Bonjour à tous et bienvenue dans ce cours sur le monde des start-ups !
Vous aurez accès à mon cours à partir de lundi 8 septembre. Pendant ces trois semaines, nous allons nous immerger dans le monde des startups et découvrir leurs caractéristiques. Je vous invite à poster vos questions et les activités non-notées directement ici. J'essaierai de répondre régulièrement, mais n'hésitez pas à discuter entre vous et à vous entraider, c'est tout l'intérêt des cours en ligne !
J'ai reçu un mail pour l'ouverture du cours, mais il semble que celui-ci ne soit pas disponible pour le moment?
Ce mini-souci technique a été très vite résolu. J'en profite pour rappeler de ne pas hésiter à me contacter à cette adresse : contact@openclassrooms.com pour toutes les questions qui ne sont pas liées au cours.
Je vous souhaite un excellent cours à toutes et tous !
Je viens de terminer la toute 1er vidéo. Peut-être que je suis plus sensible à ce thème mais j'ai rarement vu un niveau de qualité comme ça. C'est du haut niveau.
Idée --> exemple --> contre-exemple--> transition --> idée --> exemple etc
C'est simple je n'ai pas arrêté de prendre des notes tous les mots sont précis et efficaces.
Pitch : Technologie innovante qui permet de réunir tchat et contenu web (de youtube à facebook en passant par deezer) en temps réel de le diffuser en public via les réseaux sociaux ou de rester privé.
"On parle en temps réel autour d'un contenu public ou privé"
http://youtu.be/U_67GOlTNMM
On est en plein dans la définition de start-up. Forte croissance, forte ambition. A la fois une innovation d'usage et de la technologie (breveté). Il ne semble pas avoir eu de pivot clair et évident.
Modèle éco qui repose sur un modéle freemium (95% du contenu gratuit) et premium pour avoir des fonctionnalités en plus.
1er levée de fond en octobre 2013 -->713K€ 2e levée en septembre 2014 --> 2m$ 3e levée prévu en 2015
Il semble y avoir un pacte d’actionnaire complexe. A prendre avec de grosse pincette mais la valo de la start-up pourrait être au alentour de 4m pré-money.
Au niveau des étapes, je dirais qu'ils ont valider leur idée qu'ils sont bien rentré dans l’amorçage avec des early adopters. Je pense qu'ils en sont à l'attaque du mass marché avec l'ouverture du bureau au US car plus porteur/mature et rapide en ROI.
Finalement ça marque aussi la transition Créateur --> Dirigeant avec ce passage à échelle et la validation du Business model
Au niveau profil, le fondateur est clairement dans la partie technique des technos web que ce soit de formation ou d'expérience. On peut aussi voir que ce n'est pas son premier essai.
Voilà la fiche de présentation du Fab Shop après entretien (activité 2):
Nom de la start-up choisie
Le Fab Shop
1.Quelle est la start-up choisie ?
Le Fab Shop est une start-up créée en 2012 à Saint-Malo par Bertier Luyt. Elle propose des solutions de fabrication digitale et s’adresse dans un premier temps aux designers, aux artisans et aux makers.
Le Fab Shop est le leader français de l’impression 3D personnelle et équipe aujourd’hui de nombreuses entreprises et tous les fab labs de France.
La start-up a diversifié ses activités en proposant notamment des ateliers de formations pour ceux qui désirent apprendre à utiliser des outils de fabrication digitale, en réalisant des objets designs qui sont vendus en ligne ou en boutique via le Fab Store et en organisant des évènements de valorisation autour du maker movement.
A la fin de l’année, la start-up va ouvrir à Paris le Fab Club qui est un espace de 300m² dédié à la fabrication digitale dans lequel on retrouve 30 postes de travail accessible à tous via un abonnement ou un ticket à la journée. Cet espace sera équipé d’outils et de machines diverses telles que les imprimantes 3D, les scanners 3D, les découpe-lasers, les découpe-vinyles…En plus de cet espace seront également disponibles pour les entreprises des salles de conférences, des salles de co-working et d’incubation ainsi qu’un showroom pour valoriser les créations de fabrication digitale des utilisateurs. L’ambition du Fab Club est de permettre aux développeurs de passer rapidement de l’idée au produit.
