dyfexa a écrit:

L'interêt d'un doctorat n'est pas douteux si vous souhaitez continuer dans la recherche et que vous trouvez un sujet qui vous intéresse.

Attention, seuls 10% des docteurs trouvent un poste en recherche académique (voir les chiffres : http://blog.educpros.fr/guillaume-miquelard-et-paul-francois/2016/03/04/chiffres-sur-le-doctorat-une-breve-analyse-personnelle/)

Dans beaucoup de cas, le doctorat me semble une idée discutable : 3 années (voire plus), trop souvent mal vécues par les doctorants. La phase de la rédaction peut être particulièrement pénible. On hésitera à abandonner une thèse qui se passe mal, alors qu'on ne serait pas resté si longtemps dans dans un job peu gratifiant.

En France on a la chance de pouvoir accéder à de très bons postes avec un bac+5 (ce n'est pas le cas dans pas mal de pays), il faut en profiter.

Après il y a des étudiants qui sont absolument sûrs d'être passionnés par la recherche et prêts à des sacrifices.

Givrali a écrit:

dyfexa a écrit:

L'interêt d'un doctorat n'est pas douteux si vous souhaitez continuer dans la recherche et que vous trouvez un sujet qui vous intéresse.

Attention, seuls 10% des docteurs trouvent un poste en recherche académique (voir les chiffres : http://blog.educpros.fr/guillaume-miquelard-et-paul-francois/2016/03/04/chiffres-sur-le-doctorat-une-breve-analyse-personnelle/)

Dans beaucoup de cas, le doctorat me semble une idée discutable : 3 années (voire plus), trop souvent mal vécues par les doctorants. La phase de la rédaction peut être particulièrement pénible. On hésitera à abandonner une thèse qui se passe mal, alors qu'on ne serait pas resté si longtemps dans dans un job peu gratifiant.

En France on a la chance de pouvoir accéder à de très bons postes avec un bac+5 (ce n'est pas le cas dans pas mal de pays), il faut en profiter.

Après il y a des étudiants qui sont absolument sûrs d'être passionnés par la recherche et prêts à des sacrifices.

  
Je ne peux qu'approuver. La seule chose à retenir : faire un doctorat doit être une décision mûrement réfléchie. Ce n'est pas le diplome qui est important, c'est que vous produirez durant ces trois années. Un long stage en laboratoire vous fixera.

That's cool !.....merci de votre question, je suis interessé de tous les reponses, une fois tu as abonné au l'un des filiére d'ingénieur, tu as beaucoup des travaux Pratiques dans l'ecole aussi dans un entreprise.

le master specialisé est aussi une formation a une direction simuler à la direction "engineering training".

danc, je suis d'accord que la formation Master Specialisé et la formation Ingénrie sont égaux.

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Edité par AhmedouOumad 11 décembre 2017 à 15:46:37

bonjour,

je suis ingénieur diplômée de la Tunisie et d'une université privée, et j'aimerais poursuivre mes études en France. Seulement je ne sais pas si je devrais intégrer une formation initiale (M1 ou M2) ou une formation continue.

pouvez-vous m'orienter svp ?

JiGh a écrit:

bonjour,

je suis ingénieur diplômée de la Tunisie et d'une université privée, et j'aimerais poursuivre mes études en France. Seulement je ne sais pas si je devrais intégrer une formation initiale (M1 ou M2) ou une formation continue.

pouvez-vous m'orienter svp ?

La formation continue c'est pour quelqu'un qui travaille et qui veut suivre une formation en même temps donc si vous êtes en Tunisie cela ne vous concerne pas.

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Edité par Anonyme 9 janvier 2018 à 9:09:55

merci pour votre réponse.

mis à part la France, il existe ce qu’on appelle un master de spécialisation en Belgique, c’est une formation continue et apparemment c’est accessible à tout le monde. Avez-vous une idée sur ce master ?

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Edité par JiGh 11 janvier 2018 à 19:12:48

Sincèrement non mais je suppose que formation continue a la même signification en Belgique. C'est peut-être ouvert à tout le monde mais il faut au préalable être embauché par une entreprise non ?

