C'est sûr, le job idéal n'existe pas. Mais s'en rapprocher au maximum devrait être le but de chacun !
Chaque génération à son lot à apporter : que ce soient les jeunes qui apportent du « sang neuf » au travail et leur vision nouvelle des technologies (entre-autre), ou les plus anciens qui ont l'expérience pour eux : c'est ce mélange intéressant et enrichissant qui devrait être mis en avant.
Comme on dit, il faut bien commencer un jour, aussi, j'aime beaucoup cette idée de devenir porteur d'une offre plutôt que demandeur.
Je pense tout simplement qu'il faut savoir rester ouvert d'esprit !
Bonjour à tous, Je suis entièrement d'accord avec le point de vue de Julie. J'avais déjà, sur les 4 idées reçues, une opinion identique sur 2 d'entre elles. En effet, il me semble évident que les atouts que peuvent apporter un œil neuf à une entreprise (et là j'ajouterais pas seulement jeune) sont indéniables ; tout comme être mobile et savoir rebondir sont nécessaires dans ce monde qui change. Sur les deux autres idées, j'avoue n'y avoir jamais réfléchi de cette façon mais j'aime cette façon de voir les choses : c'est tellement plus dynamique et positif ! Très motivant...
It's never too late to be what you might have been.
C'est vrai que Mme Coudry présente des points de vue déjà présents parfois dans d'autres écoles de management mais je trouve qu'elle a le mérite de les synthétiser et d'apporter une justification à tout cela. Puis son point de vue est beaucoup plus positif que la moyenne et je pense honnêtement qu'elle a raison sur tous les points.
Je suis tombée sur ce MOOC par hasard, et je dois dire qu'il tombe plutôt à pic. Tant il semble répondre à mes questions en matière de recherche d'emploi.
En effet, pendant longtemps, j'ai toujours entendu les autres me dire la chose suivante : "Oui, mais est-ce qu'il y a des débouchés ?" Si tant est que j'ai toujours focalisé mes recherches sur des formations, ou emplois, porteurs, sans même me demander si j'avais réellement envie de faire cette formation ou ce travail. Je me suis niée. J'ai finis par oublier que, moi aussi, j'avais des choses à proposer et j'ai, tout bonnement, perdu confiance en mes capacités.
Aujourd'hui, et avec le recul, j'en viens à me demander si ce changement de paradigme (passer de "demandeur d'emploi" à "offreur de compétences") n'est pas la solution.
Merci donc pour cette première vidéo, qui m'a réellement fait réfléchir.
Je me retrouve dans votre remarque LaetyTitia1 : comme beaucoup, j'ai été confrontée aux habituelles réflexions sur le choix de mon futur métier. Je pense que c’est une sorte d’habitude qui a la vie dure et qui nous vient des générations précédentes : avoir un emploi à l’époque n’était pas perçu de la même manière car il s’agissait avant tout d’obtenir une rentrée d’argent durable.
Mais la société évolue, de même que les gens et bien sûr les technologies. Tout ça fait que l’on a une palette de choix de plus en plus large
Et heureusement, nous sommes nombreux à vouloir que ça change et je suis tout à fait d’accord avec le fait que ça commence d’abord par changer de point de vue sur l’ensemble, à prendre du recul.
Ce qui est le plus difficile, c'est lorsque les remarques proviennent de personnes proches. Ils ne comprennent pas que les temps changent, qu'à leur époque, il était beaucoup plus facile de trouver du travail. Mais, je ne leur en veut pas. Je comprends bien qu'ils disent cela pour notre bien. Ils inquiètent un peu, en fait. Ce qui est compréhensibles. Oui, mais voilà, je reste persuadée que pour être pleinement heureux au travail, comme dans la vie, il faut aimer un minimum ce qu'on fait.
Suite à vos présentations, ma première réaction est 'enfin! Je ne suis pas folle!' Depuis que je suis rentrée en France en 2010, je n'ai été que raisonnable en prenant à chaque fois un job qui ne me correspond pas. Cette vidéo me montre à quel point ces 4 clichés sont ancrés en moi depuis plus de 20 ans. C'est navrant mais cela explique mon mal être actuel et récurent .Je comprends aussi que le job parfait n'existe pas mais j'ai une belle panoplie de compétences à proposer dans un job qui me correspond physiquement, mentalement et socialement laissant la place à l'épanouissement. Faut- il encore le trouver!