2.Le positionnement
Le Fab Shop est la première start-up consacrée à la vente d’outils de fabrication digitale en France et est le premier centre de formation agréé à l’impression 3D.
La chaîne de valeurs est composée de trois acteurs. Les fabricants de solutions digitales principalement des américains. Le Fab Shop. Les consommateurs. Le Fab Shop s’adresse directement aux utilisateurs principalement aux designers, artisans, entreprises et fab labs.
L’ambition du Fab Shop est de conquérir le marché européen.
3.La proposition de valeur
Le Fab Shop : solutions de fabrication digitale.
4.Le ou les fondateurs
Bertier Luyt fondateur du Fab Shop est autodidacte. Il quitte la France pour New-York après l’obtention d’un baccalauréat. Passionné par le digital c’est d’abord par la musique électro qu’il va exploiter les ordinateurs. Progressivement il va se tourner vers le design et l’agencement de locaux professionnels. Il va fonder sa première entreprise Batitrad.pro. Devenant rapidement un expert en matière de modélisation 3D, Bertier Luyt décide de créer le Fab Shop pour démocratiser la fabrication digitale et appuyer le mouvement du « Do it yourself » qui peine à se développer en France. En somme, Bertier Luyt a un profil d’artisan.
Il s’est appuyé sur les compétences de Matthieu de Genevraye en matière de finance et d’entrepreneuriat pour développer la start-up.
Ainsi, nous avons une complémentarité avec deux profils d’entrepreneur dont les compétences spécifiques de l’un sont le design et la création, de l’autre la finance et la comptabilité.
5.La scalabilité
La chaîne de valeurs dans laquelle se positionne le Fab Shop est petite. Composée de trois acteurs, il est difficile de la réduire davantage. Le Fab Shop constitue un intermédiaire entre le fabricant et l’utilisateur. Mais c’est un intermédiaire qui a su répondre aux besoins exprimés d’abord de la part du fabricant qui n’a pas vocation à commercialiser ses produits, ensuite de la part des utilisateurs qui souhaitent s’équiper d’outils de fabrication digitale.
Le Fab Shop première start-up à commercialiser des solutions de fabrication digitale a donc plus de deux années d’existence et emploie près de 14 salariés. Son chiffre d’affaire en 2013 est de 750 K€. Sur la période 2013-2014, la start-up devrait enregistrer une croissance prévisionnelle de plus de 200%. Son ambition ne s’arrête pas là puisqu’elle a d’autres projets de développement comme le Fab Club.
6.Le financement
Le financement du Fab Shop provient de fonds privés. La réussite de la première société de Bertier Luyt, Batitrad.pro a permis de financer le lancement du Fab Shop. En résumé, le Fab Shop a été auto-financée à ses débuts. Aujourd’hui, avec le projet du Fab Club, le Fab Shop va obtenir des fonds publics suite à l’appel d’offre lancé en 2013 par le ministère du redressement productif. En effet, le Fab Club a été retenu comme projet d’intérêt national et va donc bénéficier d’une ressource financière.
7.Les difficultés rencontrées
Contrairement à sa première société, le Fab Shop n’a pas connu de grandes difficultés. Rapidement le Fab Shop est devenu numéro 1 dans la commercialisation de solutions de fabrication digitale. L’expertise reconnue de Bertier Luyt en matière de modélisation 3D lui a permis d’intégrer les bons réseaux pour se développer.
Toutefois, il faut veiller à la concurrence pour toujours conserver une longueur d’avance. L’innovation est donc au cœur du développement de la start-up. Un projet doit en appeler un autre. Une réussite doit en amener une autre.
La difficulté réside dans la réussite. Lorsque tous les voyants sont au vert on a tendance à vouloir en profiter. Mais si on se repose sur ses lauriers trop longtemps il y a un danger. A être dans l’inaction on transforme l’incertitude en risque. Or, en étant dans une logique de projet on rebondit très rapidement malgré les déceptions.
Exercice très sympa à réaliser lorsqu'on le croise aux éléments du cours. On retrouve beaucoup d'interactions avec ce qui nous ai proposé dans les vidéos. Merci à Open Classrooms!
Ouah ça donne l'envie d'entreprendre tout ça!!!
