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Un peu de philosophie

Ou comment se faire aider ^^

Anonyme
    2 mars 2006 à 12:07:03

    Hello tous les Zéros, comment allez-vous? :p
    Moi je suis en plein drame politico-historique ..
    Quoi? Je délire?
    <code type="xml"></code>C'est a cause de Sartre, et de notre prof de morale qui nous fait faire des dissertation de fou o_O

    Donc, pour être franc, j'ai une dissertation sur une phrase de sartres:
    "Faire, et en faisant se faire et n’être rien d’autre que ce que l’on fait "

    Beau sujet, n'est il pas? ^^'

    Enfin bref, j'ai fait ma dissertation comme un pro ( c'est beau d'y croire ^^' ) mais j'aimerais avoir quelques avis dessus.
    J'ai déjà demandé sur un forum de philo, mais on ne me répod ( c'est si mauvais? :euh: )

    Sur le forum de la mirage-tam quelque personne m'ont répondu, mais j'aimerais encore d'autre avis/commentaires/critiques/conseils.

    Voila la bête:

    Citation : Pas de titre

    Sartre a dit « Faire, et en faisant se faire et n’être rien d’autre que ce que l’on fait », en analysant cette phrase, on peut comprendre que Sartre veut dire qu’on est ce que l’on fait, et rien que ce que l’on fait. Autrement dit, nous sommes déterminés par nos actions et uniquement par elles.
    Toujours d’après Sartre, tout homme possède le libre arbitre, c'est-à-dire la possibilité de faire des choix, et d’avoir conscience de ces choix. Ce qui sous-entend qu’aucun homme n’est prédéterminer, et que, par conséquent, la seule chose qui peut nous définir, ce sont les actions qui découlent de nos choix.


    Il me semble évident et logique que nous soyons déterminés par nos actions, en effet, au fil des années, nos pensées, nos souvenirs, notre façon de voir les choses, etc. évoluent, c’est donc que ce qui nous détermine est variable, et non immuable comme Descartes le dit. Pour s’en convaincre, il suffirait de rencontrer un bébé, et de le revoir une vingtaine d’année plus tard, nous ne le reconnaîtrions pas.
    Pour les personnes qui nous entourent, les seules choses qui leur permettent de nous déterminer, de nous « classer », ce sont nos actions. Ces personnes ne sont pas dans notre esprit, et donc ne partagent pas nos souvenirs. Pourtant, deux personnes différentes pensent la même chose de nous si on agit de la même manière vis-à-vis de ces deux personnes. Ce qui veut dire que selon nos actions, les autres nous classent de telle ou telle manière. Cette classification, est un des facteurs qui caractérise les relations que l’on a avec notre entourage, car personne n’iras côtoyer quelqu’un dont il désapprouve la majorité des actions (il en faut un certain nombre, car classer les gens sur base d’une seule action serait assez trompeurs, après tout, l’erreur est humaine et donc il arrive qu’une action ne soit pas représentative d’une personne).
    Hors, ce sont ces relations qui déterminent notre comportement, notre façon d’être (pour s’en assurer, il suffit de voir comment se comporte les personnes qui vivent dans des pays reculés). En résumé, nos actions déterminent nos relations avec les autres, et ces relations déterminent notre comportement, donc nos actions déterminent notre comportement.
    De plus, nos actions entraîne des souvenirs différents en fonction de ces actions, et nous adaptons notre façon d’être, notre comportement en fonction des souvenirs (par exemple, si l’on se brûle en mettant sa main sur un réchaud étant petit, on saura que c’est dangereux, et on évitera de le refaire).
    C’est en partie ce que dit Freud, il dit que nous sommes déterminé par nos actions, mais nuance en disant que ces même actions seraient déterminée par l’influence de l’inconscient sur le conscient. L’inconscient est ce qu’on a refoulé, ce qui est dangereux, impulsif, mais toutes nos actions ne sont pas impulsives : le meurtre, par exemple, est impulsif, alors que l’assassinat est réfléchit.
    En ce qui concerne Locke, il dit que notre personnalité est évolutive, qu’elle ne dépend pas de nos actions, mais des souvenirs que l’on a de nos actions. Ce qui est, a peu de chose près, ce que dit Sartre, vu que les souvenirs sont générés par les actions.
    Toutefois, ce raisonnement entraîne une autre question : comment cela a-t-il commencé ? Si nos actions déterminent nos souvenirs, et que nos souvenirs déterminent nos actions, comment une action a pu t’elle être déterminé par un souvenir inexistant ? C’est donc qu’à la base, quelque chose nous a déterminé.