Heureusement étant ouverte d'esprit avec toujours l'envie d'apprendre, je prends en compte vos précieux conseils et j'ai hâte de commencer à investiguer et trouver des solutions avec lesquelles je pourrais avancer. Merci
Je suis convaincu qu'effectivement bon nombre de carrières se font par défaut, suite à des choix, si ce n'est hasardeux, rarement mûris, je me rappelle du plan de vie tracé par l'ONICEP à grand coup de QCM gauchement remplis.
J'aime l'aspect optimiste hégélien du propos, qui tourne l'esclave en maître et il apparait évident que le modèle classique de l’entreprise est quelque peu accablant pour l’employé.
L’introduction semble donc privilégier l’alliance des compétences à la subordination, j'attends cependant pour la suite, la méthodologie et les outils qui permettront d'asseoir cet optimisme.
Après la vision de ces vidéos, voici ma petite réflexion :
Je pense que le job qui me convient est bien "mon job idéal" mais n'est pas le job parfait dénué de toute contrainte, car il en deviendrait rapidement très ennuyeux. De même, je refuse de faire un choix par défaut ou d'avoir des ambitions raisonnable. Quant aux idées reçues, ce qui m'a touché est le point de vue sur les demandeurs d'emploi. Effectivement, je pense qu'il est important de prendre conscience que chacun apporte autant aux autres que les autres leur apporte. Intégrer cela permet de pre de une bonne confiance en soi. C'est un point qui m'a fait beaucoup réfléchir.
Bonjour, je suis en train de tenter de rédiger mes réalisations, seulement je rencontre un soucis... une question me vient en réalité. Faut-il respecter exactement les débuts de phrases ci-dessous :
"- Face à tel enjeu / pour atteindre tel objectif... - j'ai réalisé (ou un autre verbe d'action)... - Pour cela j'ai fait (3 idées)... - Le résultat obtenu a été..."
Ou servent-ils juste à titre indicatif ?
Merci d'avance.
"Dire oui à la vie en dépits de tous ses aspects tragiques." Victor Frankl
Je suis d'accord que nous vivons dans un monde où la recherche d'un CDI et d'un travail stable paraît être l'idéal mais je n'ai jamais été d'accord avec cette perspective car, comme c'était dit dans la vidéo Détox aussi, nous vivons dans un monde qui bouge de plus en plus et il vaut mieux être mobil et adaptable. Nous avons de plus l'ouverture des frontières et la possibilité de travailler à l'étranger. Il faut en profiter.
L'idée que le jeunes qui sont à la recherche sont considérés des "demandeurs" d'emploi, même si c'est une réalité, est évidemment dérangeante et je remercie à Julie de l'expliquer si claire. Je pense qu'il faut voir les chose d'une autre perspective, oui, nous devons devenir des jobmakers et proposer nos competences et nos offres aux entreprises sans nous sentir des demandeurs d'emploi.
Le context actuel est un difficile mai aussi plein d'opportunités que les générations d'avant ne les avaient pas, donc il faut en profiter. Il faut chercher toujours quelque chose qui nous correspond pour avoir envie de bien faire notre job chaque jour et ne pas se sentir obliger d'aller travailler.
C'est clair qu'on est en plein dedans ! Du coup, apprendre à mieux savoir tirer notre épingle du jeu est d'autant plus important, de même que rester "à la page"
LaetyTitia1 a écrit:
Ce qui est le plus difficile, c'est lorsque les remarques proviennent de personnes proches. Ils ne comprennent pas que les temps changent, qu'à leur époque, il était beaucoup plus facile de trouver du travail. Mais, je ne leur en veut pas. Je comprends bien qu'ils disent cela pour notre bien. Ils inquiètent un peu, en fait. Ce qui est compréhensibles. Oui, mais voilà, je reste persuadée que pour être pleinement heureux au travail, comme dans la vie, il faut aimer un minimum ce qu'on fait.
C'est vrai que la différence intergénérationnelle se fait souvent sentir sur ces sujets-là
Mais je pense que c'est aussi un problème lié à l'éducation que l'on peut recevoir de nos écoles, comme si elles n'évoluaient pas au même rythme que notre société et ses nouvelles technologies toujours plus performantes...
