Bonjour à tous, et c'est parti pour ma réaction à la vidéo DETOX :
Je ne peux qu'être d'accord avec ce que vous dites si bien et si simplement, et je déplore le fait que mes profs et parents n'aient pas eus ce discours.
La pression sociale à propos de la crise, la résignation comme posture unique face à tout ça, ou si ce n'est pas ça, alors devenons carrément des requins insensibles !
Ça fait du bien de s'entendre dire ce que vous dites, et je vais essayer de graver ses paroles DETOX, pour avancer vers de la bonne façon !
Effectivement il est intéressant de se placer comme offreur d'emploi plutôt que demandeur, finalement nous sommes en "position de force" à partir du moment où l'on a correctement défini nos compétences et la valeur ajoutée que nous pouvons apporter aux entreprises.
Soyons plus ambitieux avec nous mêmes !
Et oui je suis sans emploi aujourd'hui, mais depuis un mois je n'ai pas commencé à chercher, donc non je ne suis pas "demandeuse", je prends d'abord le temps de prendre du recul pour faire les bons choix !
J'ai suivi avec énormément d'attention cette vidéo détox. Il est vrai que nous sommes formatés à une forme de dévalorisation de soi en se positionnant comme demandeurs d'emploi sur le marché du travail ; cela relève de la culture francophone que de mettre en avant les diplômes plutôt que le savoir-faire. Si je suis d'avis avec les propos de Julie dans cette vidéo, elle a néanmoins suscité d'autres interrogations chez moi.
Comment arriver à changer d'attitude quand on a perdu confiance en soi suite à de nombreuses réponses négatives ? Comment identifiez sa propre plus-value pour une structure ?
vidéo intéressante et qui permet de rebooster un peu l'estime de soi, notamment sur le point"offreurs de compétences".
Il est difficile néanmoins en fonction des régions, des entreprises et du marché de l'emploi local de se mettre en avant. Exemple: en Ille et Vilaine, il y a beaucoup de "demandes" pour peu "d'offres" et les entreprises jouent la dessus pour vous proposer des salaires dérisoires. Il y a toujours qqun qui dira oui au poste...m'a-t-on répondu lors d'un entretien. Même si on positive face aux recruteurs...certaines entreprises jouent de leur "pouvoir" pour nous faire sentir un pion.
Aussi je me demande si je ne dois pas me réorienter complètement...mais vers quoi? reprendre une formation? J'espère que la suite du cours m'y aidera.
Les idées détox arrivent à tout moment de notre carrière. La vidéo m’a interpellée car je ne suis pas une jeune professionnelle. Au contraire, j’ai déjà 15 ans d’expérience dans le monde du travail et les idées « détox », à mon âge, sont différentes; mais elles sont aussi bien « détox » :
Avoir 39 ans, c’est trop vieux pour changer de travail...
Le monde de travail n’embauche que des jeunes…
Ce n’est pas possible de quitter un CDI et une grosse boîte…
Ma réponse : et alors, faut-il rester toute la vie dans le même travail ? IMPOSSIBLE ! Mon projet professionnel pourra prendre un peu de temps, mais je vais y arriver :)
J'ai trouvé cette vidéo juste et pertinente. Elle me conforte dans la pensée que j'ai depuis un certain temps : de rechercher un travail qui me correspond (mes capacités) et qui répond à un besoin dans mon environnement (la réalité économique). Je crois que dans cette posture, nous nous positionnons pour être plus épanouis dans ce que nous faisons et apportons davantage à l'entreprise dans laquelle nous évoluons. Le job n'est plus subi, mais mutuellement choisi, tant par le désormais "offreur de services" et non plus "demandeur d'emploi", que par son employeur "acheteur de ces services".
Après inscription au cours #1, voici ma première réflexion et réaction à la vidéo "détox":
Cela vient effectivement confirmer une partie de ma réflexion, il apparaît que la génération Y ne s'est pas retrouvée en phase avec le modèle de travail impulsé par nos parents et grands parents. Il y a eu un constat puis nous nous sommes sentis comme pris au piège entre; l'éducation familiale et scolaire reçue, qui nous a demandé de choisir une voie professionnelle sécurisante dés le plus jeune âge, quand notre personnalité n'était pas définie; et la réalité d'un monde du travail en profonde mutation à l'ère du digital, compétitivité, globalisation, dont les attentes avaient déjà changé.
