Semaine 1 - Changez de point de vue

- Réaction à la vidéo détox -

#1 Le soucis d'adaptation des jeunes au monde du travail est archifaux.
On sait que l'homme n'aime pas le changement de manière générale.
Le soucis tient donc plus du fait d'une génération passé qui veut garder la maîtrise d'un savoir faire daté dans le monde actuel. Un monde en mouvement constant et qui n'attend plus des dizaines d'années pour se renouveler.

#2 L'ambition implique une vision différente de notre environnement

Les employeurs sont encore pour beaucoup des personnes issues de la génération précédente. Et à l'école, c'était pareil.

Tout ce que l'on incube, depuis notre enfance, est un mode de pensé datée. Un mode de pensé, qui ne pense souvent qu'à court ou moyen terme, en rapport avec son époque.

L'ambition, c'est penser plus en avant, penser en dehors des modes de réflexions courants et de se servir des moyens (nouvelles technologies) qui nous sont offerts dans le monde actuel.

#3 Offreur de compétences. Je suis entièrement d'accord avec cette vision. je m’efforce d'ailleurs de penser dans ce sens depuis quelques mois. Et j'espère que les cours m’apporteront des outils pour gagner en confiance. On la perd quand on n'a pas pu les utiliser en entreprise.

#4 L'insertion durable n'existe plus. Quand on voit le nombre d'offre d'emploi qui demande à avoir plus de 5 années d'expériences, on ne peut plus en douter. Le monde change, des métiers nouveaux naissent chaque jour et nos attentes (ambitions) professionnelles et personnelles se renouvellent plusieurs fois au cours de notre vie. Et La majorité des entreprises recherchent des compétences précises, pour effectuer un travail précis et pour une durée déterminée. Comment dans ce cas pouvons-nous croire à l'insertion durable dans un monde en mouvement constant ?

Concernant le job idéal, je suis d'accord. Oublions un peu notre utopie et voyons plus clairement.

- Merci pour ce cours -

VIDEO DETOX : réactions

Mes réflexions personnelles m'avaient amenée au même constat : trop de réflexions négatives empêchent l'esprit d'initiative et sabrent la motivation, l'énergie et l'enthousiasme des jeunes. Il y a également une autre réflexion qu'ils entendent : faites des études longues, sinon vous ne trouverez pas de travail. Ma fille de 15ans s’est donc demandée : pourquoi est-ce que je consacrerai autant d’années à étudier, alors qu'on me rabâche qu'au cour de ma carrière, je changerai plusieurs fois de métiers ? A l’heure où les jeunes devraient s’orienter avec bonheur dans une filière qui leur corresponde, on ne leur offre qu’anxiété et crispation, et on ne répond pas à leur angoissante question : qu’est-ce que je veux faire plus tard ?

En ce qui me concerne, après 20 années de carrière professionnelle subies, j’ai arrêté de travailler pour faire le point (en temps de crise, c’est culotté, je sais !). J’ai acquis des compétences, je connais mes zones de confort et d’inconfort, je suis dans la démarche d’offre et non de demande (intox 3 assimilé !), mais je ne sais toujours pas quoi faire (retour à la case départ de mes 18ans). Que puis-je faire de ces capacités professionnelles, à qui / quoi puis-je en faire bénéficier dans un travail qui me corresponde et qui me passionne ? Il existe une autre réflexion que l’entreprise assène : le manque de confiance en soi et le besoin de reconnaissance. Or je pense que ces deux états d’esprit sont des conséquences, et non des causes, à dépenser une énergie folle dans un travail qui ne convient pas à notre personnalité naturelle.

Je suis curieuse de voir la suite de ce module, et je l’aborde avec enthousiasme et confiance.

Merci pour cette offre ! 

test

Je souhaite plus particulièrement m'attarder sur le premier point de la discussion soulignant les avantages que peuvent apporter la jeunesse pour une entreprise. Il est indéniable en effet que les "nouvelles générations" sont plus à même d'appréhender les nouvelles technologies et évolutions que les personnes en poste depuis quelques années dans une compagnie sans avoir bénéficié de formation pour actualiser leur savoir. Toutefois, je tiens à préciser que la cohabitation voire la symbiose entre nouvelles recrues récemment diplômées et personnel en poste est possible à la seule condition à la seule condition que les nouvelles recrues fassent preuve d'humilité. En effet, qui n'a pas qualifié un jour les jeunes diplômés de loups prêts à tout pour arriver en haute de l'échelle et pour  paraître plus compétents, plus intelligents, plus "plus" que les autres et qui n'a pas croisé au cours de sa carrière professionnelle un collègue en poste depuis quelques années regardant le nouvel arrivant de "travers" et retenant toute l'information qu'il a en sa possession par simple crainte d'être licencié. C'est à ce stade que la subtilité des relations humaines prend toute sa signification. Comment réussir que des êtres au parcours, au vécu et ressenti différents puissent s'unir pour devenir une force vive pour l'entreprise.

