Je me suis beaucoup retrouvée dans cette description faite et, surtout, j'ai reconnu la mentalité de l'entourage encourageant à toujours plus de sécurité. "Avoir un travail pour réussir sa vie et être considéré en société" finalement. J'ai beaucoup aimé la partie concernant les demandeur d'emploi. Si vous n'avez pas de travail, vous êtes obligatoirement demandeur d'emploi et mis dans une case d'où il est impossible de sortir. J'aime l'idée de voir ce statut différemment, comme une offre plutôt qu'une demande. Je m'interroge cependant encore sur comment concilier l'offre et la demande.
Je crois que les entreprises ont du mal à évoluer dans le temps. Souvent les dirigeants sont issue d'une période où le monde de travail était plus porteur, où l'on cherchait à stabiliser les employés dans leur emplois de façon à pérenniser une entreprise. De nos jours nous bénéficions d'une avancée technologique qui fait qu'il faille constamment mettre à jour ses connaissances et c'est en cela le point fort des jeunes diplômés qui intègrent les entreprises avec des concepts modernes et novateur.
Ce que je retiens de la vidéo "détox", c'est d'abord la nécessité de se mettre en mouvement pour pouvoir rebondir, élargir son champ de vision en s'ouvrant à des idées et des opportunités que l'on n'a pas prévu ou imaginé. On ne développe pas assez la capacité d'adaptation dès l'école, or elle est indispensable ! En connaissant mieux ses compétences et ses envies, on peut être force de propositions et d'initiatives et agir de manière constructive sur son parcours professionnel et ne pas rester passivement "un demandeur d'emploi". Merci de mettre en lumière ces aspects et de nous rappeler que nous avons bien une capacité d'action pour mener nos vies !
La vidéo est très intéressante est reflète bien ce que j'ai ressenti au moment du choix d'étude que ce soit en fin de collège ou au lycée. Notre entourage en général nous presse afin de donner, souvent dans un délai court, un nom de métier "raisonnable", "durable" dans lequel nous allons pouvoir gagner notre vie. Bien entendu, nous avons très peu d'informations sur les métiers existants et les formations pour y accéder. A ce moment de notre vie, la vie professionnelle est un monde flou dans lequel on a des difficultés à se projeter. Ce qui nous amène bien souvent à des choix par défaut.
Par ailleurs, la vidéo parle uniquement des jeunes. Toutefois, on peut être à tout moment de notre carrière amener à se poser des questions sur la cohérence de notre métier avec le marché du travail et nos valeurs qui changent et évoluent avec la vie.
Je ne me suis sentie qu'à moitié concernée par la vidéo, qui parle beaucoup des jeunes d'aujourd'hui. Pour autant, les conseils sont déclinables et les a priori cités sont présents, trop présents encore dans notre société, surtout de le part de personnes qui n'ont jamais eu à changer de travail, à se remettre en question face à la conjoncture. Cela fait un certain temps que j'ai quitté le système scolaire, et c'est seulement après avoir été en plein emploi et d'un coup sans rien que je me suis posée toutes ses questions : avoir juste un job ? ou trouver un job qui me corresponde au mieux... ?
Je suis totalement en accord avec le fait qu'il ne pas viser la stabilité mais plutôt aspirer à la mobilité. Je l'interprète à ma façon : il ne s'agit pas de tout accepter ou de changer sans intérêt par insatisfaction mais plutôt de conserver, tout au long de son parcours professionnel la curiosité suffisante pour faire naître les opportunités, se renouveler et donc ne pas s'ennuyer. Les métiers évoluent et se transforment en permanence, c'est ce qui est passionnant. J'adhère aussi à cette posture d'"offreur de compétences" qui me redonne de l'énergie et qui ouvre j'ai l'impression au dialogue et à la rencontre professionnelle.
Tout d'abord merci vraiment pour ce cours ! Je suis en pleine remise en questions... Après avoir arrêté mon mastère communication, je désespére à trouver ma voie, et je ne sais pas comment faire, mais je place beaucoup d'espoir dans ce module ! C'est vrai que je suis un peu dans la situation ou je n'ose pas à cause des idées et des préjugés reçus ! j'ai d'ailleurs eu plusieurs personne de mon entourage qui s'inquiète et ce demande pourquoi je ne pousse pas à trouver un métier dans la communication... et il est vrai que c'est le coté sécurité de l'emploi qu'ils voient pour moi... mais pas moi, j'aspire vraiment à trouver mon chemin et mon projet professionnel.