En tout cas, je suis comme vous (et comme beaucoup j'imagine), à la recherche d'un job avec lequel je puisse m'éclater, quelque chose qui me donne envie de m'investir auquel j'ai une vraie valeur ajoutée même si ce n'est pas rose tous les jours !!
Je me suis reconnue dans plusieurs des préjugés énoncés dans la vidéo durant ma "courte" vie professionnelle. J'ai, suite aux conseils sur l adaptation au marché du travail, abandonné les recherches dans le secteur qui me plaisait réellement, pour postuler sur des offres qui paient les factures. J'apprécie beaucoup le concept d apporteur de valeur ajoutée. Cela modifie le prisme de perception de la situation et permet de se revaloriser dans un processus de recherche qui est souvent difficile. Mais n'y a t'il pas un risque d idéalisation du poste recherché ? Où se situe la frontière ?
C'est vrai que parfois le formulation de manière pertinente et concise n'est pas facile. Je pense que ça fait partie de l'exercice pour nous permettre de clarifier nos pensées et objectifs.
J'ai eu du mal aussi au début.
Bonne continuation pour ton projet.
Cydonia_13 a écrit:
Merci beaucoup pour ta réponse
Parce que justement, j'ai essayé de reprendre la trame proposée, mais ça ne collait plus du tout à ce que je voulais exprimer... :/
Je vais donc réessayer de formuler autrement, en utilisant cette trame-là. Encore merci
Nessun a écrit:
Bonjour Cydonia_13,
Pour ma part, lorsque j'ai réalisé cet exercice j'ai repris la trame proposée et cela m'a aidé à établir et clarifier mes réalisations.
Pour info, les 3 exercices que j'ai corrigé reprenaient eux aussi cette structure.
Oui, et clarifier ma pensée est ce qu'il y a de plus difficile pour moi. Tendance à partir dans tous les sens. Donc cet exercice tombe plutôt bien du coup.
J'ai une autre question. Cet exercice est-il décisive pour la validation du module ? Est-il juste un exercice ? Ou y aura t-il une sorte "d'examen" final ? C'est un peu confus dans ma tête...
En tout cas, merci beaucoup pour les encouragements
Nessun a écrit:
Je t'en prie.
C'est vrai que parfois le formulation de manière pertinente et concise n'est pas facile. Je pense que ça fait partie de l'exercice pour nous permettre de clarifier nos pensées et objectifs.
J'ai eu du mal aussi au début.
Bonne continuation pour ton projet.
"Dire oui à la vie en dépits de tous ses aspects tragiques." Victor Frankl
Je suis tout à fait d'accord avec ce qui est dit dans cette vidéo.
Les 4 idées reçues sont en effet bien présentes dans mon esprit. Depuis plus ou moins longtemps. Les idées reçues 3 et 4 sont présentes dans notre environnement. On l'entend à la télé, par les gens qui nous entourent. On veut acheter une maison mais pour cela il faut un prêt. Pour avoir un prêt il faut un CDI. Donc il y a une nécessité de stabilité.
Les deux premières idées reçues, je les ai "acquises" depuis la fin de mes études. Je suis diplômée depuis 1 an, recalée à 5 entretiens pour des boulots qui me plaisaient vraiment, car pas assez d'expérience. De ce fait je me sens totalement "out", hors jeu (idée reçue 1). Alors je me dis que pour commencer et se faire cette expérience, il faut accepter peut être des premiers contrats moins "attractifs".
Un choix par défaut.C'est le sentiment que j'ai le plus car ce travail que j'avais "choisi", était un pur choix par défaut et surtout je pense avec le recul par securité... sauf que ce travail je l'ai perdu aujourd'hui même... et le problème est que j'avais mis un terme à l'école justement pour ce travail. Maintenant, 30ans mon diplôme de secondaire général en poche( j'habite en Belgique), ca n'ira pas bien loin ... et j'ai pensé au Zero qui à l'epoque où je travaillais m'interressait mais sans m'investir vraiment. Mais ça ... C'était avant (et sans lunettes). Merci pour cette video
J’ai 42 ans et je suis en recherche d’emploi, c’est une première pour moi, j’ai donc pas mal d’appréhension et de questions par rapport à cette situation qui je l’avoue me perturbe pas mal. Les idées reçues que vous expliquez dans la vidéo je les ai eues et je les ai encore. Néanmoins je pense que vous avez raison et que pour avancer il faut savoir se remettre en question. grâce à cette vidéo je viens de comprendre quelque chose de fondamental c’est que nous devons nous positionner en « offreur » et pas en « demandeur » ce qui change totalement ma démarche actuelle, je vais donc pouvoir retravailler ma recherche avec cette nouvelle donne essentielle.