Bonjour,

Voici ma réaction par rapport à la vidéo postée et plus particulièrement par rapport au idées reçues.

Il est vrai que j'ai toujours entendu que les jeunes de ma génération (appelée la génération Y) n'était pas adaptée au monde du travail. Je suis dans un secteur industriel et il est vrai qu'il est difficile d'envisager pour ma hiérarchie que je puisse un jour avoir d'autres inspiration ou que j'ai envie d'aller postuler dans d'autres entreprises. D'ailleurs, ceux qui démissionnent sont tout simplement ceux qui n'ont pas su "s'adapter à l'entreprise", or comme dit dans la vidéo, j'ai tendance à penser que c'est à l'entreprise de s’adapter et non l'inverse.

Le deuxième point qui a attiré mon attention est le fait de dire "Il n'y a pas de demandeur d'emploi mais plutôt une personne qui offre des compétences." Actuellement en recherche d'un job plus intéressant que ce que j'ai actuellement, je ne savais pas comment aborder ma recherche d'emploi. Cette vision d'"offre de compétence" est dans ma démarche un grand bon en avant. Il est vrai qu'avec 5 années d'expérience dans mon domaine, j'ai développé beaucoup de compétences que je peux aujourd'hui offrir!

Bonjour à tous,

Les générations vont-elles se combattre perpétuellement ? 

Chaque génération vient avec son lot de changements et bouleverse les habitudes. Dans le marché de l'emploi il n'est pas surprenant que les jeunes diplômés passent pour incompris. Je vis cette situation toutes les fois que j'offre mes compétences au lieu de demander un emploi (cet exemple suffit)

Notre combat n'est pas seulement de nous faire une place dans les entreprises ou dans nos sociétés mais aussi de ne pas véhiculer d'autres idées reçues sur les futures générations. 

Le mythe de cronos n'est pas loin de notre réalité.

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Edité par Sparrot 10 novembre 2014 à 18:39:13

C'est une vidéo que j'ai bien aimé et entre en résonance avec d'autres recherches que j'ai faites:
on est pollué par toutes sortes de croyances créées dans le but de nous rassurer et d'expliquer ce qui nous échappe. Dans la même optique, on intègre les idées des autres (parce qu'ils sont nos modèles, parce qu'ils sont plus nombreux à penser ça) et ça devient notre réalité alors qu'on sent souvent qu'il y a un décalage. C'est très bien expliqué dans "L'homme qui voulait être heureux".

Voilà maintenant 8 ans que je travaille, j'ai changé plusieurs fois d'employeurs mais je n'ai jamais été satisfaite d'un point de vue environnement de travail. Je me pose aussi la question de l'évolution car mon boulot ne permet pas ce genre de chose. Je me rends compte que j'ai un peu plus d'ambition que ce que je croyais.

La notion d'offrir ses compétences est très intéressante, elle est abordée dans le "bilan de compétences" de Pôle Emploi mais malheureusement pas assez creusée (à mon goût) et j'ai vraiment encore du mal à les définir. J'espère que ce cours m'aidera

Personnellement, ça ne me fait pas peur de changer d'employeur ou de boulot. J'aime la polyvalence et j'aime la mobilité pour les nouvelles connaissances qu'elle va m'apporter. Mais il y a un petit bémol: je viens de tester l'intérim et les grosses entreprises vous considèrent comme un produit prêt à consommer, taillable et corvéable à merci qui se doit bien sûr d'être parfait (jeune, mais avec l'exacte expérience du poste, prêt à s'investir dans l'entreprise et à se battre pour sa place, se devant de partager les astuces apprises dans d'autres endroits mais qu'on peut éjecter à tout moment ou dont on décide des congés, mais toutefois totalement innocent (et ce sont généralement les touts jeunes sans expérience qui sont comme ça (vous suivez la logique des entreprises?)) afin qu'ils ne se rendent pas compte que leur patron est parfois injuste, qu'il ne fasse pas d'esclandre ou pouvoir restreindre leur droit). Donc, mobilité, oui mais il faudrait aussi revoir la mentalité de beaucoup d'entreprises et leur faire comprendre que ce ne sont pas toujours elles qui fixent les règles du jeu ou alors mieux éduquer les futurs travailleurs sur cet état d'esprit.