On se retrouve à la fin de 20aine début de 30aine avoir fait l'expérience de quelques postes qui ne nous ont pas toujours convaincu, ou avec des employeurs qui ont du réviser leurs structures. On a l'impression de repartir de zéro à même se demander si ce n'est pas le choix de la voie de départ qui n'a peut être pas été judicieux, là démarre une phase de transition et de life hacking pour changer de point de vue et se replacer dans son contexte plus positivement.
La vidéo est très intéressante, malheureusement cela fait des années que les entreprises veulent recruter des personnes moins de 30 ans, 5 ans d'expériences, ingénieur et les entreprises nous sortent les excuses "trop jeunes, trop vieux, trop diplômé, pas assez diplômé, ou trop expérimenté, pas assez expérimenté" alors oui le job qui nous correspond d'accord ça pas de soucis je suis assez d'accord car pour se sentir bien il faut être dans un métier qui nous ressemble mais si c'est pour être payé en peau de chambre et que les entreprises ne revoient pas leur prévisions à la baisse bin au final on ne sera jamais heureux.
Petite question pour ceux qui l'ont fait en entier, vous avez pu trouver votre job qui correspond ? ou vous avez trouver un job qui n'était pas loin ? ou un job " par défaut" ?
Du plus loin que je me souvienne, on ne m'a pas appris à définir ma personnalité professionnelle, mes talents, mes capacités, ce qui me motive, etc... Je faisais des études sans trop savoir pourquoi sauf que je devais en faire un maximum et être attentif, si je voulais avoir une chance dans la vie d'obtenir le "meilleur" emploi possible, sans qu'on m'apprenne aussi à identifier l'évolution du monde économique. J'avais l'impression d'être un pion dans une machine devant trouver l'offre d'emploi, le poste... J'ai donc fait une dépression et de la psychiatrie à la fin de mes études, depuis je n'arrive pas à trouver du travail.
Tout d'abord bravo pour cette approche emaphique, bienveillante et sans doute efficiente au vu de la méthodologie utilisée.
malheureusement, dès les premières phrases de la video censées détoxifier des poncifs et de la morosité ambiants sur le sujet , vous dites en substance " vous les jeunes" ce qui me met donc de facto hors course ( j'ai 51 ans et en poste ) !
Je n'ai donc plus qu'à vous souhaiter une bonne continuation !
Les idées reçues vues sur cette vidéo sont couramment évoquées, notamment celle qui consiste à indiquer qu'il faut se contenter du job que l'on a, à défaut. On a eu cesse de me le répéter, et encore à 36 ans où mon statut freelance fait peur. Mais quel que soit l'age, il n'est jamais trop tard pour effectuer une reconversion. Avec du recul, n'étant pas "jeune" dans l'emploi, ces informations sont pertinentes et adaptées à toutes tranches d'âge. J'ai été surprise par le terme "Demandeur d'emploi". Je n'y avais jamais réfléchi en ce sens, même si il est vrai qu'offrir ses compétences est bien plus réaliste et vrai, plus que demander un emploi. Un point de vue que je partage complètement en y réfléchissant.
Cette vidéo est très intéressante et brûlante de vérité.
A l'adolescence, j'ai eu la chance de pouvoir choisir la voie quoi m'intéressait le plus : une voie artistique. Néanmoins, il est vrai que l'on ne nous apprends pas à à analyser nos souhaits de vie. Très peu de regard sont donnés sur nos qualités et défauts.
Pourtant cela permettrait d'obtenir plus d'efficacité dans le domaine professionnel et effectivement, cela participerai aussi à un monde plus épanoui.
Je trouve très juste la vision de Julie Coudry sur l'appellation "demandeur d'emploi".
"Offreur d'emploi" permets de changer de posture à la fois physiquement et mentalement. Cela ne place plus l'employeur en position supérieur et donne plus d'horizontalité dans les relations. Et indirectement cela permettrait beaucoup de liberté:
- liberté de rester et/ou de partir.
- liberté dans les initiatives.
