âge.
L'enjeu dans la recherche du job, n'est pas tant d'offrir des compétences, choses que nombres de candidats proposent, que de faire le lien entre ce que vous avez à proposer, et ce qui est recherché par l'entreprise.
En un mot, de réussir à apparaître aux yeux du décideur comme étant le Profil recherché, quitte à violer certaines règles...
1 - se positionner dans une configuration "d'offreur de compétences" est assez inhabituel, mais pourquoi pas ? Cela demande en effet à penser différemment et peut modifier notre façon de répondre à des candidatures et lors des entretiens d'embauche.
2 - on a l'impression que cette vidéo s'adresse essentiellement à des jeunes en début de carrière. Quid des quinquas qui ont déjà une longue carrière derrière eux et qui se retrouvent un jour sans emploi et plein de questionnements quant à leur "avenir" professionnel, la première étant : est-il possible de démarrer à nouveau ?
les vidéos écoutez sont motivant pour remettre les idées en place. ces vidéos traduisent fidèlement les réalités du monde professionnelle d'aujourd'hui.
pendant nos formations, nous acquérons des compétences nécessaire pour la transformation des entreprises et la posture d'offreur de compétence à mon avis a véritablement plus de sens.
je suis tout à fait d'accord avec le contenu de ces vidéos.
n'attribuons pas à la malveillance ce qui se justifie par l'incompétence
Passer de "Demandeur d'emploi" à "Offreur de compétences", je ne l'avais jamais vu sous cet angle mais c'est la réalité. Cela enlève un poids, une pression sur les épaules. Cela sous entend que l'entreprise a besoin de nous, de nos compétences. La seule difficulté est de savoir quelles sont nos compétences.
Aussi, nous ne sommes pas obligés de nous inscrire dans la durée. La société veut qu'on garde un emploi le plus longtemps possible. Lorsque l'on démissionne cela représente un échec social or c'est faux, c'est seulement un souhait d'évoluer dans un autre métier ou un autre environnement de travail.
- Edité par AmandineBelhafsi 26 août 2020 à 16:49:02
Belle manière de se positionner comme offreur de compétences plutôt qu'en recherche d'emploi, c'est une vision qui me plaît !
Les idées reçues ont la vie dure : "tu ne vas pas quitter ton CDI (alimentaire) pour un CDD (avec des missions qui te plaisent) ?" ; "réfléchis bien tu sais ce que tu as mais difficile de savoir ce que tu gagnes"
Alors qu'un job qui ne me correspond pas ne me motivera pas, ne me poussera pas à apprendre plus, à prendre des initiatives, ... Se pose les questions sur le matching entre mes compétences et le marché du travail, le besoin de bien se connaitre pour se vendre
Je suis en accord avec les points défendus dans ce vidéo, le tout reflète bien la nouvelle réalité professionnelle à laquelle notre génération est confrontée et comment s'y adapter. Changer notre approche envers celle-ci et se défaire des mentalités imposées par la génération antérieure qui n'évolue pas de la même façon dans le monde professionnel que nous ne peut que nous aider à nous développer et à atteindre le job qui nous convient. Il est un défi par contre de pouvoir se vendre à une entreprise qui est encore dans cette mentalité, heureusement plusieurs compagnies changent d'approche.
En matière de progrès nécessaire la gestion de notre temps de travail ne doit plus se cantonner à des horaires basiques (dans certains domaines) mais en fonction de notre capacité de travail, de la modification de charge de travail. Le travail au quotidien doit être progressiste et se compose ou se décompose en fonction du moment, des priorités, des imprévus, des temps forts et faibles...
Etre raisonnablement déraisonnable. c'est cette liberté d'action qui peut manquer.
C'est pour cela que je me sens par moment en décalage.
Le visionnage de cette vidéo m'a permis de prendre du recul et de changer de vision face à la position du "demandeur d'emplois" ou plutôt de "l'offreur de compétences" .
Cette façon de proposer ses compétences met le job maker en confiance, on se sent moins dépendant de la réponse du recruteur, mais plus en négociation pour trouver un compromis et faire une collaboration.
Il est très intéressant de considérer un "débutant "comme une force de motivation et une richesse POUR l'entreprise.
Les idées reçues (négatives et qui nous mènent à nous dévaloriser) sont transformées par des idées constructives qui nous demandent une démarche proactive. Nous devenons alors responsable de notre parcours professionnel, mais plus encore le capitaine de notre navire. Cela axe notre travail sur la confiance en soi et l'augmentation de l'estime de soi. Nous sommes tous des êtres singuliers et nous avons tous quelque chose à apporter de particulier au reste du monde. Nous sommes uniques et toutes les spécificités mises bout à bout forment un merveilleux arc-en-ciel de possibilités.
J'ai beaucoup apprécié cette vision de la crise, période de destruction, oui, mais aussi de création. Déconstruire ce qui ne marche pas pour construire ce qui peut fonctionner (le cycle est infini). Cette vidéo permet de propager un message dans lequel la fatalité n'a pas sa place.
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Aly
n'attribuons pas à la malveillance ce qui se justifie par l'incompétence
Sarah Zraimek