Intéressée par de nombreux sujets, je ne savais vers quoi me diriger. J'ai rencontré un conseiller d'orientation qui, d'après mes résultats scolaires, m'a indiqué que je pouvais tout faire et s'est contenté de me fournir une liste de métiers sans explication. Jamais on ne m'a demandé quelles étaient mes attentes ou mes envies... et quant aux conseils sur les emplois que j'ai pu trouver :"c'est un début, c'est déjà mieux que rien". Cette vidéo met des mots sur ce que je ressens depuis plusieurs années. Je suis de nouveau à la recherche d'un emploi mais comment mettre cela en application? Comment reconnaître ses compétences et ses attentes? J'attends de découvrir cette méthode avec impatience.
Le cours est très intéressant. Je suis d'accord avec tout ce que dit Julie sur la vidéo.
Personnellement, j'ai 46 ans avec un diplôme en études françaises, je parle anglais assez bien et je continue à toujours me former. Je fais des cours d'allemand et de perfectionnement d'anglais. J'ai une grande curiosité intellectuelle.
J'écris ce petit mot par rapport à la première activité du cours trouver un job. Je ne sais pas s'il est noté, mais en tout cas, j'essaie de faire le petit exercice qui consiste justement à dire ce que l'on pense du cours.
Etant donné que les informations sont toutes utiles et intéressantes, je vais terminer mon petit mot ici, en espérant avoir rempli les 500 caractères demandés.
Je suis d'accord avec la vidéo, c'est essentiellement une question de posture pour trouver le travail qui nous convient. C'est surtout un état d'esprit !Un petit bémol quand on parle des jeunes (car tout le monde est concerné). J'ai déjà expérimenté ce changement de croyances car j'ai travaillé très longtemps dans une grosse industrie et quand j'ai changé de travail, suite à un désir fort de travailler avec l'être humain, j'ai dû affronter mon conditionnement et celui des autres qui communiquent la peur. Envie de me rebooster !
Voici ma vision de la vidéo que j'ai par ailleurs beaucoup appréciée !
Les idées reçues évoquées sont effectivement celles auxquelles je suis constamment confrontées et provoquent une grande culpabilité à être "demandeur d'emploi". De ce fait on accepte un peu tout et n'importe quoi quitte à être malheureux au travail. Cette vidéo est donc un soulagement de se rendre compte que l'on emprunte la bonne voie. Elle est également rassurante car le fait de passer par ces périodes ne veut pas dire que l'on ne vaut rien. Je n'avais jamais envisagé mes recherches en me disant que j'avais des choses à offrir mais plutôt que seul l'employeur avait des choses à m'offrir.
Je suis parfaitement d'accord avec cette vidéo. Mais je pense aussi que cette méthode n'es t pas faite pour s'appliquer uniquement "aux jeunes".
Dans un marché du travail Français où on enferme les gens dans des cases dont il est difficile de sortir, ces vidéos donnent un coup de boost. Si certaines entreprises pouvaient revoir leur approche du marché du travail je pense que celui ci se porterait beaucoup mieux en France.....
J'ai 52 ans et j'ai envie de passer la dizaine d'année (au moins ) qui me reste à travailler à me consacrer à un job qui me correspond tout à fait....
En regardant ces vidéos, je me dis "qu' à mon age", on est pas "fini" sur le marché du travail, contrairement à ce que l'on peut penser lorsque l'on "écoute" certains acteurs de ce marché....
