Pour les admissions, je les ne les qualifierai pas de "difficiles" mais de "différentes" de celles qu'on peut avoir dans d'autres écoles.
En effet, étant une fille super stressée, je redoutais vraiment ce concours.
On peut dire qu'il se déroule en 3 étapes : une partie "théorique" durant laquelle on nous parle un peu du domaine et des métiers du digital etc, une partie créa/pratique par groupes (2-3) et un entretien individuel.
En ce qui me concerne, pour la partie créa/production, il s'agissait de suivre une procédure pour réaliser certains "types" de posts sur un réseau social et de faire marcher son propre réseau afin d'arriver à le faire circuler et le mettre en avant le plus possible. Pour l'entretien individuel, c'est un entretien, on présente ses motivations, on peut apporter des travaux qu'on a réalisé (mais ce n'est pas obligatoire), bref un entretient quoi
Voila voila, en espérant que ça réponde un peu à ta question
Je me suis inscrit pour le concours Digital Campus Rennes pour l'année prochaine, en Bachelor, et j'ai du mal à comprendre les avis sur ce thread. C'est du tout au tout : soit les gens adorent, soit ils détestent, mais j'ai du mal à voir des arguments dans les deux sens.
Concrètement, ceux qui n'aiment pas, pourquoi n'aimez-vous pas, et ceux qui apprécient, appréciez-vous la formation comme un tout, ou y a-t-il des zones d'ombre ?
Je viens de passer les épreuves d'admissions et je suis très déçu; Dune part il vous demande de faire un dossier de 5 à 10 pages sur vos projets personnels et lors de l'entretien on me dit que ça ne les intéresse pas et ils ne le lisent même pas et ne le prennent pas non plus. Et lors de l'entretien on vous dit que vous n'avez pas le profil si vous n'avez pas de l'expérience dans la formation que vous choisissez donc à quoi sert les entretiens si ce n'est que pour prendre les 65 euros de frais.
Solomai : Tout comme toi j'ai lu les commentaires, et les avis sont très partagés. Je pense (je suppose plus exactement) que cela dépend du Digital Campus dont on parle (je ne vois que ça pour qu'il y ait tant de différences). Personnellement, je suis au DC de Toulouse qui est le plus jeune je crois, ouvert depuis +/- 3-4 ans. Cependant, moi je suis très contente de l'école dans laquelle je suis.
Pour citer les "plus" je dirai : - c'est une école qui nous permet de découvrir et toucher un peu à tous les domaines tout en approfondissant les principaux (le web, le print,…) - toucher à tous les domaines comme ça nous permet d'être polyvalent, mais aussi de découvrir (si on ne sait pas) quel est celui qui nous accroche le plus et ainsi d'approfondir encore plus. - on est constamment en relation avec le milieu professionnel, que ce soit lors de la période de cours, lors des stages ou alternance, ce qui aide à se faire une idée du monde du travail, mais aussi à nouer des relations avec des pro et peut aussi nous donner un coup de pouce pour l'emploi Pour les "moins" : - quelques petites choses à améliorer côté administratif - étant donné que les enseignants ne sont pas profs de métier, il peuvent avoir des empêchements (rarement) et peuvent parfois ne pas être aussi pédagogues pour le voudrait.
NathF2433F : Comme je l'ai dit juste avant, ça m'a l'air très différent d'un DC à l'autre. Peut-être es-tu tombé sur un DC avec beaucoup de demande et qui devait donc être plus sélectif ? En ce qui me concerne, pour les admissions, j'ai une expérience très différente de la tienne (voir commentaire du 14 juin 2016). Je trouve dommage que ton épreuve d'admission se soit déroulée ainsi. Je n'avait pas un nombre de pages imposé pour les travaux personnels étant donné qu'ils n'étaient pas obligatoires. Lors de l'entretient, on m'a demandé si j'en avais, et si oui de leur montrer. Ils n'ont pas fait "que regarder", ils m'ont demandé pourquoi j'avais choisi de leur montrer ceux-là, qu'est-ce que j'avais voulu mettre en avant etc, ça avait l'air d'avoir son importance pour eux. Pour le profil, je suis encore une fois étonnée car quand j'ai passé les épreuves d'admission, je n'avais pas spécialement d'expérience dans la formation en question. Je me présentais en tant que Bac L général.
Je viens de m'inscrire pour le concours Digital Campus de Bordeaux. Avez vous d'autres précisions pour le concours d'entrée en passerelle ? Je suis assez inquiète n'ayant pas de projet (site web, blog...) à présenter.
Bonjour à vous,je suis moi même étudiante en première année à la Digital Campus de Toulouse.
Dans l'ensemble,je suis très satisfaite de l'école et de ses intervenants.
Actuellement en stage des 3 mois obligatoires à la fin de l'année et dans l'attente des résultats de mes derniers partiels, j'ai hâte d'y revenir l'année prochaine.