Il est vrai que, de nos jours, on nous pose en victime du système. Nous ne sommes pas une force active pour la société mais nous devons nous adapter aux demandes, sans prendre en compte nos capacités. Pour chaque recherche d'emploi, finalement, j'ai du me plier à ce que l'on veut bien entendre, sans mettre en valeur mes réelles capacités. Et aujourd'hui, après avoir changé 10 fois de jobs, que puis-je en conclure ? Qu'il faut mieux se connaître et cesser de vouloir plaire à tout prix. Peut-être, enfin, je pourrai voir plus clair dans mes capacités.
J'ai travaillé à l'étranger pendant 12 ans ( jamais en France) et actuellement demandeur d'emploi. Ma carrière était enrichissante mais il me manquait quelque chose: le sens, le pourquoi. Je pense que le travail n'est pas uniquement un ensemble de taches à effectuer mais un ensemble de valeurs universelles, propres à la personne, un engagement à respecter, une source d'épanouissement. C 'est la raison pour laquelle, je me suis permise une période de réflexion pour mettre à plat mes acquis et redécouvrir d'une manière différente mes valeurs, mes compétences.
Tout ces points me semble plein de bon sens et prometteur d'une démarche positive, malgré cela, le point auquel je me heurte souvent lors de changement de cap professionnel est le manque d'expérience.
Si le rythme des changements de domaine ou de poste est d'environ 4 ans, nous devenons tous les quatre ans de jeunes travailleurs dans ce nouveau milieu. Au delà de notre inadaptation, les employeurs mettent en avant un manque d'expérience. Toute la difficulté réside donc dans la mise en valeur de nos atouts ou compétences, même si nous sommes dans une posture d'offre de nos propres services. Cette action proche d'une vente de nos qualités peut vite tourner court si la question de l'expérience se pose…..
tout le travail pour moi est là et Jobmaker peut sans doute m'y aider.
Les conflits générationnels existent depuis toujours et les quatre assertions énoncées n'ont rien de surprenant.
Cependant, les entreprises innovantes et/ou technologiques recrutent majoritairement de jeunes diplômé(e)s.
Il faut également se rappeler que toutes les inventions ou innovations majeures ont été faites par des personnes âgées de moins de 30 ans.
Pour ma part, je suis titulaire d’un Master universitaire travaille depuis 18 ans en secteur financier et évolue depuis 10 ans au sein de la même entreprise.
Pourtant, je n’arrive même plus à voir mes compétences ou la plus value que je peux apporter, mes motivations personnelles ou mes envies.
Ma première impression fut : " l'idée "détox" abordée dans la vidéo est très accrocheur.
En effet, J'ai beaucoup de compétence mais par où commencer ? Étant en situation de "demandeur d'emploi", ayant été confronté aux phrases type " vous n'avez pas assez d’expériences".
Par conséquent, je me suis souvent demandé quelles sont les compétences qui me permettront de me démarquer dans un milieu de travail en constante évolution ? Est-ce que ce cours pourra vraiment m'aider à élaguer, profiler, aiguiser voire, découvrir les compétences jusque-là inexplorées.
Je suis très curieuse de voir l'aboutissement de cette activité et l'impact que cela aura sur les décisions futures.
Petit retour de ma part suite à ce premier exercice (même si les 600 signes m'ont un peu limité dans mon raisonnement) :
Durant mes études, j'ai rencontré une intervenante qui a tenu le même discours, notamment sur notre position lors d'un recrutemen. En clair : nous avons quelque chose à offrir à l'employeur, il a besoin de nous et nous lui offrons une solution, et pas l'inverse.
Malheureusement, en cherchant mon premier emploi, les remarques des proches, des professionnels et de la société en général, m'ont vite fait oublié ce conseil. Il est très plaisant de l'entendre à nouveau. Je suis tout à fait d'accord avec tout ce qui a été dis, même si je vais avoir du mal à me séparer du terme "demandeur d'emploi".
Je fais désormais parti des « séniors » du monde du travail, tout en gardant de l’optimisme et l’envie de changer.
