Le Smart Data décrit ce que les entreprises s’autorisent à faire avec leurs informations RH.
Tous les DRH ne sont pas encore prêts à prendre RDV avec les collaborateurs repérés par l’algorithme de GRH car prévoyant qu’ils allaient bientôt être victimes d’un burnout.
On verra arriver ce type d’informations qui tomberont sur l’écran du Smartphone du DRH. Alors intéressons-nous aux opportunités offertes par le Big Data RH dont le cadre d’utilisation commence à se dessiner.
Commençons par présenter les Smart Data : ce sont les possibilités d’analyse et de croisement des données RH. Les pratiques RH qui se développent aujourd’hui passent par des outils d’aide à la compréhension des carrières, d’analyse des causes du turnover, de compréhension de la rétention des talents (par exemple chez L’Oréal). Il s’agit d’obtenir une lecture plus fine des données RH, en utilisant les puissances de calcul des algorithmes qui peuvent faire ressortir des explications inattendues entre le mode de locomotion pour effectuer les trajets domicile-travail et l’absentéisme, entre la rétention d’un talent et le degré d’organisation d’une filière métier au sein de l’entreprise.
