Quelle déception de la part des employeur d'avoir un tel état d'esprit face au recrutement de nos jours.
Malheureusement, nous sommes confrontés a cette réalité, mais heureusement, nous pouvons inverser la tendance et proposer nos services.
Je suis convaincu par le Job Maker et cette méthode permettra d'ouvrir les embauches et facilitera les démarches pour obtenir un job qui nous correspond tous.
Il faut savoir se vendre, connaître ses compétences, ses acquis et mettre en avant son expérience personnelle et professionnelle pour venir a ses fin.
Après de courtes études et un job que j'ai pu trouver facilement à l'époque (en 2000) je me retrouve coincée à ne pas prendre de plaisir dans ce que je fais et les commentaires/conseils sont polluants : tu es dans un secteur porteur, tu ne peux pas changer de travail à ton age(39 ans), il faut de la stabilité,...
Cette vidéo est inter-générationnelle et m'encourage à me poser les bonnes questions pour enfin trouver le job qui me conviendra !
merci pour ce cours qui sera je l'espère salutaire
Voici une vidéo qui met bas certaine idées reçus, même s'ils ne sont pas neuves, il est bien de le rappeler. Je trouve par contre dommage que le mot "jeune" soit utilisé de façon si importante. L'évolution de notre regard sur le travail ne doit pas se limiter à un point de vue générationnel (même si le débat existe). La vision "moderne" du monde du travail est juste : cette évolution par rapport au modèle développer après guerre. De même que ce regarde positif à demander au "chercheur d'emploi" de ne plus se considérer comme quémandeur mais comme "force proposition". ... =)
Cette vidéo a effectivement beaucoup de sens. En effet, j'ai eu un parcours universitaire en France puis en Amérique du Nord. Le choix de l'université s'est imposé naturellement. Je sortais d'une école privée très stricte avec un cadre rigide. Je souhaitais de la liberté pour apprendre. Allez à l'université, être en lien avec des centaines d'étudiants venus d'horizons différents étaient pour moi une grande source de stimulation et d'enrichissement. J'ai adoré pouvoir travailler en autonomie. Mais j'ai compris qu'en Fr il y avait une hiérarchie "handicapante" entre l'Ecole et l'université...
Je ne suis plus jeune mais j'adhère tout à fait à l'idée "d'offreur de compétences et d'apporteur de valeur" et au discours sur l'ambition et la mobilité, le marché du travail étant en crise depuis plusieurs décennies, il ne s'agit pas d'en faire un prétexte. Etant en fin de carrière, difficile de me projeter, par contre cette détox aide à faire souffler un vent d'optimisme et à changer de point de vue. Apporter mon expérience, mon vécu et être immédiatement opérationnelle sont aussi des valeurs utiles à l'entreprise.
La vidéo m'a permis de comprendre qu'il ne fallait pas se voir en tant que demandeur d'emploi mais en tant qu'offreur de compétences.
Car dans notre société ne pas travailler est toujours mal vu et même lorsqu'on fait une reconversion professionnelle les gens essaient toujours de nous décourager.
Il est vrai aussi que les gens nous découragent lorsqu'on souhaite changer de voie ou de travail sous prétexte que c'est la crise.
Cette vidéo nous permets de prendre conscience de ses idées reçues et de valoriser nos expériences et compétences pour se distinguer.
Je pense qu'il faut aller au bout de ses objectifs et ne pas se laisser polluer l'esprit par les réflexions négatives et les peurs des autres.
Après avoir visionné cette vidéo je me rends effectivement compte qu'il n'est pas judicieux de se positionner en "demandeur d'emploi", mais que nous sommes aussi des "offreurs de travail". Je comprend qu'il est important d'avoir une posture d'apporteur de sa propre valeur, et d'avoir conscience de sa valeur ! J'ai longtemps été à la recherche du travail "prince charmant", je prends conscience que cela n'existe pas et qu'il faut faire des compromis.
La vidéo Detox fait écho à mes réflexions personnelles récentes. J'ai trouvé l'analyse de l'idée reçue n°2 particulièrement intéressante : les périodes de crise sont des périodes de création autant que de destruction. Ce phénomène a déjà été étudié en économie : les crises sont le produit d'innovations technologiques devenant obsolètes et laissant place à de nouvelles innovations. Avec le développement des nouvelles technologies, nous sommes actuellement très peu préparés aux métiers de demain. Les générations à venir devront s'adapter voire inventer les jobs qui leur correspondent.
je suis assez éloigné du monde du travail ''classique'' car je suis musicien et professeur de guitare en indépendant. J'ai eu néanmoins quelques expériences dans des écoles de musique et dans divers secteurs en tant qu'intérimaire.
