"Guillaume a donc intégré une prestigieuse école d'ingénieurs toulousaine, Epitech"
Et ben dis donc c'est qu'il envoie du lourd le site de sa Web Agency : http://www.scrola.com/ (qu'on peut seulement résumer à http://www.scrola.com/bg.jpg ), sans parler de son site web perso : http://www.guillaume-gagnaire.fr/ , c'est d'un amateurisme... Puis franchement, je salue son audace d'afficher "Anglais technique : TOEIC : 575" dans son CV ou comment se ridiculiser en 2 secondes. Bref, belle vitrine des compétences informatiques des "élèves ingénieurs d'Epitech".
"Guillaume a donc intégré une prestigieuse école d'ingénieurs toulousaine, Epitech"
Et ben dis donc c'est qu'il envoie du lourd le site de sa Web Agency : http://www.scrola.com/ (qu'on peut seulement résumer à http://www.scrola.com/bg.jpg ), sans parler de son site web perso : http://www.guillaume-gagnaire.fr/ , c'est d'un amateurisme... Puis franchement, je salue son audace d'afficher "Anglais technique : TOEIC : 575" dans son CV ou comment se ridiculiser en 2 secondes. Bref, belle vitrine des compétences informatiques des "élèves ingénieurs d'Epitech".
Ca va, il a rien fait de mal le gars, c'est juste le journaliste qui comme les lycéens mal informés, pense que Epitech est une "prestigieuse école d'ingénieurs".
Ca va, il a rien fait de mal le gars, c'est juste le journaliste qui comme les lycéens mal informés, pense que Epitech est une "prestigieuse école d'ingénieurs".
Sauf que justement, le métier de journaliste est de s'informer avant tout, il doit pouvoir fournir une source pour toutes les informations qu'il diffuse. Autrement dit dans le cas qui nous intéresse, on peut relever le peu de professionnalisme dudit "journaliste".
Ca va, il a rien fait de mal le gars, c'est juste le journaliste qui comme les lycéens mal informés, pense que Epitech est une "prestigieuse école d'ingénieurs".
Sauf que justement, le métier de journaliste est de s'informer avant tout, il doit pouvoir fournir une source pour toutes les informations qu'il diffuse. Autrement dit dans le cas qui nous intéresse, on peut relever le peu de professionnalisme dudit "journaliste".
A part sur les blog, tout les journalistes écrivent n'importe quoi quand ca parle de technologie.
C'est pas nouveaux.
Ca fait belle lurette que les journalistes n'ont plus le temps de vérifier ou de s'informer, tout doit aller vite, et pas seulement dans le domaine de la technologie. Si tu avait une connaissance aussi pointu en geo-politique que dans le domaine de l'informatique tu te rendrais compte que c'est le meme problème.
Il est tellement facile de se moquer d'un étudiant parmi tant d'autres...
Je suis sûr qu'en cherchant un peu on pourrait trouver des étudiants avec des scores de 575, voir moins, dans vos écoles.
Tout dépend de ce qu'on entends par "dans vos écoles".
La CTI exige un niveau minimum de langue étrangère, et un niveau minimum d'anglais pour avoir un diplôme d'ingénieur.
Je ne sais pas si c'était les exigences exactes de la CTI, mais en niveau basé sur le CECR :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cadre_européen_commun_de_référence_pour_les_langues
Mon école exigeait :
- Au moins B2 (maintenant B2+ je crois) dans une langue étrangère pour avoir le diplôme.
- Au moins B1 en anglais si on a le B2 dans une autre langue que l'anglais et le français.
575 points, c'est à peine B1. L'immense majorité des ingénieurs qui sortent de l'école aujourd'hui avec un titre CTI ont un niveau très largement supérieur, et tous sont obligés d'avoir au moins ce niveau.
Après, on peut discuter de la pertinence de cette obligation, mais c'est l'un des avantages (pour l'employeur) et l'un des inconvénients (pour l'étudiant mauvais en anglais) de faire un diplôme d'ingénieur reconnu.
(Totalement HS : On voit bien sur le tableau de correspondance le haut niveau du TOEIC, incapable de vérifier un niveau C. Méfiez-vous quand quelqu'un vous brandit fièrement un chiffre TOEIC : il ne veut à peu près rien dire).
Je suis sûr qu'en cherchant un peu on pourrait trouver des étudiants avec des scores de 575, voir moins, dans vos écoles.
La CTI exige 750 au TOEIC (ou score équivalent à d'autrex examens), ce qui est déjà un niveau lamentable que les bons élèves en anglais ont au passage du BAC. Donc "dans les écoles", certes, "à la sortie de l'école" certainement pas puisque l'école ne peut pas diplômer un ingénieur avec 575 au TOEIC. L'ESEO par exemple exige 750 au TOEIC + le First de Cambridge qui est tout aussi ridicule.
Blague à part il semblerait que le TOEIC soit relativement inconnu outre-atlantique et que c'est le TOEFL qu'il faut viser, examen que les écoles françaises ne font pas passer. C'est du moins ce que les enseignants d'anglais qui interviennent chez nous indiquent.
Epitech demande un niveau de 500 au TOEIC en fin de première année, de 600 en fin de deuxième, et de 750 en fin de troisième.
Cet élève a arrêté l'école en milieu de deuxième année, donc ce n'est pas non plus un score si bas à la sortie de l'école.
