Bon, j'ai lu ces article, je doute avoir tous compris mais arrêter moi si je me trompe :
Il existe en ce monde des phénomène physique (locale) qui sont totalement aléatoire, totalement imprévisible, qu'on ne peux tous simplement ni mesurer ni calculer ni prédire et qui ne dépendent d'aucun autre phénomène ?
Car j'ai tilter quant ca parlais de "local", devrais-je donc comprendre que il y'as une possible causalité non-local ?
Et comment peux t'on démontrer que l'incertitude existe ?
À propos de "l'incertitude non-local" : ce serait tout bonnement violer le principe de micro-causalité - ce dernier étant plus fort que le simple principe de causalité.
Le principe de micro-causalité s'appuie principalement par l'existence d'une vitesse limite (cf relativité). Conséquence de l'existence de cette vitesse limite + structure continue de l'espace-temps : la micro-causalité est nécessairement locale (pas possible de créer une particule à l'autre bout de l'Univers à partir d'une expérience menée sur Terre).
Pour l'imprévisibilité de certains phénomènes physiques : toutes les réactions subatomiques (collisions de particules, réactions nucléaires etc.) sont concernées. Ceci étant, il faut aussi savoir ce que l'on entend par "indéterminé" à ce niveau.
Prenons une diffusion élastique de deux électrons (deux électrons se percutent et repartent chacun de leur côté). On ne peut pas prédire avec certitude la direction des électrons en voie de sortie - au mieux, on peut donner la probabilité que l'un aille dans une direction et l'autre dans une autre (diagrammes de Dalitz). En revanche, on sait parfaitement que certaines grandeurs sont conservées : la charge électrique totale du système en est un exemple. La quantité totale de mouvement (somme de la quantité de mouvement des deux électrons) se conserve également - tout du moins dans les collisions élastiques.
Les grandeurs conservées lors de ces réactions s'appellent "nombres quantiques". Il en existe un paquet : nombre quantique baryonique, leptonique, hadronique ; le spin, l'isospin ; la chargé électrique, la couleur, et j'en passe.
Chaque type de réaction voit la conservation ou non d'une certain nombre de nombres quantiques. Les réactions sont classées en trois grandes familles - en excluant la gravité, cette dernière s'intégrant mal aux concepts de la MQ - : interaction forte, interaction faible, interaction électromagnétique.
À noter qu'il ne faut pas confondre micro-réversibilité et micro-causalité : la micro-réversibilité c'est le fait qu'une réaction se fait indépendamment du sens de la flèche du temps. Pour être plus précis, toutes les réactions semblent obéir au fait suivant : si l'on observe une réaction physique dans un miroir, en renversant le temps et en inversant aussi toutes les charges (plus précisément : les nombres quantiques), alors on obtient aussi une réaction physique(ment viable, ou qui peut exister). C'est le théorème CPT (démo chaude, requiert un bon niveau de théorie quantique des champs). (C : renversement des charges ou nombres quantiques ; P : on regarde dans un miroir ; T : on renverse la flèche du temps, i.e. on joue le film "à l'envers").
Mot de la fin : rien ne nous dit que l'on obtient une réaction viable en faisant tourner le film "à l'envers" dans le temps d'une réaction viable : la symétrie T n'est pas une symétrie de la nature. L'étude expérimentale de l'oscillation dite <math>\(K^0/\bar K^0\)</math> le confirme.
Il suffit d'avoir une doloréane et c'est bon lol => Bon ok je sors...
La vérité c'est que dans 500 ans tous le monde nous mettra au même niveau d'avancement que ceux qui nous ont précédé il y a 500 ans => grosso-modo que notre niveau en science, physique etc... actuel est celui d'un gamin de lycée...
Si on prend les 100 dernières années nous pouvons constaté les avancés génial et rapide de l'homme je suis prêt à parié que nous ne sommes pas au bout de nos surprises...
Le nucléaire n'est pas encore utilisé pour se déplacer => alors que l'énergie dégagé par la collision de ses atomes, une fois maitrisé, pourrait nous permettre de voyager tranquillement dans notre système solaire, mais aussi surement dans les galaxies les plus proche
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