Votre exposé ne me surprend pas outre mesure car il me semble qu'il est dans l'air du temps d'inciter les jeunes à être des "Jobmakers". Cette conception du travail est plus adapté à notre époque mais une partie du monde du travail n'a pas encore fait cette transition idéologique, ce qui peut créer ce décalage entre ancienne et nouvelle génération et qui peut donner aux jeunes ce sentiment de ne pas y être adaptés.
Personellement je ne suis pas très friand de l'idéologie libérale mais l'idée de flexibilité me plais, d'ailleurs le terme CDI m'a toujours plutôt angoissé au lieu de me rassurer. Je pense que le fait de changer régulièrement d'environnement de travail, de secteur, de tâches est bien plus enrichissant et épanouissant et permet de développer plus intensément son potentiel.
En tout cas je pense que ce renversement lexical entre demandeur d'emploi et offreur de compétence est très puissant et salvateur.
Les détoxs citées sont des point principaux rencontrées dans mon entourage/environnement. Je les ai déjà entendu par mes proches, mais je les ai lu/vu dans des journaux et ce de façon répété.
La vision expliqué dans la vidéo est une vision plus réaliste, plus actuelle. Une entreprise ne peut pas fonctionner sans travailleur. Sachant que toutes les sociétés ont besoin de recruter, pourquoi choisir votre société.
Un des points les plus importants, pour moi, est: l'évolution rapide de la société. Tout ces points nous emmènes à changer nos façons de fonctionner. En commençant par nous !
Ma réaction, après avoir visionné cette vidéo, est un peu de déception. Je ne pensais pas que cette formation ne concernait que les personnes jeunes n'ayant jamais travaillé. J'ai plus de 40 ans et je me pose beaucoup de questions au niveau professionnel ; et le titre du cours "trouvez un job qui vous correspond" m'a plus dans le sens d'une promesse d'enfin trouver ma voie ou peut-être me permettre de voir que je l'ai déjà bien trouvé. Que je n'ai pas fait le choix de ma carrière par défaut. Et je suis tout à fait d'accord avec le fait de combattre les idées reçues.
- La vidéo parle beaucoup des "jeunes". Je ne suis pas vieille, je ne suis pas non plus une jeune en début de carrière, je me suis donc sentie un peu exclue d'une partie de la vidéo.
- J'interviens en freelance en pole emploi pour la préparation aux entretiens d'embauche. Une partie du travail consiste effectivement à les transformer en offreur de compétence. Mais cette méthode, si elle est adaptée aux jeunes ayant fait des études, est peu efficace sur des jeunes (ou moins jeunes) caissiers ou manutentionnaires...
Merci pour ce cours qui est pour moi l’occasion de remettre en perspective certains clichés. J’utilise sans gêne le statut de chercheuse d’emploi car selon moi chercher un emploi, c’est déjà du travail. En revanche je trouve effectivement que des expressions comme « sans emploi, au chômage, demandeur d’emploi » sont dévalorisantes car elles induisent une passivité du job maker et un coût pour la société. Sans parler de ce qui se dit sur la génération Y. Si la notion de stabilité ne me semblait pas importante a priori, elle m'est malheureusement indispensable pour l'accès au logement.
Cette vidéo m'évoque une réalité du marché de travail qui est assez utopique à mettre en place, surtout en France. En effet, il est nécessaire d'adopter une attitude positive et donc une démarche de proposition de collaboration devant une offre de poste, plutôt que de se mettre à la merci des recruteurs et d'accepter toutes leurs propositions en niant notre "nous" puisqu'il faut "s'insérer" dans la vie active.
Mais l'essentiel est pour moi de pouvoir mettre des mots sur ce que l'on sait faire, valoriser notre "nous" qui nous fait différencier d'un autre candidat et nous fera exceller en étant plus performant dans notre travail et donc plus apporteur pour notre employeur.
- Edité par Soafara RAMANANTSOA 16 octobre 2017 à 14:55:25
J'avais auparavant la peur d'être inutile et toujours demandeur d'emploi, c'est presque quelque chose que je ne peux pas contrôler et ça me rend triste et sans moyens. Maintenant j'ai pris conscience que nous sommes des offreurs de compétences et non des demandeurs parce que c'est l'entreprise qui a besoin de ces fraîchement diplômés qui sont en réalité pleins de capacités et d'énergie à mettre en bon sens pour donner un plus à l'entreprise. le seul moyen de faire face aux exigences des entreprises, est de ne cesser d'apprendre (autoformation).
J'ai regardé avec attention cette vidéo, qui est assez orientée pour les jeunes qui rentrent sur le marché du travail, mais pour des personnes comme moi qui à 47 ans se retrouvent à nouveau sur le marché du travail et qui souhaitent en plus changer d'orientation, peuvent-ils avoir la même démarche ? L'âge étant un facteur important surtout pour le recruteur qui n'est pas forcément motivé pour recruter des quadras ou plus, le choix par défaut semble pourtant être une réalité !