Bonjour à Tous,  

voila ma réaction :

"Arrêter de chercher un emploi mais commencer a vendre ce qu'on peut apporter",ce genre de phrase fait tilte chez moi et m'ouvre un point de vue inédit sur la recherche de....non pardon, sur la vente de mon potentiel :). Voila des idées fraîches sur l'approche du travail dans l'etat ou il est actuellement, la en 2014 et non pas à l'époque de la mystérieuse  "grandeur de la france" qu'on peut souvent entendre dans la bouches des politiques. Je me reconnais parfaitement dans cette faille d'orientation qui m'a amené à faire un bac s qui "ouvre toutes les portes" mais qui laisse une salle vide. 600 sigles

Bonjour,

Je trouve que le discours est très intéressant.

Dans certains situations, il vaut mieux d'accepter un job et de continuer à se former pour trouvé le job souhaité.

Et en regardant cette vidéo, j'ai remarqué qu'on a pas cité le mot "anglais", pourtant, à notre époque, l'anglais deviens presque indispensable. Quand je passe des entretiens d'embauche, on demande toujours mon niveau d'anglais, car l'entreprise peut avoir des clients étrangers. 

Le conseil que je peux vous donner c'est d'avoir une certificat qui permet d'évaluer le niveau d'anglais à la fin de vos études, même si l'université ne le demande pas pour avoir le diplôme.

Bonjour à tous,

Je vous met ci dessous ma réaction par rapport à cette vidéo.

Juste pour situer, j'ai 39 ans, j'ai 15 ans de missions à mon acquis et là je suis à la recherche d'un emploi pour me rapprocher de ma famille qui vit en zone frontalière Belgique/France. Je me suis inscrite à ce cours afin de mieux cerner mes envies et orienter de manière plus efficace ma recherche.

Merci à vous

Cécile

"Intox n°1 : oui et non, sans doute l'enseignement pourrait inclure des clefs pour faciliter cette adaptation, certains n'auront pas de problèmes car 'touche à tout'

Intox n°2 : Vu la difficulté à avoir des promotions ou des augmentations de salaire, il vaut mieux taper dans un 'créneau' salarial qui nous soit confortable

Intox n°3 :  Je n'avais pas du tout vu ce point de vue là et en effet c'est une très bonne réflexion

Intox n°4 : La mobilité peut faire peur car pour certain le changement est lié à l'insécurité.

Vidéo très intéressante qui ouvre certains horizons de réflexions"

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Edité par cecilebracke 10 novembre 2014 à 21:40:31

Les fausses idées reçues sont nombreuses dans le monde professionnel. Depuis 7 ans que je suis en France j'ai changé 4 fois de Job. La réflexion que mon père m'a donnée est de me demander si je suis conscient pour ma retraite. Ça fait 12 ans que je travaille et j'ai toujours une sorte de peur comme si je venais de commencer à travailler. D'où nous viennent ces peurs? Pour moi cela vient en partie de ces fausses idées. Le monde a changé mais les universités et les sociétés n'ont pas changées. Les conséquences de ces idées reçues sont que nous restons sur très petite partie de nos capacités.

Il serait peut être temps de corriger les activités non?

Réactions à la vidéo « Détox »

Bonjour Julie,

Tout d’abord merci pour ce cours que vous offrez et bravo ! J’explore votre cours que je viens de découvrir ce jour alors que j’ai déjà entamé ma transition de carrière : un grand saut. Celui d’avoir été salariée dans le monde des assurances pendant des années à celui du monde travailleur autonome dans le milieu de la communication-médias pour être en lien avec mon essence de communicatrice et de révélatrice de la valeur des autres.

Je constate que la vidéo est axée sur les jeunes, est-ce en lien avec votre vécu et votre jeune âge 25-30 ans ?