    En conclusion, il me semble certain que nous sommes déterminés par nos actions, la plupart des arguments tendent à nous le confirmer, mais a une nuance près : notre première action est déterminée par quelque chose dont on ignore la nature, l’endroit ou elle se trouve, etc. mais qui n’intervient plus par la suite.



    ---------------------

    Les commentaires dont on m'a déjà fait part disait qu'il fallait enlever certains guillemet, ce que j'ai fait.
    Aussi, ma conclusion n'est pas top, si vous aviez une petite idée de comment l'améliorer ..

    Et surtout:
    MERCI de m'avoir lu avec autant d'attention :)
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      2 mars 2006 à 12:23:39

      Ca fait longtemps que j'ai pas fait de philo, et sartre n'est pas trop ma tasse de thé. mais je peux te dire ce que j'en pense. (ca te fera un avis, même non éclairé)
      C'est pas mal. C'est plutot bien écrit, même si c'est un peu 'scolaire'.
      Ce que je trouve dommage, c'est ton parrallèle avec Freud et Locke, qui tombent un peu comme un cheveu dans la soupe (on dirait que t'as voulu les placer).

      J'aurais aussi abordé le fait que Sartre etait hyper engagé politiquement. De ce fait, ce genre de phrase est aussi une incitation à l'engagement politique (et philosophique), puisque la politique, c'est faire.
      Pour moi, il dit aussi en substance : Arretez de penser. Agissez et vous deviendrez des penseurs.

      Mais je peux me tromper ;)
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      Anonyme
        2 mars 2006 à 12:27:03

        C'est vrai, pour Freud et Locke, je n'ai pas trop essayer de les imbriquer dans mon argumentation, mais je les ai ajouter a la suite pour renforcer mon argumentation.
        Je ne vois pas trop comment je pourrais les placer autrement :euh:

        Bonne réflection pour l'engagement politique, je n'ai pas tenu compte du contexte politique dans lequel Sartre a établi sa philophie, je vais ajouter quelque ligne a mon introduction ou j'explique la phrase pour faire un parallèle avec le contexte.

        Merci d'avoir lu et de m'avoir répondu :)

        edit:
        voila ma nouvelle introduction, j'ai essayé d'expliquer un peu le contexte d'après-guerre, mais je ne suis pas très renseigner la dessus, donc c'ets assez succin.

        Citation : Pas de titre

        Sartre a dit « Faire, et en faisant se faire et n’être rien d’autre que ce que l’on fait », en analysant cette phrase, on peut comprendre que Sartre veut dire qu’on est ce que l’on fait, et rien que ce que l’on fait. Autrement dit, nous sommes déterminés par nos actions et uniquement par elles.
        Toujours d’après Sartre, tout homme possède le libre arbitre, c'est-à-dire la possibilité de faire des choix, et d’avoir conscience de ces choix. Ce qui sous-entend qu’aucun homme n’est prédéterminer, et que, par conséquent, la seule chose qui peut nous définir, ce sont les actions qui découlent de nos choix.
        Il faut également prendre en compte le contexte dans lequel Sartre a construit sa thèse, c’est en 1919, juste après la 1ère guerre mondiale que Sartre a émis celle-ci. A ce moment, l’Europe est en pleine reconstruction, la guerre a provoqué des instabilités sociales, économiques et politiques, et les populations ne savent plus trop que faire, elles essaient de survivre et de reconstruire comme elles peuvent mais sans lancer de grand mouvement. Dès lors, cette phrase prend un sens politique incitant les gens à prendre leur vie, leur ville, leur pays en main. En clair, Sartre les incite à arrêter de penser, et à agir pour devenir des penseurs.

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          2 mars 2006 à 13:04:10

          Pour faire très simple, comme critique. A mon époque (donc y'a pas si longtemps... ;) ) une dissertation de philo devait faire minimum deux pages imprimées en caractères 11...