- liberté créatrice.
Ce que Julie dit est fondamentale pour l'humain, pour la société. Par effet de ricochets, un être humain qui effectue une activité professionnelle qui lui corresponds sera plus "heureux" et productif donc plus à l'aise dans ces baskets, plus calme car moins de stress, plus ouvert aux autres aussi.
Sur les questions de générations : à mon sens, chacun a quelque chose a apporté à l'autre.
Personnellement, cela va m'apporter beaucoup. Cette infériorité je la subis dans le domaine pro certainement à cause de cette verticalité. Je cherche à rentrer dans les cases, trop ! Et je me suis perdue.
Je suis globalement d'accord avec la vidéo. On ne met pas assez l'accent sur nos capacités, sur le fait que les jeunes sont le futur. Dans le même temps il est surprenant de voir que la société reproche aux jeunes de ne pas être adaptés, alors que c'est elle (la société) qui les a formés... J'ai personnellement fait le choix de trouver un job qui me correspond suite à des études ne me convenant pas, à cause de choix par défauts, dans un secteur porteur. Cette vidéo me motive à continuer à chercher ma voie et à me présenter devant les entreprises comme quelqu'un qui offre quelque chose.
Vidéo très intéressante je suis tout à fait d'accord à force de ne pas trouver de job qui te correspond tu finis par prendre un job par défaut.
J'ai été surprise sur la partie "Demandeur d'emploi".
Je n'y avais jamais pensé à l'idée de passer de la posture de demande à celui d'offrir ses compétences. c'était une bonne explication.
Je suis en pleine réflexion sur mon parcours professionnel et j'ai besoin de mieux définir mes objectifs, savoir valoriser mes compétences et pouvoir trouver un job qui me correspond serait vraiment bien.
La vidéo fait écho à ce que je ressens aujourd'hui. Je n'ai malheureusement pas suivi le parcours dans lequel j'aurais souhaité exercer, principalement parce que j'ai suivi ce que mon entourage souhaitait pour moi. Je le ressens d'autant plus aujourd'hui car je n'ai aucune motivation à trouver un emploi dans le domaine que j'ai étudié. Du moins je ne trouve aucune source de motivation dans les offres d'emploi que je trouve. J'aspire à autre chose, je souhaite donner un sens à mon emploi. Je me fiche d'avoir une carrière grandiose, je voudrais simplement que cette carrière ait un sens et apporte une plus-value dans le monde d'aujourd'hui. Ceci n'est malheureusement pas compris et les cabinets de placement n'écoutent pas mes souhaits et tentent de me "faire entrer" dans des cases.
J'aime dire que je suis en période de réflexion (plutôt que demandeur d'emploi..) mais je dois souvent me le répéter et m'en convaincre pour ne pas culpabiliser de faire si peu de candidatures, ou de ne pas prendre le premier emploi qui passe. Mes questionnements actuels se tournent vers l'entrepreneuriat (un risque à entendre tout ce qu'il se dit) et la stabilité de l'emploi : faut il avoir un emploi stable, durable et conforme au rythme de vie actuel de notre société pour être épanouie (professionnellement, personnellement, socialement) ?
Je partage la réflexion sur le terme "demandeur d'emploi", je connais mon point faible : ne pas être capable de vendre ses compétences. Qu'est ce que je peux offrir à une entreprise ? Tout le travail à réaliser pour ma part est là: quelle est mon offre ? qu est ce que je souhaite changer et acquérir comme compétences pour être plus sûre de moi ? Pas facile d'arriver à faire des choix !
J'ai beaucoup apprécié l'objet de la vidéo Détox. Notamment le point sur les idées reçus concernant le "demandeur" d'emploi.
En effet, la personne qui est en recherche d'un job ne devrait pas se sentir inférieure dans sa relation avec l'entreprise. Il est nécessaire pour elle de comprendre que même si elle a besoin de l'entreprise, cette dernière, elle, a besoin de ses compétences et de son expérience.