Idée détox numéro 1 :

Je pense que cette idée mériterait d’être complétée car cela s’adresse à tous les âges, et aussi lors de transition de carrière, voire aussi la retraite, cette remarque est valable pour les 4 idées reçues que vous émettez

Idée détox numéro 2 :

Savoir faire preuve de résilience

Idée detox numéro 3 :

Oui tout à fait d’accord et bien vue J !

Idée détox numéro 4 :

Oui tout est une question d’attitude et je vous invite à lire Qui a piqué mon fromage ? de Spencer Johnson : A travers un conte qui met en scène deux souris (Flair et Flèche) et deux minibus (Polochon et Baluchon), deux petits personnages imaginaires ayant une capacité de réflexion proche de celle de l'homme, des conseils pour ne plus avoir peur des changements professionnels ou personnels dans sa vie quotidienne.

Un livre qui se lit rapidement !

Julie, auriez-vous la gentillesse de reformuler vos souhaits ? Cette formation s’adresse-t-elle uniquement aux jeunes ? Quand vous parlez des jeunes, qui sont-ils ? Quel âge ont-ils ? Or il y a un marché grandissant de trouver sa raison d’être, de donner un sens à sa vie et de vivre pleinement sa vie pour les 35 ans et plus. Si vous le souhaitez Julie, je vous propose de me contacter en privé pour la partie 35 ans et plus.

Cette transition s’effectue en gardant la foi, avec de la gratitude et surtout cette question que je me suis posée : Qu’est ce qui important pour moi ? De cesser de chercher quelque chose à faire et plutôt chercher quelque chose à être ; et de se mettre en contact avec cette part qui réside profondément en soi et qui sait qui on est vraiment. Et voir ce qu’il faudrait pour susciter tout cela au moyen de l’être. Vous êtes-vous déjà posé la question : Qui suis-je lorsque je me sens complètement comblé et que je m’exprime totalement ?

Finalement connaitre son chemin, révéler sa valeur c’est de passer d’une grande confusion à un enthousiasme grandissant et extraordinaire !

Je nous souhaite de vivre pleinement notre vie !

«Quoi que tu rêves d'entreprendre, commence-le. L'audace a du génie, du pouvoir, de la magie. » de Johann Wolfgang Von Goethe

Bonjour,

Je trouve le concept des vidéos intéressants, et c'est vrai que nous devons faire face à énormément d'idées reçues. Le problème n'étant pas seulement celles qu'on essaye de nous faire croire, mais plus le fait qu'elles soient si bien enracinées dans l'esprit des recruteurs, des entreprises et de certains professionnels de l'orientation. Il faut avoir une vision claire des choses, plutôt que pessimiste.

Je suis motivée pour trouver un job qui me correspondrait, et j’espère que la suite du cours me sera plus utile que les conseillers d'orientation que j'ai croisés toutes ces années.

Bonjour ou bonsoir

Cette vidéo est très interressante et il me semble que je n'ai jamais été dans cet état d'esprit de "demandeur" quand il m'est arrivé d'être sans emploi comme actuellement. Malgré tout la pression sociale, familiale, économique, nous pousse parfois à se jeter dans le bain et à nager jusqu'à plus de souffle. Je me souviens de cette vidéo d'un TEDx où un jeune de 13 ans répondait à la question "qu'est ce que tu veux faire plus tard?" Sa réponse : "Plus tard je veux être heureux!" Cela résume un peu ce qu'il conviendrait de faire pour se trouver, s'épanouir dans sa vie (pro et perso). j'essaye de retrouver le lien ...

Bonjour à tous,

Voici mes réactions concernant la vidéo :

Je suis globalement d’accord avec ce qu’il s’est dit dans la vidéo. Il est assez difficile de se pousser à chercher, et ne pas tomber dans le choix par défaut. Mais l’inconnu fait peur et c’est toujours plus simple de se rassurer dans l’existant. Il faut réussir à dénicher des informations rassurantes quant à notre employabilité pour continuer de chercher le job qui nous correspond. J’ai du mal à croire dans mon ambition professionnelle car je doute des mes capacités, je ne suis pas sûr d’être capable d’être à la hauteur du job qui aurait un certain niveau d’importance. 