A la moindre question,vous pouvez appeller l'école ou prendre rendez-vous avec eux afin qu'ils vous éclairent sur certaines de vos questions resté sans réponse.
JE SUIS DC pro BORDEAUX , alors j'explique , je ventile : franchement pour le cout de 17 300 euros pour 6 mois, grande déception . Des conditions d'apprentissage plus que douteux , : pas d'écran pour la video projection , des chaises de cours pour des enfants de 10 ans , pas un casier pour les affaires perso ,un wifi qui marche pas, un batiment neuf de piètre qualité . entre autre à savoir que rester 6 mois dans une salle quasi borgne c.a.d juste avec UNE fenêtre !!!! 6 mois sous des néons genre poulet en batterie . pas de store sur la seule fenêtre qui d'ailleurs ne s'ouvre pas depuis 1 mois . donc problem d'odeur et d'air vicié . bon pas top tout ça , mais aussi pour le prix n'attendez pas d'avoir les logiciels pour travaillé chez vous , a vous de payer en plus pour les avoir!!!!!!!
Sinon les intervenants sont compétent et sympathique . Personnellement la pédagogie ne me convient pas , du bourrage de crane confus avec un zeste débile de compétition qui rends l'ambiance de classe éxécrable . c'est leur choix . Attention si vous etes debutant au monde numérique , ici si t'as pas compris le cours bin tant pis , ca va vite , suit le rythme ou .... rien. va voir les tutos c'est plus rapide .
Personnellement, je m'attendais à mieux de cette école beaucoup d'improvisation. Des profs pro pour certains et amateurs pour d'autres. Si vous avez des acquis en dev allez-y mais si vous n'avez pas de notions et la tête dure sauve qui peut vous allez souffrir.
- Edité par frantzmerinon 28 avril 2017 à 11:24:31
Merci pour vos retours Frantzmerinon est ce que vous pouvez préciser la ville dans laquelle vous êtes inscrit ? Ce qui ressort de ce sujet c'est (semble-t-il) des différences d'une ville à l'autre.
JE SUIS DC pro BORDEAUX , alors j'explique , je ventile : franchement pour le cout de 17 300 euros pour 6 mois, grande déception . Des conditions d'apprentissage plus que douteux , : pas d'écran pour la video projection , des chaises de cours pour des enfants de 10 ans , pas un casier pour les affaires perso ,un wifi qui marche pas, un batiment neuf de piètre qualité . entre autre à savoir que rester 6 mois dans une salle quasi borgne c.a.d juste avec UNE fenêtre !!!! 6 mois sous des néons genre poulet en batterie . pas de store sur la seule fenêtre qui d'ailleurs ne s'ouvre pas depuis 1 mois . donc problem d'odeur et d'air vicié . bon pas top tout ça , mais aussi pour le prix n'attendez pas d'avoir les logiciels pour travaillé chez vous , a vous de payer en plus pour les avoir!!!!!!!
Sinon les intervenants sont compétent et sympathique . Personnellement la pédagogie ne me convient pas , du bourrage de crane confus avec un zeste débile de compétition qui rends l'ambiance de classe éxécrable . c'est leur choix . Attention si vous etes debutant au monde numérique , ici si t'as pas compris le cours bin tant pis , ca va vite , suit le rythme ou .... rien. va voir les tutos c'est plus rapide .
Brigade anti fake news Coucou
"Pas d'écran pour la video projection" Pas compris. WTF ? "Projection" = sur un mur ou une bâche. Pas sur un écran.
"Des chaises de cours pour des enfants de 10 ans" Parlez-vous des chaises standards qu'on retrouve dans la majorité des écoles supérieurs ou du mobilier mobile utilisé pour favoriser le travail en équipe ? Je vous l'accorde ils n'ont même pas eu la gentillesse de nous mettre des canapés en cuir à places des chaises et ça c'est pas cool.
"Pas un casier pour les affaires perso" C'est assez drôle de faire suivre votre précédente remarque par celle-ci. Vous ne voulez pas être pris pour un CM2 de 10 ans mais vous indignez de ne pas avoir de casier pour vos petites affaires. Je vous l'accorde, ils n'ont même pas eu la bienveillance de nous attribuer des loges pour se recoiffer entre midi et deux. Les bougres...
"Un wifi qui marche pas" Bullshit. Chaque étudiant a un accès wifi avec un code perso. Si non, il y aussi un Wifi Invités. En cas de problème, on essuie ses larmes et va voir l'équipe Tech. En 2min c'est réglé.
"Un batiment neuf de piètre qualité" Ok Stephane Plaza. --"
"6 mois sous des néons genre poulet en batterie . pas de store sur la seule fenêtre qui d'ailleurs ne s'ouvre pas (...)" Je ne suis pas un aussi grand expert que vous en bâtiment mais j'ai compris qu'il ne servait à rien d'essayer d'ouvrir certaines fenêtres sous peine de dérégler le système de renouvellement d'air et de chauffage/climatisation. C'est ce que j'ai compris...