          Si tu vois ce que je veux dire.. en 20 lignes, ton analyse ne peut etre pertinente.

          Ensuite, je trouve que ton plan n'est pas vraiment mis en valeur. Le concept idée-exemple non plus...

          Bref, honnetement, pour moi, ca vaut 6, sachant que si tu t'y remets à fond tu semble avoir les capacités pour chercher une bien meilleure note...

          amicalement...
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          Anonyme
            2 mars 2006 à 13:09:14

            Oui, c'est peut-être un peu cours.
            Mais honnetement, je ne vois pas trop comment l'allonger.
            Soit je tire en longueur les arguments présents au risque de me répeter, soit j'inclue d'autre points de vue, soit j'ajoute d'autres arguments, soit tout en même temps ^^'

            Je vais essayer de voir ca.

            Pour le plan et le concept idée-exemple, je ne vois pas trop ce que tu veux dire, tu pourrais m'en dire un peu plus? :euh:
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              2 mars 2006 à 13:18:14

              Une citation du même auteur qui peut te faire avoir quelques points en plus :

              Citation : Sartre

              L'important n'est pas ce que l'on a fait de vous, mais ce que vous faites de ce que l'on fait de vous.



              C'est très proche.

              Bonne chance.

              ++
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                2 mars 2006 à 13:19:47

                En fait, lorsque tu redige une dissertation, la meilleure méthode, d'apèrs moi, est la suivante.

                Commencer par faire le plan. (genre Intro - Oui - Non - Pourquoi? - Conclu) -exemple parfait de dissert de philo.

                Puis tu passes au plan avancé.

                Citation : Plan avancé

                Intro

                I - Oui
                Idée 1
                Idée 2
                Idée 3

                II - Non
                Idée 1
                Idée 2
                Idée 3

                III - Pourquoi?
                Idée 1
                Idée 2
                Idée 3

                Conclu



                Ensuite, tu détailles tes arguments...

                Citation : Plan argumenté

                Intro
                arg1
                arg2

                I - Oui
                Idée 1
                arg1
                arg2
                Idée 2
                arg1
                arg2
                Idée 3
                arg1
                arg2

                II - Non
                Idée 1
                arg1
                arg2
                Idée 2
                arg1
                arg2
                Idée 3
                arg1
                arg2

                III - Pourquoi?
                Idée 1
                arg1
                arg2
                Idée 2
                arg1
                arg2
                Idée 3
                arg1
                arg2

                Conclu
                arg1
                arg2



                Et c'est là qu'intervient la méthode du argument-exemple... Dans chaque partie, dans chaque sous partie, il te faut illustrer ton propos par un exemple (approprié, bien sur...).
                Il ne te reste plus qu'à faire des phrases autours de tous les mots clés que tu viens de taper, et tu obtiendras une dissert' equilibrée, raisonnée, illustrée, donc bien notée ;)

                Je ne sais pas en quelle fillière tu es, mais sache qu'en S la forme est presque aussi importante que le fond...
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                Anonyme
                  2 mars 2006 à 13:35:56

                  Merci pour la citation, je vais voir comment l'utiliser :)

                  Je suis en filière math & sciences forte ^^'

                  Merci pour le plan, je vais essayer de faire quelque chose comme ca.
                  Seulement, je crois que je n'aurai pas autant d'idée.

                  Pour le oui, les seuls arguments que je vois sont ceux que j'ai exposé dans mon premier texte.
                  Pour le non, je ne vois aucun argument direct qui puisse le justifier ( mis a part le facteur déclencheur de la première action )
                  Et le pourquoi, je ne suis pas très sur de ce que tu veux dire. C'est le pourquoi de la citation qu'il faut exposer?
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                    2 mars 2006 à 13:44:22

                    En fait, souvent, sur une dissertation, un très bon plan consiste à faire une premiere partie pour appuyer les propos de l'auteur, ou dire sa thèse c'est ca. Dans la seconde partie tu mets en doutes, tu critiques les propos de l'auteur.

                    Dans la dernière, tu expliques que les deux premieres parties t'amènenent à une contradiction, et qu'il serait peut etre bon de repenser les termes du sujets, de comprendre pourquoi il a dit ca, etc...