Il est donc nécessaire de sortir de cette position de dominé pour enfin prendre le contrôle de cette relation
Les idées reçues évoquées dans cette vidéo confirme tout ce à quoi j'ai pu me confronter dans ma recherche d'emploi: trop ambitieuse -> il faut commencer bas puis monter ensuite (j'ai même récemment eu la réflexion d'une DRH me balançant: "il faut savoir perdre pour gagner, mademoiselle. Vous, vous voulez tout, tout de suite" en réponse à un refus de ma part pour faire du ménage alors que j'ai un BAC+3 en langues); pas d'expérience donc pas adaptée à un environnement d'entreprise et pas "fonctionnelle" de suite malgré des capacités d'adaptation...
Je dois dire que ce contenu vidéo a été pour moi une belle gifle de réalisme dans un contexte sclérosé par les pensées limitantes. En effet beaucoup d'éléments énoncés par Julie Coudry lors de sa conférence sont pour moi des évidences liées à notre monde qui évolue, la difficulté pour l'homme est de l'intégrer. Ce que l'on veut à un instant t n'est pas forcément ce qu'on voudra dans le futur, sachant que les conditions initiales ne sont plus les mêmes.
La pression sociale jouant un rôle déterminant sur l'individu, un autre réalité est possible en brisant les chaînes mentales des pensées limitantes. Merci pour cette démonstration.
Ma réaction suite au visionnage de la vidéo Détox :
"Il est vrai que l'époque que nous vivons actuellement n'incite pas à l'optimisme, notamment sur les plans de l'emploi et de l'économie. Rien n’empêche cependant de continuer à positiver et à lutter contre la morosité ambiante et les idées reçues, transmises bien souvent d'ailleurs par l'entourage proche qui, cherchant à nous protéger, paradoxalement ne nous aide pas à aller de l'avant.
Quant à ce statut de "demandeur d'emploi", qu'il est mal choisi et culpabilisant! De mon côté, je profite au contraire de cette période sans emploi pour faire un bilan de compétences et me former, histoire de mieux repartir ensuite vers le marché du travail."
vidéo intéressante et qui permet de rebooster un peu l'estime de soi, notamment sur le point"offreurs de compétences".
Il est difficile néanmoins en fonction des régions, des entreprises et du marché de l'emploi local de se mettre en avant. Exemple: en Ille et Vilaine, il y a beaucoup de "demandes" pour peu "d'offres" et les entreprises jouent la dessus pour vous proposer des salaires dérisoires. Il y a toujours qqun qui dira oui au poste...m'a-t-on répondu lors d'un entretien. Même si on positive face aux recruteurs...certaines entreprises jouent de leur "pouvoir" pour nous faire sentir un pion.
Aussi je me demande si je ne dois pas me réorienter complètement...mais vers quoi? reprendre une formation? J'espère que la suite du cours m'y aidera.
Le Processus de Recrutement, l'entretien d'embauche sont une Relation de Pouvoir;-) !
Tu as raison : il n’y a pas de génération sacrifiée, on doit se bouger pour obtenir la vie que l’on veut vivre. Au collège on m’avait demandé l’orientation que je voulais prendre mais comment répondre à cette question à 15 ans ? Les notes ne veulent rien dire et les études qu’on m’a refusées à 18 ans je les ai faites à 35 ! Il n’est jamais trop tard. Perso, j’ai toujours su, sans savoir quel métier exercer, vouloir être mon propre « patron » et depuis 2012 j’ai créé mon travail. Aujourd’hui je veux créer mon métier et ce n’est pas tout à fait la même chose, je suis en perpétuel questionnement.
Le terme de demandeur d'emploi quelle horreur, c'est clairement un terme non motivant qui nous met en posture d'attente alors que la vie c'est bouger, se bouger !
Effectivement, lorsque l'on se considère comme un être humain qui est apporteur de qualités et de capacités plutôt qu'un outil qui doit rentrer dans un moule pour plaire, c'est plus motivant, gratifiant et plaisant pour une personne.
Hélas que ce soit dans l'éducation nationale ou à pôle emploi, on cherche à nous apprendre comment plaire à un système ou une organisation au lieu de nous laisser développer nos compétences et de montrer notre plus-value. Ce qui serait plus passionnant pour l'individu et le rendrait plus heureux donc plus productif.