"N'attendez pas d'avoir les logiciels pour travaillé chez vous" Vous avez une salle avec du matériel attribué quand même... OKLM ! Mac pour tout le monde, dernières Suite Adobe etc. On a vu pire. Si nous, étudiants arrivons à nous débrouiller pour avoir les logiciels chez nous, vous devriez pouvoir faire un effort financier en temps que "PRO" ou juste réfléchir; à une alternative
J'ai du mal à comprendre la minorité de grincheux qui ne cherchent qu'à dévaloriser l'école, donc mon diplôme et ma crédibilité à ma sortie de cursus. On est là pour apprendre, savoir faire, faire et recommencer; pas pour pleurnicher sur des futilités. Alors par pitié, allez faire un tour dans les autres écoles ou donnez du feedbacks au staff pédago pour qu'il s'améliore. J'ai commencé en Bachelor 1. Aujourd'hui, je suis en Mastère 1 et croyez moi les remarques sont prises en compte.
Pour les autres : Les JPO et SPO (assurées par le staff ET LES ETUDIANTS) sont assez régulières. N'hésitez pas à venir vous faire votre propre avis quant à l'élevage "genre poulet en batterie". Pour ce qui est de l'apprentissage, je ne connaissais RIEN au web à mon entrée à Digital Campus et je suis loin d'être perdu La bise.
ParceQueCestNotreProjet : Le moins qu'on puisse dire c'est que vous faites preuve d'une grande mauvaise foi. C'est dommage parce que votre avis positif aurait pu être crédible et donner des infos que MarcSauvion n'a pas donné.
Pas compris. WTF ? "Projection" = sur un mur ou une bâche. Pas sur un écran.
C'est assez drôle de faire suivre votre précédente remarque par celle-ci. Vous ne voulez pas être pris pour un CM2 de 10 ans mais vous indignez de ne pas avoir de casier pour vos petites affaires.
Vous avez détourné l'attention sur une comparaison à l'enfant sans répondre des faits. C'est un sophisme classique (Empoisonner le puits).
1- si les chaises ne sont pas réellement adaptées, ce n'est pas "ne pas vouloir être pris pour un gamin de 10 ans" que d'en demander à sa taille, rien à voir avec l'école élémentaire
2- demander un casier ce n'est pas vouloir faire comme les élèves de l'école élémentaire beaucoup de lycées et d'écoles ont de tels dispositifs. Quand à l'entrée d'une boite de nuit y'a un casier le videur vous prend pour un gamin ?
Ok Stephane Plaza. --"
En attendant il marque un point et pas vous. Si vous n'avez rien à dire, ne dites rien. Encore une fois vous détournez l'attention pour ne pas répondre des faits. De mauvais locaux ce n'est jamais agréable pour travailler.
Je ne suis pas un aussi grand expert que vous en bâtiment mais j'ai compris qu'il ne servait à rien d'essayer d'ouvrir certaines fenêtres sous peine de dérégler le système de renouvellement d'air et de chauffage/climatisation.
Pour le coup pas besoin d'être Stéphane Plaza pour exiger d'un bâtiment de pouvoir en ouvrir les fenêtres. Vous achèteriez une maison dont les fenêtres ne s'ouvrent pas ?
ou juste réfléchir; à une alternative
L'alternative ok mais si on a payé l'école c'est un peu fort. Soit on est pro on paye les logiciels, soit on l'est pas et on fait pas payer le tarif pro.
Alors par pitié, allez faire un tour dans les autres écoles ou donnez du feedbacks au staff pédago pour qu'il s'améliore.
Il a laissé un message entier de feedback avec des remarques précises qui permettrons à l'école de s'améliorer.
Aujourd'hui, je suis en Mastère 1 et croyez moi les remarques sont prises en compte.
Je tiens à préciser à tous les futurs lecteurs de ce post qui vont arriver par Google que le mastère ne donne pas grade de master.
Les JPO et SPO (assurées par le staff ET LES ETUDIANTS) sont assez régulières
A épitech aussi, je laisse les lecteurs en tirer leurs conclusion (cf centaines de topics épitech)
Bref défendre votre école c'est une cause louable et nous sommes toujours heureux d'avoir sur ce forum des retours des étudiants, qu'ils soient positifs ou négatifs Néanmoins il faut veiller à répondre du fond et à ne pas faire de messages pouvant tromper les lecteurs : vous n'avancez en réalité rien (si ce n'est pour le wifi, je vous l'accorde) mais votre message peut tromper les lycéens.
J'avais posté il y a un peu moins de deux ans pour donner mon avis sur l'année de passerelle (année de "mise à niveau") qui commence à Bac+2 et qui permet d'enchaîner sur le master.