Apparemment ce n'est pas le cas, j'ai contacté l'université et ils m'ont dit que je pouvais m'inscrire normalement et que ça ne nécessite pas d'expériences pro ni d'embauche. Peut-être que ça diffère la notion de formation continue en France et en Belgique.

Bonsoir 

Je suis étudiant en Licence 1 Informatique Électronique à l'université de Bourgogne. Après la licence 2, je voudrais postuler pour une école d'ingénieur. Maintenant je voudrais savoir si c'est possible de continuer directement en 3ème année ou si je devrais reprendre la 2ème année? 

Merci d'avance pour vos réponses. 

Cordialement !

Bonjour

ElhadjAmadouBarry a écrit:

je voudrais savoir si c'est possible de continuer directement en 3ème année ou si je devrais reprendre la 2ème année? 

De nombreuses écoles d'ingénieur acceptent des L2 en 3e année (1re année du cycle ingénieur), par exemple les Polytech.

Vous pouvez utiliser la liste de l’Étudiant https://www.letudiant.fr/palmares/liste-profils/palmares-des-ecoles-d-ingenieurs/palmares-general-des-ecoles-d-ingenieurs/home.html#indicateurs=900635,900636,900637,900644&criterias  pour faire un premier tri et sélectionner des écoles susceptibles de vous intéresser. Regardez ensuite le détail des critères d'admission sur les sites des écoles. Regardez bien les spécialités proposées et le détail des enseignements pour être sûr que cela correspond à vos intérêts et votre projet pro.

Il faut candidater au moins dans 5-6 écoles pour assurer vos chances. Vous devez être mobile géographiquement.

En plan B vous pouvez poursuivre en L3 dans votre université.

Merci beaucoup !

je pourrai postuler pour plusieurs écoles du groupe INSA ? Exemple INSA Lyon et INSA Toulouse en même temps

ElhadjAmadouBarry a écrit:

Merci beaucoup !

je pourrai postuler pour plusieurs écoles du groupe INSA ? Exemple INSA Lyon et INSA Toulouse en même temps

Oui, vous pouvez formuler jusqu'à 5 voeux (voir les détails sur http://admission.groupe-insa.fr/3eme-annee#tab2 ).

Attention, les spécialités accessibles dépendent de votre intitulé de L2 (tout est détaillé sur le site).

Les INSA sont des écoles sélectives et demandent un très bon dossier.

D'accord merci beaucoup

Bonjour, 

Plus trad j'aimerai travailler dans l'écologie, la lutte contre le dérèglement climatique, transition énergétique...

Je suis actuellement en licence géosciences chimie à la Sorbonne mais je n'arrive pas à savoir si celà pourra me mener dans le secteur qui m'interresse. 

J'ai l'impression que les écoles d'ingénieur permettent de rester plus "ouvertes" , avec plus de débouchés. 

J'hésite donc à recommencer en école d'ingénieur l'année prochaine mais je ne sais pas si ça en vaut le coup.

Sinon j'ai aussi repéré la licence "science pour un monde durable" à PSL mais pareil je ne sais pas si les débouchés sont bons.

Qu'en pensez vous ? 

Merci d'avance 

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Edité par Zr11 18 janvier 2023 à 12:36:07

Bonjour

Zr11 a écrit:

Plus trad j'aimerai travailler dans l'écologie, la lutte contre le dérèglement climatique, transition énergétique...

D'une part ce sont des domaines, et pas des métiers. Vous pouvez faire de la comm', de la comptabilité, de la logistique, de l'info... sur ces thématiques.

Mais même comme domaine c'est beaucoup trop vague, cela pourrait aller de l'agriculture à l'énergie nucléaire.

Je suis actuellement en licence géosciences chimie à la Sorbonne mais je n'arrive pas à savoir si celà pourra me mener dans le secteur qui m'interresse. 

Géosciences-chimie ça m'évoque le stockage des déchets radioactifs. Je ne pense pas que ça vous inspire (malheureusement...) ?

J'ai l'impression que les écoles d'ingénieur permettent de rester plus "ouvertes" , avec plus de débouchés. 

Oui, mais avec ce type de licence la passerelle va être compliquée.

J'hésite donc à recommencer en école d'ingénieur l'année prochaine mais je ne sais pas si ça en vaut le coup.