Vidéo très intéressante qui me parle ! J'ai eu ce genre de discussion très récemment avec des collègues avec qui je fais un DU en ce moment. Malgré nos diplômes et expériences (doctorat en biologie pour la plupart) on nous dit qu'il faut accepter des postes très peu intéressants dans l'industrie pharma voir même des stages pour commencer, pour espérer trouver un job "bien" par la suite, parce que les industriels ont du mal a faire confiance aux jeunes diplômés, parce que c'est la crise, parce que qu'il y a trop de "demandeurs" et pas assez d'offres etc. Et je trouve cela hallucinant !
Les propos de cette vidéo correspondent tout à fait à la vision que j'avais déjà de la question après mes réfléxions personnelles et expériences de vie. J'ai choisi ma formation et mes expériences (bénévolat, stage etc) dans cet état d'esprit et je m'estime très satisfaite de mon parcours et confiante pour le futur. Une idée qui m'a positivement surprise et que je veux garder en tête pour le futur est celle de ne pas DEMANDER mais OFFRIR, et je pense que la culture et l'environnement français auraient tout intérêt à se diriger vers cette posture dans le cadre professionnel.
Bonjour, voici mon ressenti après le visionnage de la vidéo "détox"
Avec la méthode job maker le travailleur n'est plus en demande d'emploi mais en offre.
Il est donc demandé de connaître ses capacitès, être opérationnel, être mobile et savoir se vendre. Personnellement, j'ai eu des jobs qui me correspondent, pendant une dizaine d'annèe.
En ce moment ce n'est plus le cas, je travaille pour gagner ma vie.
Est ce que je trouverais le travail qui me correspond ? Pour l'instant c'est un peu flou !!! J'espère qu'a l'issue de ce cours je saurrais être en offre et plus en demande.
Je trouve que c'est un bon concept de vendre ses capacitès à un employeur.
Bonjour, Pour cette première série de vidéos je constate que vous visez surtout un public jeune, et pourtant il y a aussi des personnes moins jeunes qui sont en recherche d'emploi et qui ont aussi des projets. Surtout ne faites pas les mêmes erreurs que les pouvoirs politiques qui oublient ces personnes moins jeunes qui sont aussi ambitieuses que les jeunes. La réalité est qu'on a tendance à créer des frontières entre les gens, on peut avoir les clés, mais on est toujours dépendant de quelqu'un pour la réalisation d'un projet, ce qui amène les gens à faire des choix par défaut. Mon optimisme veut que je continue à poursuivre ce cours jusqu'au bout car il est quand même intéressant, il me permettra peut-être à me fournir d'autres outils qui me manquent. Je peux considérer qu'on vit dans un monde idéal où tout le monde est gentil et beau. Ce n'est pas par dépit que j'écris ces quelques lignes, mais en connaissance des causes.
En France on a trop de préjugés, quand on vous met dans une case il est difficile de s'effrayer un chemin. Je suis inscrit à plusieurs agences d'intérim, les personnes en face de vous ne souhaitent surtout pas que vous fassiez autre chose même en ayant acquis d'autres compétences avec d'autres formations.
- Edité par jesaisunpeu 28 octobre 2017 à 17:53:15
Un peu déçue par votre début de formation, qui est plus pour les débutants dans le monde du travail. Mais je vois que même senior, on se pose les mêmes questions. Pour ma part c’est surtout pour avoir un œil neufs sur « Identifier ce que je peux offrir » et « comment le vendre d une manière optimale »
Oui on ne fait pas (forcement) sa vie dans la même société ni dans la mème région. Parfois c’est un nouveau départ parfois nécessaire (chômage), voir une nouvelle région plus riche en opportunité ou un nouveau pays quand l’occasion se présente, que l’on soit junior ou senior il faut (pouvoir) rester mobile.
Savoir se vendre n'est pas enseigné à l'université mis à part les clichés du type "tu as tel profil alors tu dois demander xxx Euro" qui de plus n est pas forcement en phase avec le marché actuel
Voici des petites idées après avoir vu la vidéo sur les idées reçues.
Bonne lecture :-)
A part l'idée reçue que nous sommes des demandeurs d'emploi et non des offreurs de compétences, je pensais déjà que sur le marché du travail, les juniors sont une plus-value pour les entreprises. De par les contextes dans lesquels nous avons fait nos études ou nos formations les "anciennes" procédures de management ne sont plus viables pour les générations qui arrivent sur le marché. Ainsi, aujourd'hui nous avons des compétences numériques naturelles qui sont tout à fait adaptées à l'entreprise et nous sommes par définition mobiles en allant là où nos envies nous mènent.