Aujourd'hui je suis donc en Master 2 à Toulouse, petit retour :
Les locaux et le mobilier :
L'école de Toulouse a beaucoup grandi en deux ans, trop. Cette année, il y a eu trop d'élèves pour nombre de salles / de places disponibles dans les salles. Un problème assez incroyable, je me demande comment les équipes qui font les classes n'ont pas eu, à un moment, la présence de se rendre compte qu'il n'y avait pas assez de salles pour accueillir toutes les classes, et que certaines salles étaient trop petites pour accueillir la trentaine d'élèves de la classe (contre 15 élèves dans la classe en année de passerelle). Si bien que lorsque plusieurs classes en alternance se retrouvaient le même jours à l'école, notre promo (M2) devait se rendre dans d'autres locaux, ailleurs...
Outre le problème de place, il y a également un réel problème de prises (pour avoir du courant). Quand vous êtes une classe de 30 élève, avec chacun un ordinateur portable, et qu'il y a 4 prises disponible dans la salle, il y a un problème. Problème qui a déjà été remonté l'an dernier. Obligé de brancher des multiprises en cascade et de jouer aux "prises musicales" pour espérer tenir la journée.
Problèmes de wifi également. Nous avons, généralement besoin d'être connectés en permanence, et depuis aussi longtemps que je me souvienne, il y a régulièrement des problèmes de wifi, parfois très handicapant.. J'ai l'impression que cela s'est amélioré cette année, mais ça reste assez instable.
Le mobilier n'est pas terrible (chaises en plastique ikea dont un certain nombre sont entassées dans un coin, cassées ou tordues, ainsi qu'un certain nombre de tabouret absolument inconfortables qui ont finalement été remisés dans un coin car personne ne s'en sert), mais ce n'est pas non plus l'horreur, nous avons quelques canapés et tables basses, malheureusement un peu dégueues après le déjeuner, mais j'estime que ce n'est pas du ressors de l'école d'éduquer les gens à manger proprement et nettoyer derrière eux (cela dit, ça serait peut-être plus simple si l'on avait à disposition une éponge, mais bon).
Licences :
Malgré des promesses répétées d'avoir des licences pour les logiciel que l'on utilise en cours, les seules licences que nous avons eu sont word et excel, dommage, on s'en sert peu, c'est surtout des licences comme la suite Adobe, ou Just in Mind (wireframe et animation d'interface) qui nous auraient été utiles. Les ordinateurs de l'école sont équipés d'une licence Adobe, mais dans la réalité, très peu de personnes s'en servent, nous avons nos pc portables perso, et surtout, nous n'avons pas le luxe de pouvoir être branchés sur secteur en continu, problématique lorsque les ordi mis à dispo sont des postes fixes...
Les hackathons :
Durant les deux années de master, nous avons fait trois hackathons. Pour deux d'entre eux, des expérience intéressantes et stimulantes (avec le Stade Toulousain - rugby- et le groupe La Dépêche) et une expérience plutôt nulle et sans intérêt (les 48h de l'innovation).
Disponibilités des profs et suivi :
Le but du master est de mener un projet individuel, perso, en mode "incubateur", il faut donc un suivi individuel de chaque élève / projet. Malheureusement, contrairement à la promo de M2 précédente (ils étaient une douzaine), nous sommes une trentaine. La plupart de nos profs sont compétents et investis, mais comment peuvent-ils suivre 30 projets pour notre classe de M2 et 60 projets pour les deux classe de M1 ? La réponse : ils ne peuvent pas. Comme la promo de M2 est "sortante" (on ne reviendra pas donner 7000€ pour une année de plus), la classe est largement délaissée au profit des passerelles et des M1 qui sont la promesse de nouvelles inscriptions pour les années à venir.
Les profs :
Dans l'ensemble, je trouve que les profs sont bons. Tous les semestres, un questionnaire est envoyé aux élèves pour donner leurs appréciations (justifiées) sur les différents profs qui nous ont encadrés au cours du semestre, et les réponses et demandes sont assez bien prises en compte. Certains profs restent, d'autres non. C'est ma troisième année à Digital Campus Toulouse, et je trouve que la qualité de l'enseignement, déjà pas mauvaise, va en s'améliorant. Il y a un effort de la part de la plupart nos profs d'écouter les demandes des élèves (en tout cas dans ma classes de M2), d'essayer de se coordonner entre eux pour ne pas faire trop de redites, pour apporter un complément d'un cours précédent, pour adapter le cours prévu au besoin de la classe.
Le briefing des profs et le planning de cours :
En revanche, si la qualité de l'enseignement est bonne, l'organisation de celui-ci ne l'est pas.