Vous êtes en quelle année ? Quel est votre parcours (série de bac, spécialités, résultats dans les matières principales) ?

Qu'est ce qui vous intéresse comme matière ?

Sinon j'ai aussi repéré la licence "science pour un monde durable" à PSL mais pareil je ne sais pas si les débouchés sont bons.

Je trouve que c'est un contenu très fourre-tout qui n'amène pas à être compétent sur un sujet.

Avant de vous réorienter il faut vraiment préciser votre projet pro.

Est-ce que vous voulez travailler dehors ? Devant un ordinateur ? En contact avec du public ?

Quelles sont les matières que vous appréciez particulièrement et où vous obtenez de bons résultats ?

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Edité par Givrali 18 janvier 2023 à 13:00:02

Bonjour 

je suis en Terminale et je voudrai savoir si le taux d'embauchement était le même entre un master, CMI et diplôme d'ingénieur. Merci d'avance.

RaphaelTurc a écrit:

je suis en Terminale et je voudrai savoir si le taux d'embauchement était le même entre un master, CMI et diplôme d'ingénieur. Merci d'avance.

Le diplôme d'ingénieur donne un petit avantage.

On peut se demander si le CMI est bien identifié par les entreprises, donc probablement pas de différences avec un master - mais ce n'est qu'une hypothèse.

Mais si le master spécialise plus qu'un ingénieur, pourquoi ne serait-il pas plus valorisant qu'un diplôme d'ingénieur?

Les écoles bénéficient d'une identité bien reconnue (les masters changent sans arrêt d'intitulé, apparaissent et disparaissent), leur niveau de sélectivité peut s'évaluer (moyenne au bac des intégrés, rang des admis aux concours.), elles bénéficient d'un réseau d'anciens élèves (ce qui est précieux par exemple pour trouver un stage).

Le contenu des études en école est plus professionnalisant (cours sur le fonctionnement de l'entreprise, stages, interventions de pros en activité)

Être ultra spécialisé n'est pas toujours un avantage en entreprise. Certains masters sont très orientés recherche et visent surtout à alimenter en étudiants les labos du coin.

Je suis en réflexion concernant mes voeux Parcoursup et je me demandais est-ce qu'il vaut mieux faire une double licence puis un master informatique à Paris Saclay, sachant que c'est une très bonne université. Ou bien faire un diplôme d'ingénieur à l'UTT?

JeremyRakotonirina a écrit:

 est-ce qu'il vaut mieux faire une double licence puis un master informatique à Paris Saclay, sachant que c'est une très bonne université. Ou bien faire un diplôme d'ingénieur à l'UTT?

Je suppose qu'il s'agit d'une licence maths/info ?

Tout dépend de votre profil (quelles spés en 1re/Tle avec quels résultats ?), de votre capacité de travail, de ce que vous avez envie d'étudier, d'un éventuel projet pro, etc.

Des questions logistiques peuvent aussi entrer en ligne de compte, si toute votre famille, amis et connaissances sont à Troyes et que vous ne pouvez guère envisager de financer un logement en région parisienne.

Vous n'avez que ces deux vœux ?

La plupart des étudiants des double licences de Paris Saclay continuent ensuite en école d'ingénieur (concours GEI UNIV, concours universitaire des écoles centrale, écoles avec admissions sur dossier...)

Oui, c'est bien une licence maths/info.

J'avais Maths, NSI en terminale (avec de bons résultats) et SES en première. Je suis un peu restreint du coup sur les formations avec beaucoup de Physique et c'est surtout l'informatique qui m'intéresse.

J'ai aussi la prépa des INP, des CMI Informatique, des BUT, des CUPGE, une autre double licence à Paul Sabatier et le réseau Polytech.

Mon but est d'intégrer une école d'ingénieurs et c'est pour cela que j'ai mis les UT: j'ai vu qu'il y a certes de la Physique mais moins que dans les écoles d'ingé classiques vu qu'on peut choisir nos modules. Après si je suis pas accepté, je pense essayer les admissions parallèles après un CMI ou une double licence mais je me demande s'il y a de bonnes écoles d'ingénieurs informatiques qui recrutent à travers les admissions parallèles. Si ce n'est pas le cas, j'irais à la prépa des INP. Je me suis renseigné auprès d'actuels étudiants qui font cette prépa sans avoir suivi la spé Physique et ils m'ont dit que c'était faisable mais qu'il fallait beaucoup travailler.