Ma première réaction est de me sentir moins seule. Moins seule avec mon projet de réorientation professionnelle. Moins seule face à la masse de travail qui m'attend pour réaliser mes projets. J'ai toujours été fonceuse. Je ne sais plus quand, mais à un moment donné, j'ai perdu cette faculté de ne pas avoir peur de l'échec ni de l'inconnu. Après le visionnage de la vidéo, je retrouve un peu confiance. Je me suis étrangement remise au travail tout de suite. Je veux changer de vie, je souhaite mieux et plus pour ma famille. Si je n'entreprend rien, dans vingt ans je serai toujours à la même place, sans avoir observée une seule évolution. Il me faut préparer l'avenir et il est temps. Je n'aurai pas pensé que le site openclassroom serait fait pour moi et pourtant ...
Més réactions à la vidéo "détox". Le système de formation actuel n'est pas forcément en adéquation immédiate avec les besoins des entreprises actuelles. On nous apprend a être performant dans des disciplines et on nous évalue sur ces critères. Mais on ne nous enseigne que très peu le savoir être, savoir vivre, et on ne nous apprend pas à nous questionner sur ce que sont nos valeurs et qu'est-ce que nous voulons en faire. On devrait également nous enseigner les différents types de profils, et typologies ou caractéristiques des différents métiers afin de savoir pour quoi nous pouvons être fait. Par exemple: - si on a un profil plutôt de salarié ou d'indépendant - si on souhaite se dirigier sur la vente d'un produit ou de proposer un service - si on a besoin d'un cadre de travail stricte au niveau des horaires (p.ex. 8h-12h / 13h30-18h) ou qu'on souhaite pouvoir être autonome - etc... Par ailleurs, une autre croyance qu'on nous propose, c'est de nous dire que ce sera toujours mieux après... travaille bien à l'école et tu pourras choisir ta voie, travaille bien ton bac et tu pourras faire de hautes études, travaille bien à l'université et tu pourras choisir un super métier...
La plupart de ces points de vue sont souvent entendu dans la société actuelle et je trouve ça vraiment très négatif. Cette période n'est pas facile émotionnellement et psychologiquement et entendre ces réactions la rend encore plus difficile et pressurisante. Personnellement, je mets un point d'honneur à me définir comme "en recherche d'emploi" et non comme "demandeur d'emploi". Je trouve cette définition plus en mouvement, allant de l'avant et moins dans l'attente. Les arguments de Julie Coudry sont positifs et dynamiques. Ce qui met en bonne disposition pour trouver le "bon" travail !
En ce qui concerne les autres réactions que je peux lire, je suis contente de voir que tout le monde réagi positivement à cette vidéo et se sent plus fort. Nous sommes acteur de notre recherche et de notre futur !
Je pense très sincèrement que Julie Coudry a éclairé de manière intéressante et très pertinente les problèmes que les jeunes font face aujourd'hui, et cela avant même de commencer à chercher un emploi. J'ai pour ma part toujours été surprise d'entendre que les entreprises voulaient que les jeunes aient de l'expérience avant même de commencer à travailler dans le secteur d'activité demandé! Comment cela est-il possible alors que les jeunes sont en perpétuelle découverte? Cette vidéo m'a beaucoup aidé à apporter un autre regard sur la façon d'appréhender la recherche du job qui me correspond.
J'ai trouvé la vidéo detox très intéressante. Je suis moi même dans une phase de recherche d'une nouvelle opportunité suite à un plan de départ volontaire. La vidéo ma fait prendre conscience que je n'étais pas simplement un demandeur d'emploi mais que j'avais clairement une offre à proposer aux entreprises. Et on a souvent tendance à l'oublier. Elle m'a aussi fait réaliser que c'est un état d'esprit qu'il faut avoir pour rebondir efficacement dans le monde professionnel. Je regrette juste que la vidéo soit focalisée sur les jeunes. Ayant 42 ans, j'aurai aimé un discours un peu plus large en terme de public ;-)
Je ne suis pas d'accord avec la 1ère idée reçue , on a nous aussi nos talents, des compétences, et déjà de l'expérience mais c'est vrai qu'on nous a jamais appris comment identifier clairement nos talents, compétences. 2ème idée reçue, moi je pense qu'il faut faire comme si la crise n'existait pas, ne pas en tenir compte pour pas créer de freins pour la construction de son avenir. 3ème idée reçue, j'ai été surpris par cette manière de voir les choses, plutôt être un apporteur de sa valeur pour les entreprises. 4ème idée reçue, moi je suis pour la mobilité et l'adaptabilité
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Mohammed Rzini