J'ai un collègue anglais qui s'est planté à son TOEIC (autour de 500).
J'ai également un collègue qui est une vraie buse en anglais mais il a eu un score supérieur à 850.
Il le dit lui-même : il parle le TOEIC pas l'anglais.
Je trouve sa phrase tout à fait juste...
Donc, je ne pense pas que le TOEIC reflète le niveau d'anglais.
Donc, je ne pense pas que le TOEIC reflète le niveau d'anglais.
Clairement pas. J'ai le niveau B2 officiellement, en pratique je me suis amélioré depuis, mais j'aimerais pas avoir à négocier avec un client anglophone parce que je suis vraiment pas à l'aise.
Quand on voit que beaucoup de francophones sont incapables de savoir quand mettre un verbe au participe passé et à l'infinitif, on peut se dire que c'est pareil pour nos voisins...
Et c'est un fervent défenseur du langage sms...
Pour moi le TOEIC fait plus appel au bon sens qu'a la maitrise de la langue. Ca m'fait penser aux tests de JAPD. Genre "le film commence a 18h30, je finis le boulot a 19h15 et j'ai 30min de trajet pour arriver au cinoch', est-ce que je peux arriver a l'heure pour le debut du film ?".
Il est tellement facile de se moquer d'un étudiant parmi tant d'autres...
Je suis sûr qu'en cherchant un peu on pourrait trouver des étudiants avec des scores de 575, voir moins, dans vos écoles.
La question n'est pas d'avoir 575, mais de le dire. En dessous de 900, à la rigueur 850, sur un CV ça fait tache...
Btw, qu'il ait quitté l'école ou pas, on s'en fiche. Je vois mal ses clients lui concéder que son anglais pue, mais que c'est pas choquant, parce que son niveau correspond aux exigences à bac+2 de l'école qu'il a quittée.
Edit : Et la CTI exige un niveau B2, soit 785 au TOEIC. Avant c'était 750, mais le TOEIC s'est ramoli du genou.
Pour moi un niveau d'anglais se traduit par le "parler". Tout ce que ne test pas le TOEIC, voila pourquoi ce test ne reflète pas le niveau d'anglais.
Et pour les quelques personnes qui ont "peur" de cette chose, sachez que c'est uniquement du bachotage, une fois que vous savez parfaitement comment fonctionne les exercices (qui sont TOUJOURS les mêmes) et que vous savez comment obtenir les bonnes réponses rapidement, c'est 700+ pour tout le monde même avec un panel de vocabulaire limité.
à EPITECH, on à pas mal d'anglais à l oral avec des susies ( étudiantes Américaines qui viennent en france ) pour nous faire la conversation et nous aider à progresser
Tout dépend de ce qu'on entends par "dans vos écoles".
La CTI exige un niveau minimum de langue étrangère, et un niveau minimum d'anglais pour avoir un diplôme d'ingénieur.
Je ne sais pas si c'était les exigences exactes de la CTI, mais en niveau basé sur le CECR :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cadre_européen_commun_de_référence_pour_les_langues
Mon école exigeait :
- Au moins B2 (maintenant B2+ je crois) dans une langue étrangère pour avoir le diplôme.
- Au moins B1 en anglais si on a le B2 dans une autre langue que l'anglais et le français.
575 points, c'est à peine B1. L'immense majorité des ingénieurs qui sortent de l'école aujourd'hui avec un titre CTI ont un niveau très largement supérieur, et tous sont obligés d'avoir au moins ce niveau.
Après, on peut discuter de la pertinence de cette obligation, mais c'est l'un des avantages (pour l'employeur) et l'un des inconvénients (pour l'étudiant mauvais en anglais) de faire un diplôme d'ingénieur reconnu.
(Totalement HS : On voit bien sur le tableau de correspondance le haut niveau du TOEIC, incapable de vérifier un niveau C. Méfiez-vous quand quelqu'un vous brandit fièrement un chiffre TOEIC : il ne veut à peu près rien dire).
Oui sauf que les écoles d'ingénieurs ça se fait en second cycle. Là il était en premier cycle à l'Epitech, donc rien de comparable.
Avoir 500 au TOEIC en sortie de BAC, c'est loin d'être rare.
Un élève moyen à la sortie du BAC peut tout à fait scorer le 750+ au TOEIC, 850 pour un bon élève. J'étais en section européenne et nous avons tous eu plus de 900 au TOEIC en Term S, donc 575 c'est un score extrêmement faible surtout 1/2 ans après le bac.
Un élève moyen à la sortie du BAC peut tout à fait scorer le 750+ au TOEIC, 850 pour un bon élève. J'étais en section européenne et nous avons tous eu plus de 900 au TOEIC en Term S, donc 575 c'est un score extrêmement faible surtout 1/2 ans après le bac.
J'avais oublié que tout le monde faisait une section européenne c'est vrai
Bon, je crois que j'ai eu les réponses que je voulais avoir. Je remercierai donc tout le monde (y compris les trolls ) pour m'avoir donné votre avis. De toute manière je vais aller voir la JPO et on verra bien.
Et puis faut bien le dire, la JPO, c'est souvent assez chiant, ça te fait un bref résumé de l'école, rassure tes parents, mais tu ne vois pas grand chose.
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