Bonjour, Ma question est plutôt théorique. Je suppose un système de chauffage électrique contrôlé par une triac qui pourrait être elle-même contrôlée par une photo-triac. Cette dernière serait reliée à un micro-processeur avec toute la logique nécessaire. La question est de savoir quelle est la précision de l'énergie qu'on pourrait fournir en coupant les triac à une fréquence multiple de 60 Hz (Amérique) ou 50 Hz (Europe). Il faudrait que le logiciel soit capable de déterminer le pourcentage des cycles (ou parties de cycles) où il doit laisser passer le courant pour arriver à la puissance désirée.
Le Tout est souvent plus grand que la somme de ses parties.
généralement la modulation de puissance se fait en découpant chaque alternance, la précision est alors directement liée à celle de la précision temporelle du découpage. Ce principe, s'il est efficace, génère des parasites qu'il faut filtrer.
Si maintenant on ne fait passer qu'un certain nombre d'alternances par unité de temps, ce qui est compatible avec un chauffage qui présente une forte inertie, cela dépend alors de l'unité de temps que l'on prend. Ce choix devra tenir compte de l'inertie thermique du système, l'idée étant que l'on ne sente pas de variation dans la situation extrême d'une seule alternance par unité de temps.
Je pensais à un intervalle de 1000 demi-cycles, par exemple.
On répartit de façon uniforme les demi-cycles inactifs dans cet intervalle.
Comme tu dis, l'élément chauffant possède une certaine inertie et on ne devrait pas sentir de fluctuation.
Le Tout est souvent plus grand que la somme de ses parties.
Thermostat contrôlé par une TriAC
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