En fait, l'entrepreneuriat c'est une histoire d'enthousiasme, d'optimisme, de persévérance!
Pour l'activité 1 je me lance sur une idée de Start Up.
Il s'agirait de proposer aux entreprises de les décharger des tâches numériques sans réelle valeur ajoutée pour elles. Cela pourrait aller de l'annotation de document, à l'encodage tout simple, à la création en rafale de feuille Excel, .....
Bref toute tâche numérique qui pourrait se faire en Flex Work, sans devoir être présent dans les murs de l'entreprise en permanence.
Une petite question pour Antoine : Pourquoi King est une startup à tes yeux ? Je ne comprend pas, parce que King (créé en 2003) ne me semble pas bien différente de Gameloft, par exemple. C'est de l'édition de JV sur mobile. Et les achats in-app existent également depuis un moment. Et le jeu Candy Crush lui même n'est pas une énorme innovation (cf Zookeeper qui en 1987 exploite la même mécanique de jeu, par exemple).
Donc voilà : De mon point de vue, King a sorti un hit, mais même si le succès est énorme et indéniable, je n'arrive à voir cette société comme une startup. Il y a certainement un aspect de la chose qui m'échappe.
Tout d'abord, merci pour ces vidéos de qualité. J'ai vraiment appris plein de choses, j'ai pris des notes.
Ensuite, voici ma situation. Cela fait presque 2 ans que j'ai une idée de site internet en tête. On peut le ranger dans la catégorie du divertissement, et je pense qu'il a un potentiel à exploiter. J'ai acheté l'hébergement souhaité, j'ai dessiné des maquettes et, même si je n'ai pas encore trouvé les couleurs que je voudrais utiliser, j'ai déjà une bonne idée du visuel de mon site (rien de bien compliqué). J'aimerais donc me lancer et le créer, mais je n'y connais pas grand chose en informatique, et je ne connais aucun développeur. Comment faire ? J'ai cherché du côté des thèmes wordpress, il y en a des sympas, mais cela ne correspond pas vraiment à ce que je recherche. Que faire ? Existe-t-il des professionnels prêts à travailler gratuitement ? Je ne pense pas... Quant aux incubateurs, ils sont une très bonne idée, mais pour que cela soit enrichissant il faut déjà que j'ai créé mon site non ?
Me voici à l'activité: identifier une source d'information sur le monde des start-ups et en montrer l'intérêt.
J'ai découvert le webzine 1001 start-ups: http://1001startups.fr/
Il me semble que ce blog consacré entièrement aux start-ups dans le monde, en France et en région mérite que l'on s'y arrête.
Ce qui retient mon intérêt et mon attention c'est l'offre complète qui est mise à disposition et son découpage par région.
Nous retrouvons une rubrique news qui fait état notamment des évènements qui sont en cours ou qui vont l'être en France.
A travers une rubrique article, le webzine nous présente des start-ups particulièrement intéressantes. Nous pouvons ainsi avec précision savoir et comprendre ce qui se passe dans le monde et en France (par région).
Nous retrouvons un onglet jobs et stages ainsi qu'a agenda pour avoir un aperçu de tout ce qui se passe comme évènements autour des start-ups.
Le blog met également à disposition des ressources autour de la création de start-ups comme son livre Business Road Trip qui est téléchargeable gratuitement.
Pour couronner le tout, nous pouvons sous un format vidéo avoir accès à des interviews de startuppers qui nous explique leur réussite et par la même occasion nous délivre des conseils.
Bref, comme moi j'espère que ce site fera parti dorénavant de votre veille!
Tout à fait d'accord avec Rilmain et bassaquet. Le cour est de trés bonne qualité, bien structure.
j'ai vraiment aimé toutes les idées et les exemples j'ai tous notes. comme j'ai visité tous les sites mentionnés
Merci pour cette premier partie et j’espère que les deux prochaines parties seront rêche d'information et d'idées
C'est une application mobile, qui permets aux utilisateurs d'accomplir des missions (rémunérées entre 2 et 10€), pour des marques. Les missions sont proches de chez vous, l'application prenant en compte votre situation géographique. Il leur suffit d'aller dans la rue ou dans les magasins, de prendre une photo, de commander un produit dans un restaurant, de rechercher un endroit agréable... Il suffit ensuite d'envoyer une photo par exemple, de répondre à quelques questions, et le tour est joué ! Après vérification des réponses, le paiement est effectué.