Je pense ne pas être le seul dans mon cas.... C'est ce que j'ai envie de me prouver et de montrer
Ne plus se voir comme un demandeur d’emploi est la bonne surprise de la formation. C’est original mais c’est très juste en même temps. C’est une façon de reprendre le contrôle sur sa vie professionnelle, d’en être réellement l’acteur, de réaffirmer son droit à une vie professionnelle choisie. Pour moi néanmoins, je me sens bien loin de cet état-là.
Ne pas chercher de job idéal est compliqué pour moi. Bien que j’en sois consciente, il m’est difficile de m’empêcher de rêver. J’aime rêver.
Mon parcours s’échelonne en étapes variées mais j’ai l’impression d’aller de déception en déception. Car plus le temps passe, moins j’en demande et de ce fait, l’écart avec mes rêves se creusent encore plus. Ma peur, c’est de me retrouver sans rêve, que ces rêves s’estompent et me laissent seule dans une réalité morose. De plus en plus, je penche vers des choix par défaut même si c’est aussi ce que je fuie le plus. Mais comment faire, c’est la question et la raison de ma présence sur cette formation.
Je vise de moins en moins haut, de moins en moins fou, et forcément, l’ennui est au rendez-vous. Mais au moins, le portefeuille est rempli (pas beaucoup mais rempli).
Du fait de mes choix successifs, je perds l’espoir de trouver un travail satisfaisant au niveau intellectuel. Ce qui me semble important désormais, c’est avant tout de travailler dans une bonne ambiance et de ne pas bafouer ses valeurs : respect d’autrui, utilité, ne pas participer à une entreprise un peu trop penchée vers le profit. C’est pour moi une ambition raisonnable. Je ne me vois pas aller au-delà de ce « préjugé » mais je reste friande de conseils et très curieuse du résultat.
Bonjour et merci pour ce cours ! Il devrait faire du bien aux personnes en perte de confiance face à l'emploi, et confuses quant au développement du projet professionnel. C'est mon cas, mais je ne pense pas être la seule.
Je poste mon ressenti suite au visionnage de la vidéo n°1 :
J'ai conscience de cette posture de soumission que j'adopte face au marché du travail et à l'employeur et de la toxicité de mes idées reçues mais je ne parviens pas encore à les surmonter. Elles découlent de ma peur de ne pas réussir davantage si je fais les choses autrement de la majorité des gens, en me disant qu'il est plus sécurisant d'emprunter les chemins déjà tracés. Fournir des efforts supplémentaires sans certitude de résultats, c'est angoissant. Revoir ses ambitions à la baisse, rester passif peut paraître plus tentant en perspective mais ça ne rend pas service sur le long terme ...
Voici mon ressenti après cette vidéo, ce que j'ai écrit est sans analyse, uniquement mon ressenti :
Enfin quelqu'un qui exprime ce que je ressens au fond de moi depuis si longtemps! Le changement est possible, et pour aider à ce qu'il prenne effet j'ai directement partagé la vidéo sur facebook. Pourquoi ? parce que je ne suis pas la seule à être devant le mur du "marché du travail", nous sommes toute une génération qui se sent flinguée. Je pense même partager la vidéo d'avantage, à ma mère par exemple, qui se pose beaucoup de question et ressent beaucoup de désarrois face à ce marché de l'emploi qu'elle ne comprend pas! Partageons, changeons le regard et redonnons le courage à la jeunesse!
A la suite de cette vidéo très intéressante, voici ma contribution:
Des idées reçues très répandues mais criantes de vérité. Les jeunes ne sont effectivement pas préparés à la recherche d'emploi ou à la "vente" de leur compétences pour reprendre vos mots; ils sont contraints de choisir une voie, souvent générale pour les meilleurs mais sans forcément chercher ou être poussés à chercher à savoir si cela aboutira à quelque chose qui leur correspond. J'ai moi-même fait partie de cette catégorie, avec un Bac S et un diplôme d'ingénieure, et maintenant je me retrouve à la case départ pour ainsi dire, avec un job qui ne me correspond plus et sans savoir ou aller.
Finalement 600 caractères c'est très limité pour porter une réflexion au bout....Un éclairage nouveau n'est jamais inintéressant et peut peut-être même débloquer certains freins qui peuvent exister à force de matraquage de certaines idées reçues....
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It's never too late to be what you might have been.
Cordialement,
Annabelle Braud
braud.annabelle@gmail.com