Je me suis déjà faite la réflexion de me dire plusieurs fois dans mon parcours scolaire que je comprenais très mal le fait qu'on me demande d'entreprendre une carrière avec des débouchés et stables sans prendre en compte mes désirs et capacités. J'ai toujours l'impression d'être un peu perdue et changeante sur mon avenir. Je pense à présent, suite au début de ce cours, que je vais enfin comprendre comment avoir toutes les clés de mon avenir.
Bonjour Je suis d'accord sur le fait que nous devons être apporteur et non demandeur lors d'une recherche d'emploi. Il ne faut pas perdre de vue que dans les entreprises, il est difficile de faire des demandes de créations de postes. En général, la création d'un poste fait l'objet de démarches longues pour obtenir le budget et les autorisations. Je pense donc que le job maker doit parfaitement coller aux attentes actuelles des postes ouverts. Ensuite il peut apporter des compétences non exprimées dans les offres de postes. Nous devons être dans du gagnant / gagnant. Le poste se fait à 2, mais le client reste l'entreprise.
Merci pour cette vidéo, je vais me la repasser pour les moments de doute. Mais comment ne plus avoir peur du chômage? Car il fait peur et la peur nous rend irrationnels. On oublie toutes nos bonnes résolutions dès la question : présentez-vous. La réponse sonne plutôt comme une cri de désespoir : s'iiiiiil vous plait prenez moi!!! Plutôt que le ton dynamique : vous n'imaginez pas tout ce que je peux vous apporter!!
Néanmoins je suis persuadée que nous avons besoin d'un bon détox, à force d'avoir l'esprit pollué par les méfaits de la crise, on oublie de reprendre en main notre carrière, de faire comme si nous étions notre propre petite entreprise avec nos services à proposer.
J’ai pensé m’être égarée en démarrant ce cour... Je suis du coté des séniors. Mais j’ai transposé les 4 idées reçues à ma situation :
- les séniors ne sont plus adaptables mais ils apportent leurs compétences et expériences au profit de l’entreprise
- ils doivent avoir une ambition raisonnable : comment travailler et se sentant dévalué ?
- ils sont offreurs de compétences, de services, de transmission et pas simples demandeurs d’emploi : cela les rend plus actifs dans leur parcours professionnel
- les séniors ont encore l’envie de changement, un nouvel emploi n’est parfois qu’une nouvelle étape.
Cette vidéo m'a montrée que les préjugés sur les jeunes n'étaient pas forcément vrais. Mais ces préjugés ne me bloquais pas dans ma recherche d'emplois. Par contre le fait de voir ses " aspirations" à la baisse est un peu mon cas car je cherche avant tout un job. De plus ma situation est très particulière car je suis en situation de handicap et je me heurte à beaucoup de difficultés: poste pas adaptés, préjugés de l’employeur. Devenir un JobMaker peut m'aider je pense
Et soudain je me sens moins "outsider". Cela fait du bien! Solution maker naturelle je n'ai jamais croqué la pomme du pessimisme et suis plutôt douée pour retourner les flèches dans le sens positif. Lorsque qu'on se trouve coté produit - pas forcement sur une étagère! - on n'est pas la demande, on est l'Offre. Etant des ressources humaines, en prime, nous avons le super-pouvoir de nous auto-concevoir avec nos goûts, compétences, préférences avec innovation! Les demandeurs dans cette histoire? Les patrons créateurs d'emploi qui disposent d'un "budget" négociable avec... leur produit! Qui dit mieux?
J’ai pensé m’être égarée en démarrant ce cour... Je suis du coté des séniors. Mais j’ai transposé les 4 idées reçues à ma situation :
- les séniors ne sont plus adaptables mais ils apportent leurs compétences et expériences au profit de l’entreprise
- ils doivent avoir une ambition raisonnable : comment travailler et se sentant dévalué ?
- ils sont offreurs de compétences, de services, de transmission et pas simples demandeurs d’emploi : cela les rend plus actifs dans leur parcours professionnel
- les séniors ont encore l’envie de changement, un nouvel emploi n’est parfois qu’une nouvelle étape.
Moi aussi, je suis sénior... mais, tout compte fait, l'orientation "jeunes" de l'approche met en évidence et renforce la valeur des moins jeunes.
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Aly
Antony