En chiffres : Roamler est actuellement présent dans 13 pays, 100 marques ont déjà fait appel à Roamler pour améliorer leur distribution, et 15 000 Roamlers sont actifs à travers le monde.
Roamler gagne de l'argent en facturant ses services aux marques, l'application étant gratuite.
Je vais vous présenter la start-up www.voulezvousdiner.com. J'ai choisi cet start-up car j'ai eu la même idée il y a quelques mois mais en faisant mes recherches j'ai malheureusement constate que cela existait déjà. C'est un site qui permet de dîner chez un particulier. Il s'agit de la premiere plateforme mondiale de repas chez l'habitant. Le prix est fixe par l'hote, le site offre la possibilité de le contacter et de faire une reservation, le menu est présente dans l'annonce. Nous pouvons retrouve des hôtes a Paris, new York, Londres... Le site se renumere en prenant une commission de 3% a l'hote par dîner réalisé + des frais de service de 20% pour les invites. Ce site a été créé le 27 juin 2010.
Pour ma part je vais vous présenter Uuni. Je trouve que c'est un exemple intéressant dans la mesure ou c'est une entreprise qui se base sur un produit "archaïque" et est entrain de le rendre moderne, ce produit est le four a pain, ici four a pizza. Partant d'un constat simple, tout le monde n'a pas les moyens ou la place d'avoir un "vrai" four a pizza dans son jardin. En a suivit la creation d'un four a pizza au feu de bois et au format barbecue. Lancé sur Kickstarter le four en est aujourd'hui a sa deuxième itération et d'autres produits semblent être en cour de développement. L'objet en lui même n'est pas un produit de start-up classique mais le business model lui l'est. La dimension réseaux sociaux construite autour du produit et le constant feedback des utilisateur a permit la creation d'une seconde version après a peine un an d'existence. A voir ou cela mêne dans le future.
DarlingBox est une start-up lyonnaise récente, fondée en février 2013 par Maxime Trouche. Elle opère sur le marché des coffrets qui est en plein boom depuis ces dernières années et son activité principale est la livraison à domicile de coffrets pour les couples.
L’originalité du concept ? La start-up se démarque des nombreux coffrets par abonnements proposés (les plus fréquents étant les coffrets de produits cosmétiques ou encore de produits du terroir) en se lançant dans le domaine totalement différent qu’est l’érotisme. Ainsi, DarlingBox propose la livraison à domicile d’un coffret tous les deux mois, contenant des produits surprises, gourmands ou coquins et destinés à nourrir et réinventer la vie de couple.
Concernant la croissance de la start-up, celle-ci est composée de cinq salariés, recrute actuellement ses premiers CDI et réalise son expansion à l’international avec la livraison dans deux nouveaux pays en plus de la France : la Belgique et le Luxembourg.
Pour cette première activité, j'ai choisi de vous présenter Merci Handy .
Cette jeune start-up sort tout droit des cerveaux de Fernand, Paul et Tang, trois copains adeptes de streetfood. Confrontés aux principaux soucis de cette manière de s'alimenter - à savoir, l'impossibilité d'avoir accès à un point d'eau pour se laver les mains après avoir fait bombance et le fait de passer pour un hypocondriaque en sortant son flacon de gel désinfectant sentant l'alcool à brûler et laissant les mains aussi rugueuses que du papier à poncer - ils ont décidé de commercialiser des mini-flacons et des capsules dudit gel que l'on peut sortir en toute discrétion. Le plus, leurs produits se déclinent en une gamme de parfums qui donnent l'eau à la bouche ET laissent la peau douce... Mais que demande le peuple ?!?
J'ai adoré leur e-shop; site très clair, photos originales, prix démocratiques et tout est rédigé sur un ton léger et humoristique. Bref, j'ai hâte de prendre contact avec eux pour la petite interview de la semaine 2 !
Voici le service proposé "Votre restaurant visible partout sur Internet en toute simplicité grâce à la solution Wysifood. Site multi-supports, réservation & commande, réseaux sociaux, fidélisation, Wysifood vous permet de devenir un vrai Chef sur Internet."