Toutefois, ayant demandé plusieurs fois le soutien financier (fongecif) dans le but d’une reconversion, et ayant obtenu des réponses négatives, je suis dans l’impasse, et, ne connais pas d’autres solutions adaptées à mon cas.
Ce n’est pas un problème de mobilité, mais, c’est un problème de financement et de formations qui me sont indispensables.
Bonjour, Merci pour cette introduction. Effectivement, il est tout-à-fait primordial d'intégrer le fait que l'entreprise est elle aussi demandeuse de talent(s). Comme tout accord, le contrat de travail doit satisfaire les deux parties pour être viable et équitable. La question de fond réside donc dans les compromis que l'on est prêt à faire, étant entendu que si notre passion touche à un secteur peu porteur, il faudra vraisemblablement en faire plus. Inversement, si l'on cherche un travail dans un secteur porteur, il est probable que moins de compromis soient à consentir pour décrocher le job
Je suis d'accord avec ce qui est dit dans cette vidéo . Durant toutes mes études , j'ai toujours entendu , qu'il fallait choisir un métier avec des débouchés . Pour être sur d'avoir un travail stable et sécurisant . Qu'il ne fallait pas être trop ambitieux dès le départ . Personnellement j'ai été amené à faire un travail qui ne me correspondait pas , par obligation pendant 5 ans . Résultat , j'ai fini par démissionner car ce travail me rendait malade . Aujourd'hui je cherche ma voie et un travail qui me corresponde vraiment . Il est vrai aussi que dans notre société , les gens sans emploi sont très mal perçus . Pôle emploi nous catégorisant dès le départ de " demandeurs d'emplois " . Je pense qu'il est temps aujourd'hui de changer de façon de penser , autant les entreprises , que les personnes qui proposent leur compétences . Il y a peu de temps , j'ai croisé une personne , qui aide les autres à mettre en valeur leurs compétences .
La première chose qu'il m'a dit : " vous n'êtes pas à la recherche d'un emploi , vous proposez des compétences à une entreprise "
je me suis déjà fait des réflexions sur le fait de "s'insérer durablement" j'ai un parcourt scolaire et professionnelle très mouvementé et j'ai toujours peur que ça me porte préjudice, que les employeurs se disent que je ne suis pas stable, que je ne vais pas rester dans leurs entreprises... Etre dans une position d'offre et non pas de demande me parais difficile. Je pense que ça demande une bonne confiance en sois et en ses compétences.
Tout d'abord merci Julie pour ces quelques vidéos claires, pratiques et instructives.
Votre ton et votre sourire donnent un coté vivant et animé à ce MooC ce qui est très agréable.
Etant senior et ancien chef d'entreprise en recherche de travail, je pense que rechercher un travail est un job à plein temps pour lequel il faut sortir de nos croyances limitantes et que nous devons aborder avec l'idée que nous sommes des ressources, des centres de compétences et non comme des objets de consommation (Mouchoir en papier que l'on jette après usage).
Je remarque que vos 4 grandes idées développées dans ce MOOC sont parfaitement applicables aux seniors.
Cette vidéo m'a donné le sentiment de s'adresser principalement aux jeunes. Bien sûre, ce sont eux les premiers concernés par une recherche d'emploi, mais qu'en est-il des personnes plus âgées, voire 'mûres' qui l'on perdu ou quitté parce que, finalement, cela ne leur correspondait pas ou plus ? Avant de trouver un job qui nous corresponde, ne faudrait-il pas trouver la formation qui nous permettra d'avoir les compétences pour exercer le job qui nous correspond ? Pour cela, il faut d'abord savoir déterminer ce qui nous correspond, et espérer qu'un travail correspondant existe !
J'espère que la suite du cours me permettra de confirmer que je ne me suis pas trompé dans mon choix de reconversion et que je suis sur la bonne voie pour trouver le job qui me correspond !