Effectivement depuis la crise beaucoup d'arguments sont utilisés par les patrons et autres acteurs de l'emploi pour proposé un salaire au dessous de ce que vaut réellement le poste, ou un contrat qui n'avantage pas l'employé, tout ce comportement nous enmènes à nous sous-estimé et à prendre ce qu'on nous proposes au lieu de choisir ce qu'on veut ou/et qu'on vaut sur le marché avec nos compétences, connaissances et expériences, peut-t-on lutter contre cette mentalité déjà établie? et cette pression de faire inverser les courbes du chômage en acceptant tout ce qu'on nous propose?

Bonjour Julie,
Merci pour ce partage avec nous.

Voici mon retour sur la vidéo de détox mise en rapport avec ma situation actuelle :

En poste depuis plus de 4 ans en marketing sans jamais avoir reçu la moindre montée en puissance ou de changement de poste. C'est vrai que je me pose de plus en plus la question de quitter la société. Mais des idées précises restent dans ma tête, ai-je les compétences requises pour me permettre de travailler ailleurs, le niveau et la valeur réelle de mon travail.
Ces premières vidéos m'ont fait comprendre que je ne dois pas demander un emploi (ce terme est ancré dans la société et devient vraiment péjoratif) mais plutôt apporter mes compétences et mon savoir-faire. Pouvoir apporter son propre point de vue.
Il est temps de reprendre le pouvoir.

J'ai pu lire sur le forum que nos envies ont été mis à mal par notre entourage, de mon côté, c'est vrai qu'à l'époque de la 3ème quand on doit choisir entre la voie pro ou générale, je souhaitais devenir électricien et être apte assez rapidement. Sauf qu'avec la famille sur le dos (c'était en 1996), la voie pro était mal considérée, voie de garage voir pire sur des termes qui ne sont pas à dire publiquement.

Pour répondre à oliviervaiti, oui ce serait formidable que les mentalités changent, je suis en poste mais si je me retrouve au chômage, c'est vrai que je ne souhaiterai pas reprendre une activité au détriment de mes envies... Le sujet est trop politique pour pouvoir s’étendre.

Encore merci Julie, la suite du cours m'attend
Arnaud

Bonjour à tous,

Après avoir visionné cette vidéo détox, je me suis dit que ce serais bien que beaucoup d'autres personnes visionnent cette vidéo.

J'ai quitté le monde du travail il à un an, ne supportant plus la pression négative de mon environnement de travail. Ce besoin qu'ont les managers (commerciaux pour ma part) de vous presser comme un citron et de vouloir toujours plus de bâtons sur le paper board, sans trop se soucier de la qualité du travail accompli.

Pour avoir travaillé avec des "jeunes", je peux vous dire que les "vieux", ne les considèrent pas beaucoup, et qu'ils ont tendance à entendre mais à ne pas écouter. C'est une phrase qu'un cadre sup. faisant de la politique a dit à un nouveau lors d'un déjeuner auquel j'assistais...

Peut être ne faut il pas toujours tête baissée, mais cette fougue de la jeunesse apporte parfois une bouffée d'oxygène dans une équipe qui étouffe. Les nouvelles idées ou encore les nouvelles technologies nous permettent d'avancer différemment.

Au sujet de l'ambition raisonnable, maintenant que je suis sans activité rémunérée, j'entends "prends n'importe quel job, c'est mieux que rien de nos jours!" Stop. 

Rêver de l'impossible permet d'atteindre le possible, il y a un siècle qui aurait pu dire que nous pourrions communiquer depuis notre lit sur tablette en direct avec l'autre bout du monde, que nous pourrions "téléphoner" sans téléphone (skype) et vous l'autre...Est ce que Steve Jobs avait des ambitions raisonnables?

Je suis d'accord, je préfère me considérer comme une "offreuse" de compétences et d'expériences, mais je ne dois pas encore avoir la technique...

Et pour finir, est ce que les entreprises sont gagnantes à avoir beaucoup de turn over? Je suis surprise et je pense que cela dépend de beaucoup de paramètres. Il faut creuser. 

Activité semaine 1 : 

Durant mon long cursus scolaire, jamais ne m'a été proposé de faire un bilan de personnalité. Il a fallu attendre un premier job d'été pour passer des tests psychotechniques, puis un premier emploi pour connaître mon profil psychologique et enfin un bilan de carrière avec un 360° pour me connaître encore un peu plus. 

Après 20 ans d'un premier métier, les compétences se sont accumulées et surtout les envies futures se sont révélées. Chaque chasseur d'emploi, même en temps de crise perturbatrice, étant par nature différent de son voisin est donc un offreur atypique de compétences. 