JeremyRakotonirina a écrit:

J'avais Maths, NSI en terminale (avec de bons résultats) et SES en première. Je suis un peu restreint du coup sur les formations avec beaucoup de Physique et c'est surtout l'informatique qui m'intéresse.

Dans ce cas il faut vraiment privilégier la licence.

Les BUT sont très limitants pour la poursuite d'études depuis la réforme. A éviter.

 je pense essayer les admissions parallèles après un CMI ou une double licence

Les CMI ont l'air de trucs mis en place par des universités peu attractives pour essayer de retenir les étudiants...

 je me demande s'il y a de bonnes écoles d'ingénieurs informatiques qui recrutent à travers les admissions parallèles.

Oui, quasiment toutes les écoles ont des places en admissions parallèles, plus le concours GEI-univ, voire le concours des écoles centrales si ça vous intéresse.

La double licence est vraiment la bonne option pour vous, vos résultats ne seront pas affaiblis par de mauvaises notes en physique et vous tirerez pleinement parti de vos acquis en info.

Si ce n'est pas le cas, j'irais à la prépa des INP. Je me suis renseigné auprès d'actuels étudiants qui font cette prépa sans avoir suivi la spé Physique et ils m'ont dit que c'était faisable mais qu'il fallait beaucoup travailler.

Il faut pas seulement que ça soit "faisable", il vous faut un classement suffisant pour obtenir une école d'info. Les écoles d'info peuvent être très demandées (ça semble par exemple être un problème à l'INSA de Lyon  pour être admis en branche info).

Pourtant quand je lis le programme des CMI je trouve que c'est ce qui se rapproche le plus d'une d'école d'ingénieur sauf que c'est à l'université. Il y a beaucoup de projets, de stages...

Concernant les admissions parallèles, est-ce qu'il y a souvent des épreuves écrites ou c'est généralement uniquement sur dossier ? S'il y a des épreuves écrites, notamment en Mathématiques, et que je suis inscrit en CMI je ne suis pas sûr d'avoir le niveau nécessaire pour réussir. En revanche, si je suis en double licence Maths-Info, je ne suis pas non plus certain d'avoir un excellent dossier par exemple à Paris Saclay où d'après ce que j'ai compris le niveau est très haut en Maths.

L'avantage du CMI pour moi c'est qu'on fait principalement de l'informatique et je pense donc avoir un meilleur dossier que si je vais en double licence. Mais le problème reste les éventuelles épreuves écrites de Maths pour les admissions parallèles. 

JeremyRakotonirina a écrit:

Pourtant quand je lis le programme des CMI je trouve que c'est ce qui se rapproche le plus d'une d'école d'ingénieur sauf que c'est à l'université. Il y a beaucoup de projets, de stages...

Le problème est que le niveau académique risque de ne pas être très élevé si ce sont des universités peu attractives.

Les écoles qui réalisent des admissions parallèles ne cherchent pas des étudiants qui auront fait des projets et des stages, il y a les années d'école pour cela, elles cherchent des gens qui ont un bon niveau en maths/(physique)/info (dans votre cas).

Et c'est bien beau d'indiquer des stages dans un programme mais ensuite il faut que les étudiants en trouvent; les écoles ont un réseau d'anciens, mais les étudiants d’université galèrent pour trouver des stages avant le M2 - ça se termine souvent dans un des labos des enseignants à l'université -

Concernant les admissions parallèles, est-ce qu'il y a souvent des épreuves écrites ou c'est généralement uniquement sur dossier ?

Il y a les deux : le concours gei-univ propose des épreuves écrites, pour la majorité des écoles c'est sur dossier, par exemple :

https://ensimag.grenoble-inp.fr/fr/formation/admissions

https://enseirb-matmeca.bordeaux-inp.fr/fr/informatique#group-formation-node-formation-full3

https://www.telecom-sudparis.eu/admission/admission-en-cycle-ingenieur-generaliste/

https://www.isima.fr/category/admissions/

En revanche, si je suis en double licence Maths-Info, je ne suis pas non plus certain d'avoir un excellent dossier par exemple à Paris Saclay où d'après ce que j'ai compris le niveau est très haut en Maths.