Je pense que les profs lorsqu'ils arrivent, sont très peu briefés sur notre master, sur le but de notre année, et sur nos besoins. La pédagogie leur dit "donnez leur des cours sur -insérer domaine assez vague, complexe, et/ou vaste- (ux design par exemple) faites leur faire un ou deux projets pour la note de contrôle continu". Les nouveaux profs qui arrivent en face de nous ne savent pas ce qu'on fait, ne connaissent pas notre niveau, ne savent pas ce qu'on a fait avant, ne connaissent pas les rendus importants que l'on doit faire tout au long de l'année, ne sont pas au courant du déroulement de nos cours ni des modalités de notre évaluation et de la validation finale du titre.
Deux conséquences, la première est l'organisation du planning des cours :
Trop souvent, nous avons des cours qui arrivent "trop tard", c'est à dire, par exemple, qu'on nous demande de rendre un dossier expliquant précisément le fonctionnement de notre solution (applications, logiciel, e-commerce...) et ses avantages, et on nous apprend ensuite des méthodos d'ux design pour savoir quelles solutions sont les plus adaptées à notre cible, quels ateliers on peut mener avec nos utilisateurs pour cerner au mieux le besoin et les écueils à éviter. Seulement on nous donne tout ces outils trop tard, on ne peut pas, à deux mois du rendu, commencer à organiser des ateliers ux, les analyser et revoir tout le fonctionnement de notre solution.
Autre exemple, à deux semaines du rendu du dossier complet, un prof expert en mise en page, édition, print intervient pour vérifier que nos dossiers sont lisibles, agréables, respectent les règles de mise-en-page ect. Catastrophe, certains élèves parmi nous n'ont jamais ouvert InDesign et ont fait une mise en page horrible sur Power Point ou Word... Les trois quart des élèves ont zappé des petits trucs importants qu'on oublie vite quand on fait que du screen, comme laisser une marge plus importante pour le petit fond... Si on avait eu ce cours un ou deux mois plus tôt, chacun aurait fait une mise en page correct du premier coup, là, toute la classe doit refaire la mise en page du début, et certains sont en stress complet car ils ne maîtrisent pas du tout InDesign et qu'un cours n'est pas suffisant pour le maîtriser.
Deuxième conséquence, des cours souvent inadaptés. Parfois, un prof nous fait un cours qu'on a déjà eu avec un autre prof. Ou alors nous présente de choses qui auraient été intéressantes et qui nous auraient servi il y a 6 mois, mais qui arrivent beaucoup trop tard pour nous aujourd'hui. Heureusement, comme je le disais, nos profs sont assez réactifs et accommodants, et bien souvent, ils chamboulent complètement ce qu'ils avaient prévu pour essayer de répondre au mieux à nos besoins du moment en fonction de l'avancée de nos dossiers et de nos points de blocage.
Pour conclure :
Tout d'abord, tout cela n'est que mon avis et n'engage que moi.
L'organisation de l'école est, de mon point de vue, déplorable. Tout est fait pour l'image et la visibilité : des moyens énormes dépensés sur les salons, des campagnes d'affichages publics, plein de JPO, d'événnement ect. Mais pas grand chose pour les élèves et le confort de cours : leur stratégie est de vendre du rêve en salon, en jpo, en entretient, en événement. Mais derrière, ça ne suit pas.
Je continue de me demander comment il est possible pour une école privée (entre 6000 et 7000€ l'année) de ne pas être capable à un moment de compter ses classes, ses salles dispo, et ses élèves, et de se rendre compte que tout ce petite monde ne rentre pas dans les locaux disponibles. Etaient-ils vraiment obligés de tripler leur effectifs pour tenir ? Ne pouvaient-ils pas fermer les inscriptions lorsque les classes étaient pleines ?
Les profs ne sont pas briefés sur nos cursus, sur notre avancée, sur nos besoins, et doivent s'adapter au jour le jour en fonction de ce que nous leur rapportons sur le moment.
J'ai été très déçue de l'accompagnement de l'équipe pédagogique lorsque j'ai eu besoin d'un accompagnement pour un soucis qui impactait l'école et le boulot. Après que l'école ait raconté n'importe quoi à mon entreprise, j'ai vite abandonné l'idée d'essayer d'avoir des informations de leur part. En revanche ils sont là pour nous accompagner sur les hackathons et livetweeter l'événement, serrer des mains et se faire mousser devant les grands noms de la Dépêche et du stade Toulousain.
Je trouve que l'enseignement en lui-même est plutôt bon. Le format en alternance est très bien pour entrer dans le monde professionnel et commencer à se faire un réseau pro. J'ai énormément progressé et appris depuis que je suis arrivée il y a trois ans (surtout via l'entreprise, mais aussi via les cours). L'année de passerelle m'a appris beaucoup et ouvert un large éventail de ce que je pouvais faire, j'ai "choisi ma vocation") (design d'interface et intégration web, pour me diriger vers le développement front-end), je me suis énormément améliorée durant mes deux années d'entreprise, et aujourd'hui, je n'appréhende pas de trouver du travail, ni de continuer à apprendre dans les domaines qui m'intéressent.