La vidéo "Détox" me parle beaucoup car c'est la situation dans laquelle je suis et se sont les constats que j'ai fais dans ma quête de recherche du job qui me correspond. Cette recherche est longue et stressante car, c'est tentant de se reconvertir dans un métier très recherché mais qui ne me plaît pas vraiment. J'ai déjà essayé cette solution et cela n'a pas fonctionné. Je crois aussi qu'il faut créer son job, en tenant compte de la réalité du marché du travail et de l'instabilité dans laquelle on est, mais cela, toujours en s'écoutant. Nos dons, compé
La mobilité professionnelle ou géographique est avant tout intellectuelle! Il faut décider de son parcours et en être acteur puis s'en donner les moyens. l'échec n'existe pas, chaque expérience doit être un apprentissage vers autre chose. Lorsque l'on se positionne comme offreur de valeur,alors on est plus convainquant.
Ce qui m'a le plus marqué dans cette vidéo c'est cette appellation de "demandeur d'emploi" qui sonnait justement jusqu'à présent puisque habituée à être classé dans cette catégorie mais qui ne fait plus sens désormais. Nous avons été conditionnés depuis l'école à être en demande, à entrer dans un moule sauf que, quand on ne rentre pas dans le moule, comme j'en ai eu la sensation, on ne trouve pas sa place et la motivation se perd. La société ne nous apprend pas à nous émanciper, à créer de nouvelles opportunités, mais plutôt à répondre à des besoins existants, sans trop réfléchir, à se rendre utile. Et dès qu'on se retrouve sans activité, perdu dans sa vie professionnelle à ne plus savoir ce qui nous correspond réellement et quelles sont nos compétences on se sent réellement inutile.
Heureusement, les esprits s'ouvrent de plus en plus à de nouveaux modes de vie professionnels. L'important est de se diriger vers une activité qui nous apporte du bonheur, qui fait, comme le dit Julie, "sens" en nous. Pas facile de le concrétiser dans notre réalité mais finalement nous sommes notre propre obstacle par le fait de nos conditionnements. Il nous faut croire en nous.
Je trouve cette vidéo tellement représentative de la réalité du monde du travail, pour les jeunes comme pour les moins jeunes d'ailleurs. Merci de nous rebooster, de nous faire prendre conscience que nous avons beaucoup de choses à offrir par le biais de nos expériences, compétences, quelles qu'elles soient.
Je me suis retrouvée dans cette vidéo surtout lorsqu'on a évoqué la case "demandeur d'emploi". Nous représentons des ressources en compétences en constante évolution et le fait de prendre du recul par rapport au marché du travail nous fait penser qu 'avec de l'expérience, le travail est surtout une source d'épanouissement, un moyen de mettre en valeur sa personnalité. Mais pas facile, car nous sommes limités par nos peurs et on a tendance à se dire que nous ne sommes pas assez qualifiés pour tel poste. Un travail sur soi est plus que vital pour une meilleure estime de soi.
Je suis tout à fait d'accord avec Julie, je me suis reconnue dans cette vidéo notamment à travers les messages négatifs que l'on nous transmet depuis l'enfance. De la primaire à l'université, je n'ai effectivement pas le souvenir que l'on m'est poussé à m'accomplir professionnellement!Quel dommage!
Je retiens de cette vidéo, que j'ai des compétences et une énergie à offrir, que les entreprises ont besoin de moi et que je vais me mettre enfin en valeur afin de trouver le job qui me correspond!
Pour moi, les idées reçues citées sont réelles ! En effet, étant jeune et sortant de l'école, j'ai été confrontée à ces idées (ce qui s'est ressenti notamment dans le fait que, quand je cherchais un job, certaines entreprises voulaient des personnes ayant déjà de l'expérience...). Comme il est dit dans la vidéo, les jeunes ont une véritable valeur, ils peuvent apporter des choses nouvelles, notamment aux personnes qui sont présentes depuis longtemps dans une entreprise et qui ne se seraient pas mises à la page.
Concernant l'ambition professionnelle, il est vrai que j'ai eu à me montrer raisonnable... Premièrement parce que le métier que je cherchais ne courait pas les rues... Deuxièmement parce qu'en tant que jeune diplômée, je ne me voyais pas demander des choses qui pouvaient sembler au-dessus de ma valeur...
Pour ce qui est du fait que quand on ne travaille pas, on est demandeur d'emploi. Certes, oui ! Mais c'est un véritable job de chercher des emplois et de se préparer à se mettre en valeur lors d'un entretien. Il y a également un réel travail de motivation, car lorsqu'on passe plusieurs entretiens et que l'on a des réponses négatives, on a tendance à se dévaloriser et à penser qu'on ne trouvera jamais d'emploi.