Si vous êtes pris c'est qu'on considère que vous avez les pré-requis nécessaires pour bien réussir; le problème est de savoir si l'étudiant va se mettre à travailler, avec un rythme beaucoup plus soutenu qu'au lycée.

L'avantage du CMI pour moi c'est qu'on fait principalement de l'informatique et je pense donc avoir un meilleur dossier que si je vais en double licence.

Ça dépend des universités; à Strasbourg par exemple je vois qu'il y a pas mal de maths, de la physique au S1.

C'est à vous de voir en fonction de votre profil (et de considérations logistiques si le CMI envisagé est tout proche de votre domicile familial).

Il n'y a pas de voie plus facile : venant d'un CMI d'une petite université, on vous demandera d'être en tête de promo avec d'excellentes notes. Venant de la double licence Paris Saclay ce sera plus facile de se caser en étant dans le "ventre mou" de la promo.

Vous avez quand même demandé la licence d'info non sélective de votre université de secteur ?

-
Edité par Givrali 8 mai 2023 à 17:15:37

Quand vous dites que le niveau académique risque d'être faible en fonction de l'université que pensez-vous de l'université de Montpellier?  J'ai vu qu'elle avait un bon classement au niveau national et international. De plus, son CMI Informatique est le meilleur et a un taux d'accès de 25%. J'ai vu les projets effectués par les étudiants et j'ai assisté à une visio hier et le niveau en informatique m'a l'air d'être exigeant. Pensez-vous que ces paramètres seront pris en compte par les écoles lors des admissions parallèles ou par sécurité je devrais aller à Paris Saclay?

Non, je n'ai pas demandé la licence non sélective. 

Le CMI de Montpellier est moyennement attractif, tous les candidats classés ont été pris, et ce tellement lentement que des places ont été proposées en PC.

Je pense que c'est typiquement le cas d'une université qui a du mal à remplir sa licence, et cherche à attirer des candidats supplémentaires.

C'est une formation considérablement moins sélective que la double licence de Paris Saclay.

Une fois toutes ces informations prises en compte cela reste un choix très personnel, je ne vous ai donné un avis que sur la base de quelques lignes, c'est plus des éléments de réflexion.

Si vous êtes originaire de Montpellier, que vous teniez à rester dans le coin, que le contenu de cette licence vous plaît (je n'ai pas trouvé le détail des UE et les volumes horaires) et que le volume de maths de Paris Saclay vous inquiète c'est peut être effectivement le meilleur choix.

Ce n'est pas le cursus le plus favorable à une AST en école mais vous pouvez très bien continuer en CMI à Montpellier jusqu'à bac+5.

L'important est de vous sentir à votre place dans une formation et d'avoir de bons résultats.

Bonjour,

je viens de relire ce que vous m'avez dit car je suis toujours en réflexion, maintenant entre le CMI Informatique à Montpellier ou une double licence Maths Info à Paul Sabatier. Où avez-vous trouvé que des places ont été proposées en PC et que tous les candidats classés ont été pris?

https://data.enseignementsup-recherche.gouv.fr/pages/parcoursupdata/?disjunctive.fili&q=CMI%20Montpellier

Cela dit la double licence à Toulouse n'a pas un succès fou non plus

https://data.enseignementsup-recherche.gouv.fr/pages/parcoursupdata/?disjunctive.fili&q=licence%20informatique%20toulouse

Celle-là donc est plus sélective :

https://data.enseignementsup-recherche.gouv.fr/pages/parcoursupdata/?disjunctive.fili&q=licence%20informatique%20saclay&refine.select_form=formation%20s%C3%A9lective

Ce n'est qu'un élément de choix parmi d'autres.

Il faut avant tout que le contenu vous convienne - par exemple si vous n'êtes pas spécialement à l'aise en maths une double licence avec beaucoup de maths risque d'être pénible, etc.

Les questions logistiques sont aussi à prendre en compte.