Le cours ont été intéressants, et je me dit qu'un jour peut-être, j'essaierai l'entrepreunariat ou la start-up.
Bref, je ne regrette pas d'avoir fait ces 3 années à Digital Campus, et je trouve que la formation est, finalement, de qualité, mais cela aurait pu être beaucoup plus agréable, avec moins de stress, plus de confort et la sensation d'être réellement accompagnés, si l'école faisait autant d'effort pour gérer ses élèves, ses profs, et ses locaux, que pour se faire une visibilité.
Voilà, c'est un peu long, mais plutôt sincère et honnête.
Pour rappel, ce n'est que mon avis, et ça ne concerne que DC Toulouse, je ne connais pas les autres écoles.
Je me permets d'intervenir et de répondre directement au nom de l'école DIGITAL CAMPUS. Je suis la personne en charge de la formation continue et suis très étonnée des commentaires que j'ai pu lire. Effectivement, nous sommes dans des locaux neufs qui engendrent quelques problématiques de confort dans certaines salles, comme dans tout bâtiment neuf. Le constructeur du bâtiment est averti des problématiques au fur et à mesure où elles se présentent. Nous faisons le maximum pour trouver des solutions dans des délais raisonnables. De plus, toute l'équipe reste à l'écoute de chaque apprenant. En tous les cas, c'est ce que me témoignent chaque jour ou presque des apprenants de notre école. Je reste moi-même disponible pour un échange sur tous ces sujets.
En tous les cas, c'est ce que me témoignent chaque jour ou presque des apprenants de notre école.
Ils viennent se plaindre tous les jours ? Fichu métier :-)
Attention @Garfi, quand tu dis "je suis en master2", il y a confusion entre mastère et master. Le master, c'est un diplome officiel délivré par une université ou une grande école. Un mastère, c'est un diplome d'école, qui n'est pas reconnu et ne donne évidemment droit à aucune équivalence.
C'est pas du tout la même chose, la confusion est entretenue par ceux qui y ont intérêt et/ou ceux qui n'ont pas compris la différence.
Alors, je reviens ici pour vous partager mon expérience de ma scolarité à Digital Campus. Je sais pertinemment que mon pseudo et mon histoire permettent de remonter à moi en deux clics, je vais donc essayer d'être le plus objectif possible dans mes mots.
Il est important de noter que cet avis concerne exclusivement Digital Campus Bordeaux et le cursus bachelor Chef de Projet Web.
Je parle d'expérience en tant que personne appréciant par-dessus tout, dans le web, le côté créatif (graphisme, photo, vidéo, rédaction, etc), et suis entré dans cette école, conscient du fait que si savoir créer des choses engageantes est une bonne chose, savoir comment les vendre et en parler permet d'aller beaucoup plus loin.
L'affiche et les débouchés possibles a de quoi faire rêver : un lieu où les développeurs, les créatifs, les communicants et les marketeux peuvent se retrouver ensemble et faire évoluer leurs capacités respectives ensemble, main dans la main. Quelle idylle pour quelqu'un qui connaît le milieu sans vraiment le comprendre !
La première année, qui s'est déroulée pour moi sur le campus de Rennes, était particulièrement intéressante et bien ficelée. Certes, l'école avait ses couacs administratifs et logistiques, mais les cours étaient complets et relativement intéressants, même si on voyait déjà apparaître une certaine redondance.
Pour des raisons personnelles, j'ai choisi de descendre sur Bordeaux pour finir ma scolarité. Je me suis mangé un mur.
Premièrement, la gestion des salles. Il existe des salles remplies de Mac sur le campus, mais elles sont pour d'autres écoles, parce que, et je cite "vous êtes dans une école de web, vous devez avoir un ordinateur personnel". Dans mon cas, ça a failli me faire manquer un partiel. Mon ordinateur personnel est mon ordinateur de bureau. J'ai dû investir dans un PC portable avec de bonnes capacités juste pour pouvoir suivre les cours, un investissement que je ne comptais faire que deux ans plus tard. Pareil pour le matériel audiovisuel, où vous devrez dans tous les cas investir dans le vôtre pour les productions demandées par l'école.
Ajoutez à ça le nombre limité de prises électriques dans les salles, l'inconstance effrayante du réseau Wi-Fi, l'inconfort du mobilier mobile, dont il est question plus haut, pour les personnes de grande taille et la taille générale des salles, et vous avez les conditions de travail de l'endroit.
Ensuite, vient la gestion des cours. Je vais rapidement passer sur la problématique des intervenants qui parfois ne savent pas vraiment quel cours ils doivent faire ou même où en sont les étudiants dans le cours, parce que ce n'est pas leur faute en premier lieu, mais celle de l'administration.