Quant à s'insérer durablement, je suis partagée. En effet, si l'on trouve le travail "idéal", pourquoi partir. Après, il est vrai que cela peut nous aider à rebondir et à faire des démarches, des projets auxquels on avait pensé à un moment où on ne se sentait pas près, et pour lequel l'emploi que l'on a trouvé nous a aidé à trouver les clés.
Ma réflexion : "J'ai pris conscience de tout ce qui a été dit dans la vidéo il y a déjà quelques mois car je n'étais pas satisfaite du poste que j'occupais alors que c'était ce que je désirais auparavant. Je suis d'accord avec tout cela (offreurs, compétences, adaptation, création de valeur, numérique) mais je me sens incomprise car peu de personnes voient les choses de la même manière."
Je suis d'accord sur les points développés suite à l'idée reçu 1. Concernant la 2, même si en théorie je suis d'accord, dans la pratique selon le secteur ou le métier ciblé, je pense qu'il faut s'armer de persévérance, de travail et dans certains cas, être capable d'amener une nouveauté. Même si choisir un métier parce qu'il y a du travail dedans ne m'apparait pas non plus comme la bonne solution. C'est vrai que je ne m'étais jamais dit qu'on pouvait être offreur de quelque chose sur le marché du travail. Je pense que cette idée devrait m'aider par la suite. Concernant l'insertion durable, c'est vrai que le CDI est toujours présenté comme le saint-graal et paradoxalement plus personne ne s'imagine qu'il va passer toute sa vie dans la même boite.
Je me sens en parfaite adéquation avec ce discours et la posture à adopter. Trop souvent, je me suis retrouvé devant un mur que je ne savais appréhender. Ce n’était pas le manque d'appétences, mais plus l'angle d'attaque qui m’échappait.
Dans une optique de création d’entreprise, j’apprends à démystifier et dédramatiser l’accès au travail. De la posture passive du demandeur d’emploi comme vous le signifiez si bien, je passe à une démarche pro-active où le dialogue entre en jeu, et façonne une nouvelle dynamique qui redonne la pêche et le sourire.
De plus, je n’ai pas à me renier quand je me vends. Bien au contraire, non seulement, j'enrichis mon carnet d'adresses, mais on me montre une attention et des conseils qui m'autorisent à rectifier mon offre pour mieux cerner mes cibles. Je savais que c'est par l'action, en faisant, qu'on aiguise la confiance en soi. Maintenant, j'intègre une autre réalité : le monde de l'entreprise s'est se montré bienveillant dès l'instant où son expertise est sollicitée, car l'échange, me dit-on, est toujours enrichissant voire créateur.
Ainsi dois-je continuer à me nourrir d'approches similaires à la vôtre, des échanges avec les employeurs et mes pairs pour valoriser mes atouts et compétences.
Merci pour le point de vue renouvelé et l’agilité qui s’en dégage, nous investit et nous gagne.
En visionnant cette vidéo qui s'adresse avant tout aux jeunes en recherche d'un premier emploi (ce qui n'est pas mon cas, d'où un certain sentiment d'exclusion), la notion d'être en position d'offre plutôt qu'en situation de demande m'est apparue particulièrement importante et très juste. Dans mon parcours, c'est une notion qui a été pratiquement inexistante. Se positionner ainsi exige me semble-t-il une bonne connaissance de soi et de ses atouts, ainsi qu'une grande confiance en soi.
Tout d'abord un grand merci à Julie pour ce cours qui est une petite révolution en ce qui me concerne.
J'avoue être surpris de constater que j'ai la possibilité d'adopter la posture de celui qui offre ses compétences plutôt que d'être un demandeur d'emploi. Pour avoir grandi dans un environnement où le mot d'ordre est d'avoir un CDI et de le conserver pour des raisons économiques ou de stabilité (à fortiori si on a une petite famille à nourrir). A posteriori, je me rends compte que j'ai perdu du temps, et ose espérer qu'il n'est pas trop tard de s'y mettre dès l'âge de 40 ans. Offrir ses compétences revient à les avoir déjà cernés, bien se connaitre et probablement savoir ce que l'on veut. Ce qui n'est pas forcément le cas de tout le monde.
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J.B