                    Deux idées opposées, une ouverture..


                    Sachant que si tu dis Oui en 1 et Non en 2, cela veut dire que ton avis est Non.

                    Donc inverse au besoin..
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                    Anonyme
                      2 mars 2006 à 14:23:14

                      Voila, j'ai essayé d'adapter mes idées au plan que tu m'a fournis et en essayant d'utiliser tous les conseils que l'on m'a donné. Le seul truc qui me dérange encore, c'ets ma conclusion qu eje ne trouve pas géniale :euh:

                      La nouvelle version:

                      Citation : Pas de titre

                      Sartre a dit « Faire, et en faisant se faire et n’être rien d’autre que ce que l’on fait », en analysant cette phrase, on peut comprendre que Sartre veut dire qu’on est ce que l’on fait, et rien que ce que l’on fait. Autrement dit, nous sommes déterminés par nos actions et uniquement par elles.
                      Toujours d’après Sartre, tout homme possède le libre arbitre, c'est-à-dire la possibilité de faire des choix, et d’avoir conscience de ces choix. Ce qui sous-entend qu’aucun homme n’est prédéterminer, et que, par conséquent, la seule chose qui peut nous définir, ce sont les actions qui découlent de nos choix.


                      Si nous étions déterminé par nos actions, on aboutirait à un paradoxe : juste après la naissance, nous n’avons fait aucune action, et pourtant, nous sommes déterminés à pleurer pour respirer. C’est donc que quelque chose nous a déterminé à pleurer pour vivre et que nous ne sommes pas déterminé par nos actions, puisque nous nous n’en avions jamais faites avant.
                      Cependant, il me semble évident et logique que nous soyons déterminés par nos actions, en effet, au fil des années, nos pensées, nos souvenirs, notre façon de voir les choses, etc. évoluent, c’est donc que ce qui nous détermine est variable, et non immuable comme Descartes le dit en supposant qu’il y aurait une âme immuable pendant toute notre vie qui nous détermine et nous différencie des autres. Pour s’en convaincre, il suffirait de rencontrer un bébé, et de le revoir seulement une vingtaine d’année plus tard, nous ne le reconnaîtrions pas.
                      Pour les personnes qui nous entourent, les seules choses qui leur permettent de nous déterminer, de nous « classer », ce sont nos actions. Pour cause, ces personnes ne sont pas dans notre esprit, et donc ne partagent pas nos souvenirs. Pourtant, deux personnes différentes pensent la même chose de nous si on agit de la même manière vis-à-vis de ces deux personnes. Ce qui veut dire que selon nos actions, les autres nous classent de telle ou telle manière. Cette classification, est un des facteurs qui caractérise les relations que l’on a avec notre entourage, car personne n’iras côtoyer quelqu’un dont il désapprouve la majorité des actions (il en faut un certain nombre, car classer les gens sur base d’une seule action serait assez trompeurs, après tout, l’erreur est humaine et donc il arrive qu’une action ne soit pas représentative d’une personne).
                      Hors, ce sont ces relations qui déterminent notre comportement, notre façon d’être (pour s’en assurer, il suffit de voir comment se comporte les personnes qui vivent dans des pays reculés). En résumé, nos actions déterminent nos relations avec les autres, et ces relations déterminent notre comportement, donc nos actions déterminent notre comportement.
                      Ce qui rejoins en partie la théorie de Freud ; il dit que il dit que nous sommes déterminé par nos actions, mais nuance en disant que ces même actions seraient déterminée par l’influence de l’inconscient sur le conscient. L’inconscient est ce qu’on a refoulé, ce qui est dangereux, impulsif, mais toutes nos actions ne sont pas impulsives : le meurtre, par exemple, est impulsif, alors que l’assassinat est réfléchit.
                      De plus, nos actions entraîne des souvenirs différents en fonction de ces actions, et nous adaptons notre façon d’être, notre comportement en fonction des souvenirs (par exemple, si l’on se brûle en mettant sa main sur un réchaud étant petit, on saura que c’est dangereux, et on évitera de le refaire).
                      C’est ce que dit Locke : d’après lui, notre personnalité est évolutive, elle ne dépend pas de nos actions, mais des souvenirs que l’on a de nos actions.