On en arrive trop souvent à des cours redondants où on ne fait que revoir le même concept en boucle, celui qu'on avait appris en première année; ou bien que des cours portent un nom qui n'aura rien à voir avec leur contenu (nos cours de vidéo, en troisième année, n'ont il me semble pas été une seule fois justes dans leur dénomination).
Parfois même, des cours qui n'ont rien à voir avec nos projets ou qui nous inoculent un sombre concept startupisé viennent ponctuer notre quotidien. Une sorte de cours éphémère, à l'utilité trop souvent discutable, si ce n'est cacher quelques heures de permanence obligatoire, sobrement nommée DC Prod.
Quid du contenu même des cours ? En temps qu'étudiant venu principalement pour implémenter vidéo, graphisme et rédaction dans une optique du web : particulièrement décevant. A tel point que je puisse compter les cours traitant de ces sujets sur les doigts de mes mains, et ce sur les deux dernières années. Pour le reste, les cours de code sont indigestes au possible même si les intervenants sont très capables, faute au nombre d'élèves dans la salle et à leurs différences de niveau en général.
Les cours de marketing et de communication sont globalement intéressants, mais on s'aperçoit rapidement du vide derrière tous ces mots. Une fois que l'idée générale est comprise, on se trouve face à une réitération constante des mêmes concepts avec des mots différents.
Il faut remettre cette école dans son contexte global, et comprendre que son offre est trop vaste pour être effective. Digital Campus est avant tout une école de communication Web. Vous êtes formés pour devenir Chef de Projet Web. Rien d'autre. Les autres capacités viendront de votre travail et de vos recherches personnelles, en dehors de l'école et des projets à tout va tout au long de l'année, qui d'ailleurs au fur et à mesure du temps prendront entièrement le pas sur les cours. Vous n'aurez plus de cours, mais uniquement du temps pour plancher sur une problématique.
Ces projets sont, en somme, une façon de mettre en valeur nos capacités à travailler en équipe sur des problématiques différentes et pouvoir ainsi répondre à des demandes de clients une fois dans le "vrai monde". Serait-ce, quelque part, l'idylle dont je m'émerveillais au début de ce texte ?
Non, clairement pas. Outre le fait que certains intervenants assument sans vergogne le fait que "vous travaillez pour des clients réels de mon agence, si vous faites du bon travail vous pourrez voir votre projet en vrai !", ces pseudo-projets qui viennent ponctuer notre année sont d'une fadeur sans nom. A cette phrase viendra s'apposer l'argument que "vous ne ferez pas uniquement des trucs qui vous plaisent une fois en agence". Et mon esprit rétorque trop souvent "Comment je suis censé trouver un job dans une agence en sortant d'ici si je n'ai que des projets fades à mettre en avant ?". Une ribambelle de professionnels, parfois connaisseurs du numérique, parfois pas, mais bien souvent de bons amis des intervenants, viennent nous faire travailler gratuitement, sans autre gratification qu'une note sur un bulletin, et encore.
Restent les Grands Projets, figures de proue du fier navire DC. Des projets vastes pour des grandes entreprises, de grands noms, sur lesquels nous suons d'octobre à avril. Un stress énorme sur des apprentis chefs de projets qui se finissent en grandes pompes lors d'une présentation, rediffusée en live, dans un lieu prestigieux de la Belle Endormie. Une mise en scène à la Steve Jobs pour des projets qui, eux aussi, n'apporteront souvent qu'une note et un certain prestige aux étudiants, et seront pourtant la force motrice de la communication de DC, qui fonctionne aussi bien vers l'extérieur qu'elle semble enrayée de l'intérieur.
L'exemple qui illustre le mieux ce problème de communication interne a eu lieu au début de l'année. Sur nos formulaires de réinscription et lors de quelques réunions l'année précédente, on nous avait fait miroiter une 3ème année parallèle au bachelor, intitulée "année vidéo". Étant donné le peu de cours créatifs de la seconde année, beaucoup d'entre nous étions particulièrement enthousiasmés à l'idée d'une année entière dédiée à ce support. Sauf que le jour de la rentrée, nous avons été informés que l'année vidéo ne pouvait pas avoir lieu, et serait remplacée par une triple (!) option, en vidéo, UX et webdesign, dont nous n'avons pas encore vu un seul cours concret au moment où j'écris ces lignes. Trop tard pour faire demi-tour.
Le second exemple serait sans doute les bonnes notes attribuées à l'école par des membres de l'administration sur des sites comme l'Étudiant, accompagnés parfois même de commentaires condescendants envers les élèves qui ont préféré quitter l'école plutôt que passer leur diplôme pour les raisons que j'ai citées, ou d'autres.