Donc celle-ci permet aux restaurateurs d'être visible et performant sur internet & ainsi pouvoir trouver de nouveaux clients et à les fidéliser. Pour cela le site propose un outil performant pour par exemple prendre les réservations, commandes ou livraisons depuis tous les réseaux sociaux, votre site internet... en intégrant leur module.
Cette startup a été créée par Valentin Renaudeau & Guillaume Vincent.
Je trouve le concept assez bien pensé. Il permet à un restaurateur d'avoir un visuel sur les réservations, commandes... plus facilement, car le module regroupe le tout.
La startup que je vais vous présenter ne l'est plus, mais elle l'a été. Il s'agit de www.petitesannonces.ch, un site d'annonces classées sur internet.
1.Quelle est la start-up choisie ?
www.petitesannonces.ch est un site d’annonces classées sur internet. Aujourd’hui l’entreprise n’est clairement plus une startup, mais en 2001, quand elle a été fondée, elle l’était.
Rappelez vous. Au XXème siècle les annonces classées étaient publiées dans des publications en papier. Certaines étaient des suppléments de journaux traditionnels. D’autres étaient des journaux spécialisés avec des dizaines de rubriques. Soit le journal était payant et l’annonce était gratuite, soit c’était l’inverse. Dans ce cas on payait les annonces au signe («AV trs bll Renault 5 GTX 130000km rouge bn état»).
www.petitesannonces.ch, et quelques autres, sont arrivés en pleine bulle internet, pratiquement sans financement, et ont poussé hors du marché des publications qui avaient plus de 100 ans. De toutes celles qui ont démarré en 2001, il en reste deux. C’est l’une d’elles que je voudrais vous présenter.
2.Le positionnement
Son positionnement était très précis dés le début, puisqu’elle a concurrencé directement le secteur de l’annonce classée, monopolisé jusqu’à ce moment par les maisons d’édition.
Par contre, en utilisant les nouvelles technologies, elle a rempli la même fonction avec une fraction du capital de ses concurrent, et elle a pu proposer les mêmes services mais gratuits ou presque, et nettement plus performants.
Son marché cible est celui de l’échange de biens physiques entre particuliers.
3.La proposition de valeur
Le service permet de publier et de consulter des petites annonces sans entraves, classées de façon précise sur plusieurs centaines de rubriques, illimitées dans le texte et le nombre de photos.
4.Le ou les fondateurs
La start-up a été crée par une seule personne. Issu de la fin du bug de l’an 2000, et se trouvant face à la bulle internet, son fondateur à eu l’idée de se mettre à son compte avec un concept qui était technologiquement novateur à l’époque.
5.La scalabilité
Initialement le produit est infiniment scalable. Une des limitations est la lutte contre la fraude ; il faut mettre en place des mécanismes pour assurer la qualité des annonces, et ce n’est pas toujours automatisable. Une autre limitation est la langue, dans un pays où on en parle trois.
6.Le financement
L’entreprise est actuellement autofinancée.
7.Les difficultés rencontrées
Les deux principales difficultés sont la lutte contre la fraude et les gros concurrents qui sont apparus entre temps. L’étroitesse du marché suisse romand, un des facteurs limitatifs, est également celui qui le protège de l’invasion de EBay et autres géants.
La lutte contre les annonces inappropriées est un autre problème technique important. La qualité des annonces est primordiale pour maintenir sa position. Le fait que les annonces soient majoritairement gratuites attire les arnaques, les malintentionnés (vendre la maison du voisin pour pas cher) et il doit réagir très vite dans ces cas.
je vais parler de la start-up : zoomdle, qui existe depuis le mois d'avril. Cette application permet en un flash d'acheter des produits repérés dans les magasines partenaires (presse féminine) et de les recevoir directement chez soi.
Elle multiplie aujourd'hui les partenariats avec les magasines , ainsi que les marques partenaires . Au début on ne trouvait que 4/5 marques , aujourd'hui on en trouve près d'une trentaine.
Je trouve l'idée très bonne, mais je ne connais pas le degré de croissance.
Voici une petite présentation de la startup "sculpteo", qui permet à chacun de faire imprimer ses créations en 3D.