                      Face à cette contradiction, il est bon de rappeler le contexte de cette citation.
                      C’est au 19ème siècle, juste après la 1ère mondiale que Sartre a exposé sa thèse. A ce moment, l’Europe est en pleine reconstruction, la guerre a provoqué des instabilités sociales, économiques et politiques, les populations ne savent plus trop que faire, elles essaient de survivre et de reconstruire comme elles peuvent mais sans lancer de grand mouvement. Dès lors, cette phrase prend un sens politique incitant les gens à prendre leur vie, leur ville, leur pays en main. En clair, Sartre les incite à arrêter de penser, et à agir pour devenir des penseurs.

                      On peut également mettre en relation cette citation avec une autre du même auteur : « L'important n'est pas ce que l'on a fait de vous, mais ce que vous faites de ce que l'on fait de vous ». Ce qui veut dire qu’il n’est pas important de savoir ce que les autres ont fait de nous, mais qu’il est important de savoir ce qu’ on fait de nous-même, malgré ce que les autres on pu faire de nous.
                      Par exemple, on peut avoir été fait esclave, mais au lieu de se lamenter et d’accepter cet état d’esclavage, on peut décider de refuser cet état et se révolter contre cela.
                      Ce qui revient à dire que même si notre action première a été déterminée par quelque chose, ce n’est pas important, mais il est important de savoir ce qu’on fait de sa vie malgré cette détermination première.


                      En conclusion de tout cela, on peut dégager deux grandes idées, la première étant que nos actions détermine nos relations, et que nos relations détermine notre comportement et l’évolution de celui-ci.
                      Deuxièmement, les actions conditionnent les souvenirs, et nous adaptons notre façon d’être en fonction de nos souvenirs.



                      ne partie de mes phrases provient de mon premier texte, surtout les arguments, mais j'ai modifié l'agencement pour que ca paraissent mieux ordonner


                      Encore merci a tous :)

                      edit: Je précise quand même que c'est la première dissertation qu'on fait depuis qu'on est a l'école ^^' Donc je suppose que ma prof ne s'attend pas a des trucs parfait.
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                        2 mars 2006 à 14:30:46

                        La conclusion se fait en deux parties.
                        1) tu résumes tout ce que tu as dit en une ou deux phrases
                        2) tu fais une ouverture.

                        L'introduction se fait de la meme facon
                        1) tu donnes le sujet
                        2) tu annonces la problèmatique qui en découle, les questions que l'on peut se poser
                        3) tu annonces ton plan

                        De meme, à la fin de chaque partie ; mini-bilan.

                        Tu manques encore beaucoup de forme. Recommence au début, pose toi plus de question. Sort une vraie problèmatique. trouve davantage d'idées..

                        Continue comme ca ;)
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                        Anonyme
                          2 mars 2006 à 14:37:42

                          Merci pour le lan de la conclusion et de l'intro, je vais continuer dans ce sens ;)
                          Ce n'est pas facile en tout cas, il faut vraiment se creuser la tête :p
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                            2 mars 2006 à 14:51:06

                            Tu sais, en term je chopais souvent des 15, 16 en dissertation... mais je passais en moyenne 8 - 10 heures dessus.
                            Sachant que j'avais un énorme avantage sur toi... je connaissais la méthodologie.

                            Ca prend du temps la philo. Mais ca apprend des choses. ;)
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                            Anonyme
                              2 mars 2006 à 14:53:13

                              Ah d'accord :lol:
                              Pour le moment, j'y ai passé 2-3 heure je crois.
                              Et je ne connais rien a la méthodologie, et mon gros défaut, je fait plus d'une chose a la fois :-°
                              Et c'est ma prremière pour ne rien arranger ^^
                              Mais c'est sur qu'après avoir fait ca, on a quand même bien réfléchi a beaucoups de chose.
                              Meci encore de vos conseils ^^

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                                2 mars 2006 à 14:58:28

                                De rien. Si t'as d'autres question n'hésite pas.

                                Et n'oublie pas que je n'ai fait de critique que sur la forme.. ;) Une fois que la forme est bonne, il te reste bcp de boulot sur le fond...

                                Bonne continuation.
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