Benoît. B. 

bonsoir a tous

voila également ma contribution

Personnellement, je trouve que cette vidéo est véridique !! De nous jours, on nous casse (les jeunes), comme dit la vidéo, on nous incite a prendre "tout et n'importe quoi" sous prétexte que nous sommes jeunes et sans expériences (ou avec peu). Cependant, chaque jeune, chaque personne, peut apporter quelque chose a l'entreprise! Après c'est vrai qu'il faut savoir se mettre en avant et se vendre. Je pense que malgré notre jeune age, il faut ce donner les moyens et atteindre nos objectifs et se donner les peine! car ca ne vient pas tout seule! l'age n'est qu'un détail! vendez vous !!

Bonjour tout le monde !

Après avoir visionné cette vidéo, je me sens d'attaque pour trouver un job qui me correspond même si j'ai toujours cru que je voulais être dans le domaine de l'informatique je veux en être sur . Je ne me suis fait jamais de réflexion sur les question qu'elle nous a posé . Je n'avais jamais rien envisagé de cette façon juqu'ici . J'espère que ce cours m'aidera sur le chemin de l'emploi .

Bonjour,

Je retrouve totalement l'idée du jeune restreint à un pion cherchant à entrer dans une case en jouant le rôle du parfait étudiant pour se faire embaucher. J'ai  souvent eu l'impression de justifier ma présence, de quémander une place parce que les expériences n'étaient pas suffisantes ou non adaptées au poste alors qu'il faut bien commencer quelque part ! Le fait de se positionner plutôt en tant qu'offreur de compétences n'est pas une idée nouvelle pour ma part mais pas simple du tout à mettre en pratique quand on voit les logiques adoptées par les entreprises en général. Concernant la dernière idée reçue je ne suis pas sûr qu'invoquer une potentielle mobilité soit très appréciée.

Bonsoir,

Voilà mes deux principales réactions à la vidéo Détox. Étant plutôt d'accord avec l'ensemble, je n'en suis pas moins un peu critique...

Être offreur de service correspond tout à fait à ma conception de ce que devrait être la recherche d'emploi.
Pourtant, vendre ses compétences n'est pas forcément à la portée de tous. Cela demande justement une compétence de promoteur de sa propre "marque", et donc de mettre en avant ses capacités et aptitudes.

De plus la vidéo Detox s'adresse vers les jeunes. Mais maintenant un poste ne peut plus vraiment être envisagé sur du long terme. Et donc justement, les changements dont ceux d'orientations professionnelles font que la distinction "jeunes/vieux" demandeurs d'emploi s'estompe.

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Edité par Din Diu 11 novembre 2014 à 21:36:07

Bonsoir,

-Cette vidéo détox m'a faite ouvrir les yeux sur le faite qu'il est important de choisir un travail qui nous correspond et non un travail idéal, ce qui jusqu'à ici comptait beaucoup dans la recherche de ma voix professionnelle.

-Je ne suis pas assez ambitieuse et j'ai souvent accepté des emplois par défaut, qui au final m'ont plus apporter de choses négatives que positives.

-Les entreprises veulent des personnes avec de l'expérience, qui savent tout faire, alors quand on débute c'est difficile, j'ai souvent été recalé a des entretiens car je débutais et qu'ils préféraient choisir une personne avec de l'expérience.

-Je suis aussi d'accord sur le faite que l'on offre ses services et ses compétences à une entreprise, que l'on aide à son développement.

-Il est aussi certain que l'on ne reste plus 40 ans dans la même entreprise, ou si cela arrive que on change de poste, que l'on évolue, que l'on soit muté, nous envies et goûts peuvent changer aussi etc.

Pour résumé il est clair qu'il est important de connaître ses compétences pour s'orienter ou être orienter dans  une voix ou l'on peut s'épanouir et aider au développement de l'entreprise dans laquelle on apporte de l'énergie et des idées.

Alors en route pour découvrir le métier qui nous correspond !

Bonjour à tous, 

J'ai pas mal de fois entendu ces idées et je suis tout à fait d'accord avec vous, ce sont de fausses idées qui nous décourage dans la recherche du job qui nous correspond.

Il est vrai que je pensais aussi qu'il fallait avoir une ambition professionnelle raisonnable à cause de la crise.

J'ai été surpris d'apprendre la première idée reçu qui est que les jeunes sont mal adaptés au monde du travail.