L'ascension des imprimantes 3D est encore récente. Aujourd'hui, de nombreuses entreprises s'en fournissent et cet équipement devient nécessaire. Sculpteo a été créé en 2009 juste pendant la vague de développement des imprimantes 3D.
L'agence représente aujourd'hui la première plateforme en France et elle sait s'adapter très rapidement à toutes les nouvelles technologies d'impression 3D (nouveaux matériaux, développement de matériel, etc.)
Les acheteurs sont composés principalement de designers qui proposent eux-même leurs 3D à imprimer. Cependant, dans une logique de développement de marché, les dirigeants ont dû faire en sorte de sortir de cette niche restreinte pour attirer un public plus large.
Leur site propose alors des objets déjà dessinés en 3D prêts à être imprimés (du type bijoux, objets de décoration, mais aussi coques de portable personnalisées etc.) et dessinés par des designers. Le site devient alors une plateforme de promotion de créations de designers indépendants.
Enfin, c'est également un moyen de mettre en relation des particuliers avec des designers pour qu'ils leur conçoivent la 3D de leur produit avant de l'imprimer via la plateforme Sculpteo.
Ce site web a non seulement capté la vague de cette nouvelle technologie innovante, mais a réussi à la rendre accessible à un public de plus en plus large.
Après quelques recherches, j'ai découvert la société Whoog. La société existe depuis 2010 et a créé une application capable de répondre aux urgences des entreprises. Lorsqu'une entreprise a besoin de gérer une urgence, l'application Whoog se charge de trouver les ressources (humaines) nécessaires pour répondre de manière efficace, sans perdre de temps. C'est un service nouveau créé par la société et possible grâce au numérique. Elle réduit non seulement le temps de recrutement d'une ressource, en desintermédiant le recrutement (pas de cabinet de recrutement ou d'agence d'interim)
Bien que l'application semble avoir du mal à décoller pour le moment, l'entreprise utilise un pivot, en adaptant son application au grand public en proposant d'utiliser ce service de gestion d'urgence pour les familles et particuliers.
Son potentiel de croissance est quasi "infini", mais il faudra attendre les années à venir pour voir si le service prend...
La start up que j'ai choisi est Yummypets.com. Peut-être que certains connaissent déjà ce site ?
Il s'agit d'un réseau social pour animaux, co-fondé par Matthieu Chollon et Matthieu Glayrousse en décembre 2011.
L'idée est venue du constat que certains animaux avaient leur propre page sociale (sur Facebook notamment), et il y a autant d'animaux que d'Homme en Europe et aux Etats-Unis, d'où la création d'un réseau social leur étant dédié.
Les animaux inscrits peuvent ajouter des amis, publier des statuts et commentaires, des photos et vidéos postées par leurs maîtres...
5 mois après son lancement, le réseau social compte déjà plus de 50 000 membres.
Les co-fondateurs se sont adaptés à la demande de la communautés. Partis sur le "format" d'un réseau, ils ont finalement adapté leur produit en proposant des services : petites annonces, service d'entre-aide géolocalisé pour animaux perdus, comparateur de prix pour les produits animaliers...
Fondée à Bordeaux, cette start-up connaît aujourd'hui une forte croissance, et s'est même développé à l'international, avec une version en anglais, en allemand et en portugais. Aujourd'hui, sur les 200 000 inscrits, 10 % se trouvent dans une vingtaine de pays étrangers.
Le business modèle de Yummypets repose sur un processus d'annonceur et d'affiliation. Grâce à Newfund, le réseau social a pu lever 1,5 million d'euros en juin 2012, afin de développer son site, améliorer l'expérience utilisateur et faire évoluer le business modèle, se développer à l'étranger. Une application mobile a également été développée pour Iphone et Android.
En 2014, le site devrait généré un chiffre d'affaire de 700 000 euros.
Dans un futur proche, Yummypets compte développer des colliers connectés au site, qui permettra de géolocaliser les participants.
Pour les plus intéressés, une vidéo des co-fondateurs qui parlent de leur projet : http://www.dailymotion.com/video/xyojmk_frenchweb-tour-bordeaux-mathieu-chollon-et-matthieu-glayrouse-octopepper-yummypets_tech?start=118
- Edité par AurelieMail 15 septembre 2014 à 11:32:25
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