Si je devais (tout de même) donner quelques qualités à cette école, ce serait d'abord une partie des intervenants qui prennent le temps de nous aider sur des problématiques personnelles en dehors des cours et l'accompagnement de recherche de stage qui, même si très limité dès que la demande dépasse la communication ou les réseaux sociaux, s'avère plus humain qu'une grande partie de qui se passe dans l'école.
Je pense qu'en somme, la problématique se résume à l'intitulé même du diplôme, bien trop souvent passé sous silence à l'inscription et pendant la première année. Digital Campus vous offre l'opportunité de devenir décent sur un grand nombre de sujets. Vous apprenez à tout comprendre pour pouvoir diriger. Si vous avez l'ambition de mener des équipes et de prendre les commandes de projets, ou si la communication est votre domaine de prédilection, alors vous vous plairez dans cette école, je le garantis. Si, au contraire, vous êtes, comme moi, plutôt du côté exécutif des choses et que votre but est de monter en compétence dans un domaine particulier, alors suivez une formation qui vous apprendra ce que vous souhaitez apprendre et apprenez la communication et le marketing à côté, en suivant une formation rapide ou par vos propres moyens. Vous économiserez du temps et de l'argent.
Je reste disponible pour répondre à toutes vos questions et/ou remarques à propos de mon texte ou de mon expérience à DC Bordeaux.
J'ai suivi il y a quelques années les 3 années Passerelle / Master 1 / Master 2 à Toulouse, et je rejoins le commentaire de Solomai juste au-dessus.
Note importante : Cela fait maintenant 2 ans que j'ai fini mes études là-bas, je ne sais pas ce qu'il en est aujourd'hui.
Mêmes problème d'infrastrusture à Toulouse :
Salles trop petites, pas d'ordinateur pour tout le monde, environ 4 prises murales par salle quand on est 30 élèves avec chacun son PC portable.
Lorsque plusieurs promo en alternance se retrouvaient à être en période de cours en même temps, pas assez de salle pour caser tout le monde, on était obligé d'aller dans une autre école à 500m encore moins bien équipée.
Wifi KO trop régulièrement...
Concernant le programme et les cours, je rejoins également l'avis de mon collègue, pas grand chose à rajouter de plus.
Côté projet, il y avait des hauts et des bas, certains étaient plus ou moins intéressants, en général lorsque les clients étaient réellement investis et respectueux du travail des élèves.
A l'inverse on a eu un cas qui m'a légèrement révoltée :
Toute la classe avait bossé par groupe pour fourni un webdesign complet d'un site (environ 3 pages) + l'intégration html css de ce webdesign. Les groupes avaient présenté leur travail au client, nos référents pédagogie ont communiqué nos travaux à l'entreprise et on en a plus jamais entendu parler. L'année suivante, par curiosité je tape le nom de l'entreprise dans Google et je trouve son site...Et oh surprise, je vois le header que j'avais fait, ainsi que quelques éléments qui venaient d'un autre groupe de la classe. En inspectant le code dans mon navigateur, je retrouve même quelques uns de mes commentaires dans le code. Le tout signé par une obscure agence de com de Toulouse...
Je ne suis pas allée au bout de ma deuxième année de master et je n'ai pas eu le diplôme. Comme j'étais en alternance, j'ai eu la chance de faire 2 années en entreprise, c'est là que j'ai vraiment appris ce qui m'intéressait : l'intégration front html/css, puis le Sass et le Less, puis un peu de JS. Mon entreprise m'a proposé une embauche à la fin du cursus malgré l'absence du diplôme prévu, et aujourd'hui je me spécialise en dev front en apprenant Angular et React.
Ces trois années n'ont cependant pas été inutiles et je ne regrette pas :
J'ai testé la startup en stage et l'ESN en alternance
J'ai eu 2ans d'alternance pendant lesquels j'ai énormément appris (par moi-même, avec mes collègues, sur des vrais (vrais de vrais) projets...
J'ai compris que j'étais débrouillarde et que j'avais des compétences, que je pouvais être bonne si je m'en donnais les moyens
J'ai appris à parler/présenter en public (à l'école et en entreprise)
J'ai beaucoup amélioré mon anglais (en entreprise)
Dur de dire si Digital vaut le coup, ou non. Je pense que ça dépend de ce qu'on veut faire, de comment on veut le faire. Ce qui est sûr, et je rejoins de nouveau Solomai, c'est qu'il y a un rude décalage entre la com externe qui est faite autour de l'école qui la présente comme une école "au top", supère moderne, vraiment trop cool, avec des projets super ect, et la réalité.
Un conseil, ne vous inscrivez pas juste parce que leur affiches dans le métro sont cool, renseignez-vous vraiment.
Bonjour ! Une école digitale que ma cousine m’a conseillée il y a quelques années pourrait intéresser ceux qui recherchent une école web. Je suis maintenant en Master. En tout cas, j’en suis satisfaite.
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